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lundi 9 décembre 2013

Code de la route: la mort nous est servie!

Les codes de la route qui réglementent la circulation, limitent les vitesses et qui fluidifient le mouvement des habitants des pays du monde digne de ce nom est une carence ou du moins, souffre d'une avitaminose exagérée.
Le constat dans nos rues Abidjanaise est alarmant et c'est là où ces panneaux sont sensés être posés que les accidents abondent. Aucun panneau stop aux endroits de masse, aux alentour des écoles, -si ce n'est le vigile qui brandit un panneau stop au conducteurs analphabètes ou irrespectueux des piétons au risque de sa vie- et aux abord des hôpitaux.
Avec l'afflue des permis de conduire où sans faire l'auto-école, l'on a accès au premier diplôme de la vie; les conducteurs qui ne savent pas lire ou qui paye autrui pour passer le code pour eux, bien que j'ai peur d’exagérer, on ne respecte pas les feux tricolore où la règle de priorité si le conducteur brandit son arme qui est: "le propriétaire attend sa recette, je dois vite conduire pour avoir ma part".
Aussi facilement, on fait un accrochage, on cogne celui qui a la priorité parce qu'impatient ou encore on jette les passager des ponts quand on a pas eu de pancarte qui indique les travaux ou la voix défectueuse qui nous prends par surprise et sans alternatif, au secours on saute!
Autorités, il ne s'agit pas de dénombrer les morts par la route, mais de créer les infrastructures qui permettraient de mettre hors de porté, l'assassinat par les quatre roues.
c'est vrai, vous avez fait beaucoup, mais il reste encore beaucoup trop à faire. Mettre à la disposition de la population les codes de la routes, l'on saurait où traverser, où ne pas traverser pour éviter de se faire écraser par un véhicule roulant à vive allure là où il devait roulé peut-être à 40 km/heure ou 25km/heure.
Nous imputons cette faute à l'état pourtant nous devons aussi regarder parmi nous, les personnes bouchées jusqu’aux orteils et qui pense faire droit de bourse sur tous les métaux. Ce sont les forgeronts, qui la nuit, déterrent ses métaux pour fabriquer les matériaux et qui mettent sur le dos de la pauvreté. Je prend pour exemple les poubelle qu'ont dispersées, les autorités municipales Agbovilloise, en bordure de routes qui ne sont devenues qu'un souvenir. Certains parle fièrement de cette infortune et honte de leur part comme s'ils avaient fait la bonne action en utilisant ses poubelles pour fabriquer les marmites, seaux, fourneau et autres objet et ce, malgré les campagne de sensibilisation à la radio la voix de l'Agneby.
Formons nos esprits, nos têtes et nos ventres à accepter les choses publiques en les respectant. Ce ne sont pas seulement les enfants qui doivent aller à l'école mais tous les habitants d'un pays. on ne doit pas imposer un âge pour l'école mais tout âge devais y avoir accès.
Car je pense que c'est l’analphabétisme volontairement organisé par les autorités africaines francophones, depuis le colon jusqu'aujourd'hui, qui fait méprendre la population, ne comprenant pas le bien pour lui et pense que la population est la population et que l'état c'est l'état, ignorant son rôle pour le bien-être de cet état dont il doit assurer la survie.
Nous devons aussi penser à une autre forme d'éducation dans nos écoles et nos universités afin que nos frères et soeurs connaissent la valeur humaine, la valeur altruiste.
Nous devons inculquer le sens du volontariat aux enfants et faire passer en avant, l'importance de l'autre, afin que nos chemins ne nous tuent plus mais nous facilitent le mouvement migratoire des biens, des personnes, et tout allant et venant de l’existence humaine.
Que chacun comprennent sa part de responsabilité, et qu'on ouvre l'école à tous les vieux et vieilles éducateurs ou éducatrices domestiques afin que les enfants comprennent le monde depuis le sein maternel.
Aussi, nos égoïsme hérités et partagés doivent laisser place à l'altruisme salvateur du monde développé.

Maxime N'DRI 07377111

samedi 12 octobre 2013

Stade d'Agboville, ma déception!


 En visite dans la ville qui m'a donné le baccalauréat,  j'étais très heureux allant d'Abidjan. Une foi sur les lieux, je suis pris de tristesse de voir beaucoup de chose qui ont changé en mal. Au nombre de ces choses, le stade d'Agboville. Située à quelques mètres du fleuve Agneby ( Agbo) pour les Abbey, c'était un très beau terrain de foot qui offrait une fière allure à ses visiteurs. Les autorités se sont succédées, et nul n'as eu l'idée de faire de ce stade, un véritable pôle d'attraction. Ma tristesse, je trouve des berger qui y ont fait entrer leurs bœufs, pour les nourrir. D’aucun me dirais que c'est normal, juste parce qu'ils ne veulent pas tondre ces herbes; Et, le stade est plein de rejet de bœufs qui ne lui offre pas le bonheur.
En réalité, notre problème en Afrique, c'est qu'on ne sais pas prendre soin des héritages que nous ont laissés les anciens. Il arrive qu'on délaisse ces richesse acquise pour faire des projets calamiteux aux coûts colossaux, sans avoir le goût de les terminer si on a débuté, avant la fin de nos nombreuses années de gestion; de nos nombreux règnes. Agboville, foisonne d'équipe de football, mais qui n'évolue pas. Cela pourrait s'expliquer par la mauvaise foi des "bonnes fois" (ceux-ci font croire qu'ils sont venu pour le bien être des autres, alors qu'ils sont là pour leur propre poche).
Je pense que ce message n'est pas une chose qui entrera par les oreilles de sourds et qu'il prendra effet de boussole, pour refaire le patrimoine culturel de notre cher pays.
Nous ne perdons pas à récompenser le travail bien fait, sinon, les jeunes mourront encore et encore au larges des mers de Lanpedouza, ou de Casablanca, et bien d'autres encore juste parce qu'ils recherche l'eldorado. C'est ici et non ailleurs, mais nos autorités doivent travailler au lieu de faire du bruit. Messieurs et mesdames les maires, les conseillé régionaux, les terrains de foot sont pourvoyeur de revenu dont pensez à les réparer pour le bien être de vos jeunesses.