samedi 29 mars 2014

Ficgayo, le monde court vers la fête traditionnelle.

Sous le soleil flamboyant, ils sont venus marquer leur passage.
Les groupes ethniques de Côte d'Ivoire se sont retrouvées avec leur masque sur la place publique, ce samedi 29 mars 2014 pour faire danser, parler et surtout pour montrer l'importance de la paix à travers la culture du terroir.
Le terroir ivoirien a fait montre d'une grande richesse avec les masques venus du nord au sud, de l'est à l'ouest sans oublier le centre.
Comme messages à leur gosier, la « paix qui fait vivre les pauvres, la paix qui fait vivre les riches » comme le si dit si bien notre cher auteur Maxime N'DRI à travers une interview réalisé par Macaire Etty, auteur et critique littéraire pour le compte de Le Nouveau Courier.
Cette paix, ne se trouvera que par la culture du terroir et leur apport convivial, réunissant tous les groupes ethniques de ce beau pays.
Le terroir, c'est ce qui fait vivre dans une cohésion, une solidarité, une communauté qui ne dit pas son nom. C'est aussi l'objetif de l'auteur qui écrit d'abord dans Le Nouveau Courier un poème intitulé solidarité salut du peuple, qui sera mentionné dans un roman : La Nouvelle puis dans un recueil de poèmes parut à edilivre Paris, L'or Incolore.
Cette cérémonie a refusé de monde sous un soleil sans pareil. L'accueil a débuté un peu plus de 10 heures pour les personnes qui ne sont pas priées pour la culture puis les allocutions prennent place vers douze heures, sous l'œil curieux des passants qui pouvaient se livrer à tous les discours ou interprétation.
La cérémonie culturelle débute avec la présentation des masques et danse traditionnelle avec un match de lutte traditionnelle, comme pour dire que la tradition est une richesse territoriale pourquoi pas mondiale, un pôle d'attraction pour les touristes.
Notre prière est qu'une journée soit instituée pour la promotion de la culture dans chaque ville ou village du pays. Et pourquoi pas emmener les élèves et étudiants, en des journées socioculturelles, à manifester la chose culturelle du terroir.
Pour ce qui concerne notre journée, nous assistons à une belle fête avec la voix suave de notre animateur du jour.
À chacun sa culture du terroir, à chacun ça tradition, mais à tous la manifestions de la culture pour la paix !

jeudi 6 mars 2014

Les enfants-pierre, Chapeau à une femme à la plume nomade.

Ce dimanche, je m'approchai du stand de la Francophonie, sponsor du marché des arts et du spectacle d'Afrique dénommé MASA.
Intéressé par le bavardage avec une Sénégalaise ou malgache fière allure, je me vois offert un livre intitulé : les effets secondaires et les autres nouvelles.
Très tôt, j'entamai ma balade littéraire, d'abord au Canada, où une belle technique et un bel essai qui lui valut la médaille d'or me souhaitent la bienvenue. En suite, dans la Fédération Wallonie-Bruxelles où Edgar m'émoi avec son Hors Cadre bellement ensemencé et construit dans un style convainquant, mais qui me laissa dans une soif apeurant. Et, une chute honorable dans cette Côte d'Ivoire de talent où, une dame, Rosine me fit me surprendre les larmes s'écoulant de mes paupières presque dans une abondance pingre, pourtant, elles ont coulé. Son histoire ressemble tant d'autres, dans la vie typiquement africaine, où la pauvreté est la première marque des pays, allant à être instituée PPTE. Cette vie qui ouvre la porte au plus vieux métier du monde, une sauce concoctée et préparée avec l'aide d'une voisine, près ou loin de notre lieu d'habitation. On ne nait pas prostitué, mais on le devient. J'aurais été du jury, l'or lui serait décerné quand elle ouvre la porte à un espoir, la personne effrayante devient la personne avec qui nous partageons notre existence. Pour dire : il ne faut jamais faire de tri entre les hommes, car nul ne sais le destin.
Bravo Rosine, pour une plume «
Traumatisante » que tu as accouché un jour et que tu en donneras davantage, j'ai foi, au monde avenir.

Demain est un monde à venir.