mercredi 23 octobre 2013

Moto cross, où sont passé les Johny de Côte d'Ivoire


On les voyait en pleine circulation élevant la tête de leurs motos, gênant les personnes qui circulait pour gagner leur domiciles, lieux de travail ou lieu de loisir.
Ils était un certains nombre d'individu dont Johny le plus connu. Ils tous des Raiders, ou Cross movers, ou encore les moto-bikers.
Mais leur absence est net lorsque ce jours, 23 Octobre 2013, l'espace Ficgayo refusait du monde pour cause, un circuit fermé de cross avec la participation d'un seul individu à la peau noire, sinon, 98% de Libanais ou d'homme à la peau blanche ou jaune.
Ce n'est pas faire du racisme, mais c'est appel au Africains, de faire choses comme il faut, mais pas pour faire le malin.
Où passé l'équipe nationale de cross ou-bien formerons-nous cette équipe avec les Libanais ou Syrien en Côte d'Ivoire?
Nous voyons des dames et des enfants sur des cross pour savourer ce sport dont ils en sont friand. et pourtant pas de femme ivoirienne dans ce milieu.
Un journaliste disait: "Dieu n'a pas créé d'homme et de femme, il n'a que créé des être-vivants. C'est nous qui nous disons homme ou femme sinon, nous pouvons tout faire..."

samedi 19 octobre 2013

Dédicace de l'envol du coeur, ma communication



Honorables invités,
Amis du livre,
Mesdames et messieurs,

Mon intervention se centrera sur le titre de l'Oeuvre qui nous réunie ici ce matin.

L’envol du cœur

Pourquoi L’envol du cœur et non autre chose ?
La vie nous réserve tant de chose. On nait, on grandit et on meurt mais avant d’en arrivé là, c’est un long chemin. C’est pour parler des choses de la vie ; surtout la vie de deux adolescents qui se passe dans une atmosphère délétère.
 Tout commence par la joie, puis la tristesse et la chienlit du à la course effréné au pouvoir. Ne dit-on pas que le pouvoir est le sommet de l’action humaine ?
L’envol ici, symbolise la disparition, la fuite, le départ et le cœur, la paix.
L’envol du cœur pour dire la fuite de paix.
Un conflit qui naît fuir la paix dans une destination inconnu poussant les uns et les autres à rechercher cette paix.
Retrouve-t-on la paix après avec un conflit ?
Je pense qu’on ne retrouve pas la paix, mais on la crée. On crée un climat de paix fragile comme une colombe aux ailes raccourci.
Il s’installe la méfiance, la défiance entravant toute idées de réconciliations.
L’intension de l’envol du cœur est de permettre à tout le monde de se dire une seule chose :
« Allah ka di, Allah ka ta » comme Balétégué et de penser que la vengeance ne doit pas être le fait de l’homme, mais de la divinité créatrice de toute chose c'est-à-dire de Dieu.
Si nous retrouvons chaque vendredi à la mosquée ou chaque dimanche à l’église, pourquoi nourrir l’idée de vengeance. Réduisons-nous notre foi à la parole seulement sans réellement avoir crainte de Dieu ?
Si nous voulons revivre la véritable paix, des pauvres, la paix des riches, la paix des sans habits, la paix des affaires, la paix des commerçant, c'est-à-dire, la paix qui fait vivre, alors laissons notre mal à la divinité du destin, la divinité créatrice de l’univers.
 Je ne suis pas en train de dire que le seul sens qui porte le symbole de l’envol du cœur, soit la fuite de la paix, chacun pourra avoir compréhension de cette œuvre car, on peut aller bien loin parlant de l’amour lui-même gage de bien être social.
C’est par l’amour que nous cohabitons, nous apprenons d’autres langues et même nous fuyons nos racines.
C’est par l’amour que le monde est monde aujourd’hui, avant que l’argent ne nous transforme en combattant, en ennemi du monde lui-même.
C’est l’argent qui détruit notre environnement.
Parlant d’amour, je voudrais partager avec vous une interrogation d’ainée, une écrivaine, Koumoin Adjoua qui dit : « Bintou, n’est pas cette personne que nous recherchons tant ? N’est pas ce dont le monde a besoin pour bien vivre ? J’espère que les lecteurs le comprendront ainsi. » et moi aussi, j’espère que vous comprendrez cette œuvre et qu’elle vous sera utile, car elle est pleine de sens.


Dédicace de l'envol du coeur, présentation par Fieni Jeanne

Honorables invités,
Amis du livre,
Mesdames et messieurs,
J’ai l’honneur de vous présenter le livre qui est le point de mire de cette petite cérémonie. Il s’agit bien de L’envol du cœur, de Maxime Kouadio N’Dri. Ce roman se distingue par son petit format ; il couvre seulement 70 pages. Il a donc l’avantage de se faire lire en un trait et en une journée. Aujourd’hui, dans ce siècle où tout va vite, où la paresse est l’une des choses les mieux partagées, c’est un aspect important qu’il faut relever. En outre, le roman de Maxime Kouadio est rendu dans un style simple et dans une langue accessible au lecteur de niveau moyen.
L’envol du cœur est un condensé de thèmes à la fois d’actualité et de tous les temps. Ces thèmes qui se subdivisent en sous-thèmes sont tous porteurs de sens. Le thème central est l’amour, thème universel, maintes fois traités. Ici l’amour prend un relief particulier dans la mesure où il se déploie dans un contexte de crise et de guerre.
A la quatrième de couverture du livret, on peut lire la citation suivante: « On ne peut pas vivre un amour sans causer de mal car par action ou par omission, par savoir ou insu, on fait pleurer. Notre amour pour une personne cause du tort à telle ou telle autre personne dans ce monde de polygamie secrète, ou encore de rapports multiples hors mariage ». Voici une belle pensée qui nous présente l’amour sous une image mitigée, contradictoire. En même temps qu’il procure le bonheur, il réussit à inoculer le chagrin. De ce fait, on ne peut s’empêcher de s’interroger sur le sens réel et profond de l’amour.
Alors, pour mieux saisir le sens de notre propos, goûtons ensemble à l’histoire de ce roman :
Bintou et Max sont deux amoureux qui ne se connaissent pas, mais qui s’aiment de tout cœur, sans s’être jamais vus. Le jour où ils décident de se rencontrer, Bintou doit faire face à un malheur. Elle vient de perdre sa sœur ainée.
Au lendemain de ce décès, les parents de Bintou décident de son déplacement d’Abidjan à Bouaké où elle doit poursuivre ses études.
Bintou envoie des lettres par personne interposée à Max, mai celui-ci ne les reçoit pas. Ne sachant pas que ses lettres ne parviennent pas à Max, elle entre dans une colère noire et décide de passer les vacances, là-bas, à Bouaké.
Après quelques mois de vacance,  une guerre éclate. Bintou disparait. Il y a des avis de recherches mais en vain, aucune nouvelle d’elle. Ses parents décident alors de l’enterrer sans la dépouille. Mais Max s’absente, car il a vu Bintou en rêve et elle lui a confié qu’elle vivait.
A force de penser à Bintou, une histoire lui est venue en tête. Une histoire de Bintou et Balétégué, jeune intègre originaire de Wala qui n'a pas connu l'école mais qui est très intelligent.
Il conseillait à ses cousins de ne jamais recourir à la vengeance, parce que, selon lui, la vengeance tue la paix.
Cette œuvre, a une singularité qui lui confère un goût particulier. Elle nous fait arpenter les allées du rêve et de la réalité. Elle nous installe dans une atmosphère onirique où le rêve investit la réalité de toutes ses couleurs.
En somme, L’envol du cœur est un livre simple et captivant qui tout en nous montrant la force de l’amour nous révèle son aspect sombre et inquiétant. En inscrivant une histoire d’amour dans un contexte de guerre, l’auteur nous permet de comprendre l’intérêt de la paix et de la cohésion sociale. Nous croyons qu’il mérite d’être mis à la disposition du grand public et, mais notamment des plus jeunes qui y trouveront de quoi les aider à affronter la vie quotidienne. 

lundi 14 octobre 2013

Entretien de l'espace public, Agboville a un problème avec

Après le stade qui est dans un piteux état, Le volontaire a fait d'autres constats. Il n'y a pas de lieu mieux pour jeter les ordures qu'en bordure du fleuve Agneby, qui sous d'autres cieux, serait entretenu et constituerait un site touristique. Problème avec la population ou négligence des autorités publiques?
Chacun à son rôle a jouer, mais celui qui incombe l'autorité est majeure. Les quelques personnes interrogées disent ne pas disposer de moyen de ramassage d'ordure, ce pourquoi, certaines personnes déverseraient leurs ordures en bordure du fleuve.
Je me pose cependant une question: Comment sont gérés les ordures dans cette localité?
Soucions-nous de l'environnement. car c'est bien être lâche que de le détruire. Cet environnement est un pôle vital qu'il se doit de préserver.
Négliger l'environnement, c'est négliger non seulement sa propre vie, mais la vie de tous les êtres vivants. Donc les autorités Agbovilloises sont priées de prendre soin de leur localité.
C'est vrai, qu'il y a des ordures en bordure de ce fleuve, mais il présente une fier allure. Par endroit, on a l'impression de voir la carte de l’Afrique se dessiner sur la surface de l'eau. Ce sont les lieux que l'on pouvait bien exploiter pour faire rentrer de l'argent dans les caisses de l'administration Agbovilloise.
Ne laissez pas les jeunes à la rue; ne permettez pas qu'ils soit laisser pour contre, sinon, on se plaindrait de la drogue, de l'alcool, ou de l’exode rural qui laisserait de millier de mort en pleine mère Tunisienne où Casablancaise. Utiliser ces endroit pour en faire des emplois pour tous.






dimanche 13 octobre 2013

Livresque #4: un rendez-vous tenu!

Bravo aux organisateurs qui ont bien voulu mettre en relation auteur et Burida ( bureau ivoirien du droit d'auteur). L'auteur connait-il son droit? jusqu'où son droit s'étend? que peut-il faire? telles sont les questions traitées en ce dimanche 13 Octobre 2013, au musée d'art contemporain de Cocody. Les blogueurs, les écrivains, les artistes et bien autres amoureux du livre se sont prêtés au jeu de livresque avec des lectrices aux voix suaves, qui chatouillent les tympan donnant à la célébration, une particularité. Les texte étaient tous beaux, sensés et d'actualités. Nous voulons dire aux auteurs et amoureux du livre, de s'adonner très souvent à la lecture à voix haute car cela se paye. La qualité d'une lecture donne bien d'avantages que nul ne pourra ébranlé.
Quant à Livresque, merci à Yehni Djidji pour cette belle initiative d'échange, de partage et de convivialité.
Généralement, les débuts ressemblent à du jeu, puis on se moque de nous, on nous décourage, mais elle n'a pas laissé tomber ses idées. Elle s'est battu pour que cela prenne forme et enfin, est né livresque #1, puis #2, puis #3 et aujourd'hui #4. La seule remarque que je peux faire est que le matériel de communication n'était pas à la hauteur de la cérémonie, c'est à dire, le ou les micros rencontrai(en)t les difficultés à transmettre le son venant des cordes vocales des interlocuteurs. Nous souhaitons que les sponsors s'associent à livresque pour lui offrir le matériel à la pointe de la technologie.
Mille merci aux organisateurs, qui dans l'ensemble ont battu le pavé, pour donner une qualité et une réalisation de beauté à Livresque #4.
Ajoutons que nous avons célébré l'anniversaire de http://www.225nouvelles.com

Déjà un an! ça doit se fêter car un enfant qui a un an est un homme qui fait ses premier pas dans la vie des hommes.
Disons merci à tous les participants et que le livre prenne du pouvoir dans notre vie.







samedi 12 octobre 2013

Stade d'Agboville, ma déception!


 En visite dans la ville qui m'a donné le baccalauréat,  j'étais très heureux allant d'Abidjan. Une foi sur les lieux, je suis pris de tristesse de voir beaucoup de chose qui ont changé en mal. Au nombre de ces choses, le stade d'Agboville. Située à quelques mètres du fleuve Agneby ( Agbo) pour les Abbey, c'était un très beau terrain de foot qui offrait une fière allure à ses visiteurs. Les autorités se sont succédées, et nul n'as eu l'idée de faire de ce stade, un véritable pôle d'attraction. Ma tristesse, je trouve des berger qui y ont fait entrer leurs bœufs, pour les nourrir. D’aucun me dirais que c'est normal, juste parce qu'ils ne veulent pas tondre ces herbes; Et, le stade est plein de rejet de bœufs qui ne lui offre pas le bonheur.
En réalité, notre problème en Afrique, c'est qu'on ne sais pas prendre soin des héritages que nous ont laissés les anciens. Il arrive qu'on délaisse ces richesse acquise pour faire des projets calamiteux aux coûts colossaux, sans avoir le goût de les terminer si on a débuté, avant la fin de nos nombreuses années de gestion; de nos nombreux règnes. Agboville, foisonne d'équipe de football, mais qui n'évolue pas. Cela pourrait s'expliquer par la mauvaise foi des "bonnes fois" (ceux-ci font croire qu'ils sont venu pour le bien être des autres, alors qu'ils sont là pour leur propre poche).
Je pense que ce message n'est pas une chose qui entrera par les oreilles de sourds et qu'il prendra effet de boussole, pour refaire le patrimoine culturel de notre cher pays.
Nous ne perdons pas à récompenser le travail bien fait, sinon, les jeunes mourront encore et encore au larges des mers de Lanpedouza, ou de Casablanca, et bien d'autres encore juste parce qu'ils recherche l'eldorado. C'est ici et non ailleurs, mais nos autorités doivent travailler au lieu de faire du bruit. Messieurs et mesdames les maires, les conseillé régionaux, les terrains de foot sont pourvoyeur de revenu dont pensez à les réparer pour le bien être de vos jeunesses.

Boxe: Chalenge national Henry Bourgouin, une promesse tenue

Au début, nous avons pensée à un jeu organisé à l'Africaine, avec tout un matos de pacotille; mais nous nous sommes très vite fait appeler à l'ordre. Une sonorisation de rêve tenait en éveil, les braves combattants au titre de médaillé pour la présence effective dans les rangs de l'équipe nationale de boxe. Un podium, de bonheur qui ne pouvait faire tomber l'homme le plus lourd au monde.
Un ensemble, qui a vu la visite des athlètes de hauts niveaux. 
Notons la boxe est un sport qui a fait ses preuves dans la libérations du noir, c'est à dire, dans l'expression de la culture noir dans le milieu ku klux kan, dans la baie de l’Arizona ou de Boston et même de New York. c'était le seul lieu où les noirs pouvaient battre les blancs sans pouvoir être inquiété, c'est ce qui a vu naître les Mohamed Ali, Mike Thaison, et même le Ghanéen Mike Huggler. 
Ce sport, un grand et non moindre de la Côte d'Ivoire, l'adorait; c'est Notre père à tous; le père de la nation ivoirienne, Feu Felix Houphouet Boigny.
J'ai été ravis de cette réussite de l'organisation de ce prometteur tournoi. Chapeau aux organisateurs.
Nous demandons à la fédération de nous gratifier très souvent de ces belles prestations, afin que ce sport ne meurt pas mais survive davantage.