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mercredi 30 avril 2014
samedi 19 avril 2014
Liberté individuelle: doit-on la violer?
Ces derniers temps, nous sommes acculés par les média parlant d'une animatrice au cœur d'un scandale sexuel.
De quoi s'agit-il ?
Elle se serait emportée en plein ébat sexuel avec son amant venu en vacance en Abidjan dans sa voiture, à quelque encablure d'un feu tricolore contenant une caméra de surveillance.
Cette camera serait placée là pour contrôler la circulation afin de voir des personnes qui grillent les feux, selon quelques informations reçues dans la rue. D'autres pensent qu'elle serait pour arrêter les bandits qui opèrent à ses feux.
Et, aujourd'hui, nous ajouterons une autre fonction qui est de filmer les amoureux qui, tard dans la nuit, s'amusent dans les rues de la capitale politique de la Côte d'Ivoire.
Nous savons que le plaisir sexuel est exigent et poussent certaines personnes à se satisfaire dans la rue obscure afin de bénéficier des avantages de la nature.
Mais cela doit-il est un scandale ?
Notre chère animatrice serait virée de la télévision après que la police l'est dénoncée.
L'intrigue : est-ce le rôle de la police de dénoncer ces pratiques aux employeurs ?
Devait-elle plutôt convoquer l'intéresser pour l'en informer ou contacter directement le patron de l'intéresser ? Devait-elle l'avertir de son acte du moment ou est une femme mariée ou faire en sorte qu'elle soit renvoyer ?
N'est-ce pas l'une de ses libertés de s'épanouir là ou bon lui semble ?
Officiellement, et dans nos mœurs en Abidjan, l'homosexualité est bannie, mais ne voyons-nous pas les homosexuels se livrer des actes de peu de moralités dans nos rues ?
Nous souhaiterons voir le respect des lois dans notre pays, sans oublier leurs applications. Notamment, l'interdiction de fumer dans la rue, l'interdiction d'utiliser le téléphone au volant...
Nous voulons que notre sécurité soit garantie, mais que nous laissons les amoureux s'amuser tard la nuit là où ils se sentent à l'aise.
Que cette dernière retrouve les antennes de la télévision, car elle ne devait pas être chassée pour sa liberté individuelle, sinon, que les règlements intérieurs en mentionnent afin que les uns et les autres l'évitent.
De quoi s'agit-il ?
Elle se serait emportée en plein ébat sexuel avec son amant venu en vacance en Abidjan dans sa voiture, à quelque encablure d'un feu tricolore contenant une caméra de surveillance.
Cette camera serait placée là pour contrôler la circulation afin de voir des personnes qui grillent les feux, selon quelques informations reçues dans la rue. D'autres pensent qu'elle serait pour arrêter les bandits qui opèrent à ses feux.
Et, aujourd'hui, nous ajouterons une autre fonction qui est de filmer les amoureux qui, tard dans la nuit, s'amusent dans les rues de la capitale politique de la Côte d'Ivoire.
Nous savons que le plaisir sexuel est exigent et poussent certaines personnes à se satisfaire dans la rue obscure afin de bénéficier des avantages de la nature.
Mais cela doit-il est un scandale ?
Notre chère animatrice serait virée de la télévision après que la police l'est dénoncée.
L'intrigue : est-ce le rôle de la police de dénoncer ces pratiques aux employeurs ?
Devait-elle plutôt convoquer l'intéresser pour l'en informer ou contacter directement le patron de l'intéresser ? Devait-elle l'avertir de son acte du moment ou est une femme mariée ou faire en sorte qu'elle soit renvoyer ?
N'est-ce pas l'une de ses libertés de s'épanouir là ou bon lui semble ?
Officiellement, et dans nos mœurs en Abidjan, l'homosexualité est bannie, mais ne voyons-nous pas les homosexuels se livrer des actes de peu de moralités dans nos rues ?
Nous souhaiterons voir le respect des lois dans notre pays, sans oublier leurs applications. Notamment, l'interdiction de fumer dans la rue, l'interdiction d'utiliser le téléphone au volant...
Nous voulons que notre sécurité soit garantie, mais que nous laissons les amoureux s'amuser tard la nuit là où ils se sentent à l'aise.
Que cette dernière retrouve les antennes de la télévision, car elle ne devait pas être chassée pour sa liberté individuelle, sinon, que les règlements intérieurs en mentionnent afin que les uns et les autres l'évitent.
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