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lundi 14 octobre 2013

Entretien de l'espace public, Agboville a un problème avec

Après le stade qui est dans un piteux état, Le volontaire a fait d'autres constats. Il n'y a pas de lieu mieux pour jeter les ordures qu'en bordure du fleuve Agneby, qui sous d'autres cieux, serait entretenu et constituerait un site touristique. Problème avec la population ou négligence des autorités publiques?
Chacun à son rôle a jouer, mais celui qui incombe l'autorité est majeure. Les quelques personnes interrogées disent ne pas disposer de moyen de ramassage d'ordure, ce pourquoi, certaines personnes déverseraient leurs ordures en bordure du fleuve.
Je me pose cependant une question: Comment sont gérés les ordures dans cette localité?
Soucions-nous de l'environnement. car c'est bien être lâche que de le détruire. Cet environnement est un pôle vital qu'il se doit de préserver.
Négliger l'environnement, c'est négliger non seulement sa propre vie, mais la vie de tous les êtres vivants. Donc les autorités Agbovilloises sont priées de prendre soin de leur localité.
C'est vrai, qu'il y a des ordures en bordure de ce fleuve, mais il présente une fier allure. Par endroit, on a l'impression de voir la carte de l’Afrique se dessiner sur la surface de l'eau. Ce sont les lieux que l'on pouvait bien exploiter pour faire rentrer de l'argent dans les caisses de l'administration Agbovilloise.
Ne laissez pas les jeunes à la rue; ne permettez pas qu'ils soit laisser pour contre, sinon, on se plaindrait de la drogue, de l'alcool, ou de l’exode rural qui laisserait de millier de mort en pleine mère Tunisienne où Casablancaise. Utiliser ces endroit pour en faire des emplois pour tous.






mercredi 5 juin 2013

Environnement, un bonheur sain.

Avoir un environnement sain, c'est un bonheur... c'est pourquoi, en cette date d'aujourd'hui (5 Juin 2013 et pour toujours), nous célébrons l'environnement dans le monde entier.
Mais une question est au centre de toute réflexion: qu'est ce que l'environnement?

A l'école primaire, on disait que l'environnement c'est tout ce qui nous entoure, mais aujourd'hui, je dirai que l'environnement, en plus d'être tout ce qui nous entoure est ce qui nous entoure vraiment dans sa globalité et qui contribue à notre bien être. c'est à dire, l'environnement marin, l'environnement forestier, l'environnement vitale... et tout ce qui contribue à notre santé: santé alimentaire, santé sociale.... C'est dans l'environnement que nous puisons l'air à respirer, l'aliment à manger, l'eau à boire, la maison dans laquelle nous dormons et bien d'autres choses qui contribuent à un véritable épanouissement de l'être.
Mais pour s'épanouir financièrement, aujourd'hui, nous avons recours à la destruction massive du couvert environnemental sans s'en soucier. C'est ainsi qu'on crée des unités de productions à grande échelle de carbone détruisant la couche d'ozone protectrice de la terre.
Outre ces unités,  nous détruisons les forêts, sources d'équilibre environnemental pour planter des produits pourvoyeurs d'argents et ce au détriment d'un environnement qui n'a besoin que de bonne santé.
Luttons pour la santé environnementale, ainsi, nous aurons notre santé personnelle.
Tous les moyens de locomotion qui foisonnent les grandes villes des continents peuvent être réaliser sans production de carbone du moment où les moteurs électriques existent. Je ne pense pas qu'il y a un pays où le vent ne souffle pour qu'on se terre sur la production du pétrole premier danger environnemental.
Hommes, femmes, dans nos recherches d'argents, pensons à la santé de l'environnement avant toute chose. Nous pouvons trouver des moyens de production alimentaire sans forcement détruire les forêts pour faciliter la désertification, sinon, reboisons tout simplement nos forêts.

Maxime N'DRI 07377111

lundi 7 janvier 2013

CITOYENNETE ET ENVIRONNEMENT


Quand il m’a été demandé de faire cet article sur la citoyenneté et l’environnement, je me suis posé la question de savoir par où il fallait que commence.  Je réfléchissais en fouillant dans le fin fond de ma mémoire pour chercher des actions ou  des anecdotes par lesquelles commencer. Mes souvenirs se sont arrêtés au collège. Oui au Collège et précisément à la classe de 6è. En effet, les nouveaux collégiens devaient faire connaissance  avec une nouvelle matière appelée Education Civique et  Morale (ECM). Pourquoi vouloir partir de là ? C’est tout simplement parce que le premier chapitre de cette nouvelle matière nous interpellait sur notre environnement. Je ne sais pas si c’est toujours le cas mais le titre du premier chapitre d’ECM de la classe de 6è était « Les pratiques d’hygiènes et l’environnement immédiat ».
Pour développer ce thème, il est vrai que nous devons savoir ce que c’est que la citoyenneté mais le plus important pour nous ici sera de mettre en exergue le rapport entre le citoyen et son environnement. Il nous faut donc donner une définition brève mais compréhensible du mot « Citoyenneté ». Nous allons donc prendre la définition qui cadre le plus avec notre sujet que nous propose Wikipédia « La citoyenneté symbolise le respect des droits et devoir de citoyen ( un citoyen est une personne qui relève de la protection et de l'autorité d'un Etat, dont il est un ressortissant) d'un État, permettant une vie en communauté harmonieuse et durable ».
Pour en venir au sujet proprement dit, je me suis référé au cours d’ECM de 6è pour dire que le souci de l’Etat est d’instruire le citoyen sur l’environnement. D’aucun me poseront la question de savoir : Et ce qui ne sont pas allé jusqu’à atteindre le niveau 6è de notre système scolaire ? À ceux-là je répondrai : Qui mieux qu’un enfant peut expliquer à ses parents, frères ou sœurs les avantages d’un environnement sain ? 
à dire vrai, j’ai constaté que tous ces efforts faits par l’Etat pour enseigner les bienfaits d’un environnement sain sont tombé dans des oreilles de sourds. En effet j’ai pu remarquer que l’ivoirien, quelque soit son niveau d’étude, sa classe sociale son bord politique, son ethnie et j’en passe, est loin d’accorder un grand respect à son environnement.  C’est en cela que vous pouvez voir que dans la plupart des quartiers d’Abidjan, nous faisons bon ménage avec les ordures qui polluent notre environnement. Tout cela parce que nous ne respectons pas les règles minimums d’hygiènes à nous enseignés.
J’ai été très heureux de voir ces grands panneaux dans la ville d’Abidjan, nous interpellant sur les comportements hygiéniques à tenir. Mais combien sont ces Abidjanais qui mettre pratique ces recommandations ? La réponse est toute simple, le respect des règles d’hygiènes ne fait pas partir des priorités des ivoiriens. Sinon comment comprendre qu’on ne peut parcourir le Boulevard Nangui Abrogoua dans la commune d’adjamé sans se boucher les narines. Essayer d’aller à Anoumambo (dans la commune de Koumassi) en passant par l’Institut National de la Jeunesse et du Sport sans froncer les sourcils. Je ne suis pas sûr que vous en soyez capables. Pensez-vous que les habitants de ces communes ne savent pas qu’il faut jeter les ordures dans des poubelles, qu’il ne faut pas pisser dans la rue pour ne dire que cela ? Ils le savent bien mais ils s’en foutent éperdument. 
Etes-vous déjà rentrés dans les toilettes d’un établissement secondaire ? Je suis tenté de vous dire n’essayez pas. Vous en sortirez certainement avec une infection. Question de dire que les cours d’ECM enseignés à nos élèves ne comptent que pour du beurre. Nous retournons donc à la case départ : l’ivoirien, quelque soit son niveau d’étude, sa classe sociale son bord politique, son ethnie et j’en passe, est loin d’accorder un grand respect à son environnement ! C’est la triste réalité mais c’est ce qui est. 
La dernière fois j’ai été choqué de voir Monsieur ‘’respectable’’ jeter une canette de bière vide de sa voiture sur le trottoir. Vous aller me dire qu’il n’a pas un haut niveau d’étude ? Il n’en avait pas l’air. Et ces genres d’exemples sont légions. Mais bon c’est le comportement propre à la plupart des Ivoiriens. Dans un lieu à fréquentation massive où j’ai été un soir, j’ai pu constater que les toilettes n’étaient pas propres. J’ai tout de suite pensé que la chasse d’eau ne fonctionnait pas correctement. Faisant la remarque à employé de l’endroit où nous étions, il m’a fait savoir que la chasse d’eau marchait bien et je l’ai réalisé après vérification. Mais certaines personnes ne prenaient pas la peine de la tirer. Conclusion : l’ivoirien, quelque soit son niveau d’étude, sa classe sociale son bord politique, son ethnie et j’en passe, est loin d’accorder un grand respect à son environnement.
Mais nous n’allons quand même pas rester sur cette idée. Comment les autres ont réussi à rendre leur environnement sain et pas nous ivoiriens ? Comme solutions, je pourrais faire quelques propositions. On pourrait créer une police de la salubrité et prier Dieu pour qu’elle ne soit trop corrompue (peut-être qu’elle existe déjà, je n’en ai jamais entendu parler en tout cas) ; Une police qui sera chargée de surveiller les comportements des citoyens et sanctionner sévèrement toutes personnes non respectueuses des règles d’hygiènes. Organiser pourquoi pas des concours des plus beaux établissements et des plus belles communes de la ville d’Abidjan. C’est vrai que cela existe déjà mais on pourrait médiatiser encore plus ce concours de sorte que cela devienne une institution. 
Je vais mettre fin à mes propos, mais il faut retenir que l’ivoirien, quelque soit son niveau d’étude, sa classe sociale son bord politique, son ethnie et j’en passe, est loin d’accorder un grand respect à son environnement. Il va falloir donc entreprendre de grandes politiques pour nous inculquer cela. 

                                                                                                                                    Marck-Andy