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jeudi 27 septembre 2012

Es-tu Élève ou élève: savoir pour éduquer


C'est la rentrée scolaire, tous les enfants ou presque sont contents de retrouver les salles de classe et les amis qu'on a perdu de vu pendant les vacances. Mais, se pose certaines questions qui bien comprises peuvent aider les enfants, les adolescents en un mot les élèves à un bien être social.

Es-tu Élève ou élève?
Je suis à l'école pourquoi ou pour quoi?
Notre analyse, nous permettra de montrer en quoi une nuance peut être utile pour le bien être des autres, le bien social.
Notre société est fait de tout, mains gauche, mains droite, haut et bas, bien et mal et tout s’accole, se résume, se réuni pour donner naissance à la vie.
Alors, à l’école, on a beaucoup de chance de trouver les deux types d'élèves, qui sont: Élève, celui qui est assidu à l'école, qui fait ses exercices, qui est attentif, qui suis avec respect les cours, qui n'empêche pas les autres de suivre et de comprendre les cours, celui qui se dit qu'il a une mission, suivre mieux les cours pour son bien être, pour le bien être social ou élève, un enfant turbulent, qui ne veux pas fréquenter l'école, mais qui a été obliger. le deuxième cas est beaucoup susceptible de faire l'école buissonnière sans vergogne. Il manque de respect à tout et se rebelle contre tout. Il ment et a des arguments pour éviter d'être punis. les parents peuvent reconnaître un tel enfant et l'emmener à comprendre le bien fondé de l’Éducation.
Le second point de notre analyse se portera sur la deuxième questions. vouloir réussir, c'est vouloir étudier et bien étudier pour atteindre la connaissance aidante à la réussite. Demandez à un enfant pourquoi il va à l’école, il vous dira que c'est parce qu'il veux réussir dans la vie. Mais à vous je demanderai, Pourquoi partez vous à l'école, et vous me direz que l'école est le lieu par excellence ou on va pour acquérir une connaissance, un savoir c'est à dire, savoir lire, savoir s'exprimer, savoir argumenter à travers les livre lu, les histoire conter et savoir être en groupe, travailler en groupe et gérer un groupe. Certaine personnes sont devenu les leader car à l'école elles ont le devant des choses et elles ont été des chef de classe, de conseil scolaire et même de syndicat scolaire.
Et, si je demandais Pour quoi allez vous à l’école? 
et vous me dirai je vais à l'école pour devenir quelqu'un, alors que certains enfant vont à l'école pour jouer avec leurs amis, d'autres pour frapper leur camarade, d'autre encore pour voler les livres de leur camarade, et les plus gentils de ceux qui n'ont pas compris l'importance du savoir ne mettent même pas le pieds à l'école alors qu'ils sont bien habillé dans leur kaki neuf.
vouloir savoir, c'est vouloir braver tout obstacle à l’épanouissement. c'est pourquoi certains élèves ont décidé de faire fi des jeux, et de mettre au travail pour atteindre le bien être. 
En effet, il n'y a pas plus dangereux qu'une personne qui ne sais ni lire ni écrire, encore moins parler une langue qui est la langue nationale.
aidons nos enfants, contribuons à leur éducations, et faisons leur comprendre l'importance des études. Et, le faisant, nous sauverons les générations. enseigner et éduquer dans la paix, sans tâcher user de la violence, ni de les contraindre, car l'obligation tue l'envie d'apprendre.
Maxime N'dri +225 07377111

vendredi 21 septembre 2012

Interview/ Maxime Kouadio N’Dri, auteur de L’envol du Coeur : «L’amour vrai s’oppose à la haine, à la médisance et à la déchéance»


Les éditions Balafons, très productives, ces temps-ci, viennent de publier L’envol du Coeur, un roman signé par un jeune écrivain répondant au nom de Maxime Kouadio N’Dri. Ce dernier a bien voulu évoquer avec nous son bouquin.











« L’envol du Coeur » est un roman de 70 pages, c’est vraiment peu. Un manque d’inspiration ?


Je ne dirai pas que c’est un manque d’inspiration, c’est plutôt un souci d’encouragement à l’endroit des lecteurs. C’est une manière de les emmener à lire l’envol du coeur. J’ai approché certaines personnes avec des livres volumineux et, à première vue, elles se sont écriées : quand est-ce que tu finiras de lire ces livres ? J’ai compris que lorsque le livre est petit, il attire à la lecture même les plus paresseux.


Pouvez-vous nous parler de la genèse de ce bouquin ?


Il fut un temps, lorsque j’avais atteint la puberté, j’étais attiré par une fille, mais j’essuyais des échecs que je lui faisais des avances. Un jour, par pur hasard, j’ai envoyé une carte de voeux qui avait l’image

de la sainte famille, c'est-à-dire la vierge Marie et l’enfant Jésus dans la mangeoire. Et cette carte, je l’avais expédiée à Bintou, une inconnue qui fréquentait une école inconnue de moi (l’adresse a été piquée dans l’annuaire téléphonique). Et comme le destin nous réserve des surprises, j’ai eu gain de cause. Disons pour un temps puisque la tristesse, la désolation causée par la bêtise humaine va emmener mon inconnue bien- aimée dans une destination également méconnue de moi. Et le jour où j’ai déposé mon stylo, elle est rentrée en famille après environ un an de disparition. L’image de la première de couverture et le titre du livre accrochent indubitablement.

Quels commentaires pouvez-vous faire et de l’image et du titre?


L’image, pour moi, représente la déchéance humaine, l’homme par sa bêtise fait partir la colombe, symbole de paix (donc la paix), dans une destination inconnue de nous ; les larmes s’écoulent sur le visage d’une mère qui a prié nuit et jour pour le bonheur de ses enfants, laquelle mère voit son espoir se dissiper.

Je profite de cette aubaine pour dire merci à mon ami Inoussa, qui a su transformer ma pensée en cette magnifique image. Concernant le titre, j’étais un jour, en 2002, en train de réciter les paroles qui pouvaient être inscrites dans ce bouquin, et je me demandais quel pourrait être le titre. Et je disais : le dilemme de Balétégué, et une voix s’est faite entendre en moi, et elle a dit : l’envol du coeur. Il est venu de lui-même.

Votre bouquin parle donc de l’amour…De quoi s’agit-il ?


L’amour, dans toute sa plénitude. Il arrive qu’une femme nous donne son amour et nous lui servons l’amertume. Je parle ici de l’amour pur qui fait appel au bonheur, au vivre ensemble, et à l’espoir inébranlable.

L’amour vrai qui s’oppose à la haine, à la médisance, à la déchéance. Aimer c’est ouvrir la porte au bien-être familial, au bien-être social. Bintou rêvée, disparue, retrouvée n’est jamais apparue dans le champ de vision de Max, son amoureux.

Qu’avez-vous voulu démontrer par cette intrigue assez étrange mais originale ?


La force de l’espoir. C’est l’espoir qui a ramené Bintou à la vie. Je veux montrer ici que chacun de nous a sa Bintou. Une personne qui nous aime sincèrement, mais dont on ignore absolument tout. J’ai entendu des personnes dire que telle ou telle personne s’est suicidée parce qu’elle se sentirait seule et qu’elle ne serait pas aimée. Bien sûr, la chair de sa chair et l’os de son os promis depuis le jardin d’Eden est là et n’attend que chacun de nous.


L’amour serait-il une illusion, un rêve inaccessible ?


Non, pas vraiment. Mais c’est plutôt l’amour idéal qui semble illusoire.

L’idéalisme parfait n’est pas une chose qui nous tombe dessus. Il n’est pas de ce monde donc il faudrait qu’on accepte ce qu’on a comme tel et qu’on augmente notre taux de volontariat pour vivre un amour parfait et non idéal. C’est nous-mêmes qui créons la perfection.

Le personnage de Balétégué est attachant. Que représente-il du point de vue sémantique ?


Il représente la paix, il est le prototype d’un homme de foi, de bonheur et surtout de vivre ensemble. Il décide de pardonner et de s’en remettre à Dieu, seul habilité à venger les hommes ; sinon, pourquoi nous le prions de nous venir en aide? Pourquoi nous remplissons les temples, les églises chaque dimanche si nous devons nous venger nous-mêmes ?


Votre narrateur est intradiégétique. Cependant, nous lisons souvent « je » et souvent « Max ». Comment expliquez-vous ce mélange de focalisations?


Ce mélange s’explique par le fait que Max se met dans la peau d’autrui. En outre, Bintou aimait bien ce prénom, c’est pourquoi dans sa lettre adressée à Max, elle utilise ce prénom. Le « je » rend compte de la nature de la narration.


Peut-on dire que votre bouquin est autobiographique ?


Oui, c’est une autobiographie, mais qui va un peu loin avec l’histoire de Balétégué, qui est un récit vécu plutôt par un ami que je salue au passage.


Il y a des phrases de ce livre qui sont vraiment mal construites : Exemple : « Une personne, en un mot, que je ne pouvais pas décrire physiquement, mais dont je raffolais »(P.28), « Mais la bizarrerie dans laquelle se trouvait sa soeur aînée, l’emmena à interpeller
une personne un peu plus grande et plus âgée qu’elle qui vint constater la mort de sa soeur aînée » (p.17). Lourdeur, ambigüité, répétition, ponctuation approximative, conjugaison maladroite…euh…Et ce n’est pas tout. Alors… ?


Je n’ai certainement pas mis du temps à relire et corriger, et je pense qu’ici la rigueur n’était pas de mise. Je prêterai attention à ces intermittences afin qu’elles n’existent plus dans les rééditions futures.


Pourtant dans ce livre, il y a, au niveau du style, des choses intéressantes. Je note des rimes internes dans de nombreuses expressions qui assurent une certaine musicalité aux phrases : «
Incommensurable et incomparable » (P.14), « de bonheur et de douceur» (P.15), « par action ou par omission » (P.15), « ignorant et feignant », « l’effort fait des forts »(P.27) etc.


Merci pour cette belle remarque, en effet, l’envol du coeur à l’origine semblait un long poème, car j’ai voulu user d’une certaine musicalité pour rendre compte de la profondeur des choses, de la beauté de l’amour. La musique adoucit les moeurs.

En sus, je voulais attendrir les lecteurs, c’est pourquoi, le livre commence par « il arrive parfois des choses…»

Un mot à l’endroit de tous ceux qui n’ont pas encore lu L’Envol du Coeur…


Je voudrais leur dire ceci : il arrive parfois des choses qui dépassent notre entendement. Il faut les découvrir et pour les découvrir, il faut une lecture apaisée. Dans ce livre, je voudrais que vous reteniez des choses, mais la priorité des choses à retenir, c’est la paix qui fait vivre les familles, la paix qui fait vivre les pauvres, la paix qui fait vivre les riches. Car en période de guerre, nul ne peux vivre. En période de guerre les riches dorment sous les tentes et côtoient moustique et famine ; les pauvres, eux, meurent simplement. Merci pour votre bonne compréhension et bonne lecture à tous et à toutes.


In le Nouveau Courrier N°611 Du Vendredi 21 septembre 2012
Réalisé par Macaire Etty

mardi 18 septembre 2012

Solidarité: salut du peuple



Au feu, au feu
C'étais la case de la vieile bintou en feu
Là bas à Man, dans le mont tompki
Et le village se réveilla
Sans attendre assez de cri
Et les hommes bravèrent,
Flammes et vents.
Ils etaient de toutes nationalités
Et de toutes races.
Mère Apo conduisait les hommes et les femmes au marigot
Digbeu formait des rangs d'hommes
Et koigny versait l'eau sur la case en flemme
Où est passé mon hébétude?
Le lustre qui a vu grandir les fils de cette nation
Où est passé la grandeur des enfant d'Houphouet?
Le lendemain matin,
Pendant que les beninois maçons montaient les murs
Les senoufo jouaient au balafon
Les baoulé creusaient la terre
Les maliens la malaxaient
Le bété encourageais
Gueré chassait pour nourrir
Pour nourrir les braves travailleur
Et jour, est né
Un destructeur de vie,
Un destructeur de bien être.
Enseignez nous la politique avant de nous l'envoyer.
Cultivez sur la politique avant de nous y conduire.
Nous ne savons rien d'elle
Et nous faisons de l'ethnocratie
Où allons nous fiers ivoiriens?
Loin de nos savoirs
Savoir accueillir
Savoir vivre
Savoir pardonner
Alors que nous étions primitifs
Nous vivions heureux
Adieu le modernisme, si tu dois nous conduire à la mort
Adieu l'occident, si tu dois nous armer.
vie sans vie
vie sans ame
vivre esseulé, tel est la mort.

Maxime N'dri 07 377 111