samedi 14 juillet 2012


Le rêve, oui la source véritable de développement. Nous parlons ,nous, de l'American dream avec oncle Jo riziculteur, de l'oncle Sam aussi riziculteur, et sans oublier Santiago du Old Man And the Sea d'Ernest Hemingway. ce livre qui fait, tant, montre d'un espoir et d'une vie épanouie alors que la famine et la malchance monstre emportait cet pauvre vieil homme dans l’abîme et la moquerie, jusqu'au seuil de la méchanceté à tel enseigne que les parents du gamin, Manolin, seul compagnon du vieux Santiago, le poussait à s'éloigner du pauvre rêveur vieux pour se rapprocher des autres pêcheurs qui avaient de bonnes prises. Mais ne dit on pas que Christ habite dans le coeur des enfant? ce gamin faisait tout son possible pour apporter son soutien et aide à ce vieil malchanceux homme. Et un jour, oui un jour, le vieil homme à pêché dans sa solitude et maladie, le plus gros poisson que nul n'ai pu prendre en pêche si ce n'est lui. Aussi, le rêve américain partit loin en sorte que les uns et les autres, d'une manière ou d'une autre ont contribuer à l'éducation, de tous, gage de développement durable. apportant ne serait-ce qu'un (1) dollar par mois de façon volontaire pour la contribution à la gratuité des cours pour tous et bien d'autres choses encore.Nous rêvons mais nous copions toujours les faux exemples alors que nous pouvons aussi copier ces exemples en sorte que les planteurs, les Etudiants, les commençants ... se disent: "oui le développement c'est nous, et, sans exception de corps de métier ni de langue encore moins de race".Rêvons donc et développons ainsi notre belle patrie.
PAIX, AMOUR et JOIE en Côte d'Ivoire 
Que Dieu vous bénisse.

N'DRI Kouadio Maxime



mercredi 11 juillet 2012

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Volontariat et développement durable de la Cote d'Ivoire


Le volontariat est un état d’esprit. Cet état d’esprit consiste à vivre pour les autres comme l’a vécu Jésus, le premier volontaire de notre ère. Vivre pour les autres, c’est se savoir l’autre des autres et se dire qu’autant on fait à l’autre soi qui n’est pas soi-même, c’est à soi-même qu’on fait. Si nous décidons tous en ce jour, de
laver la maison du frère qui en face de nous, alors à tour de rôle nous allons laver la maison de tous le monde. Si nous vidons la poubelle de celui qui est à coté de nous, alors demain il videra la notre. Mais pour arriver à cet état d’esprit, il faut une éducation volontaire accrue. Il faut développer autour de soi, l’alphabétisme grand. En sorte que nous ne considérions plus l’école comme un lieu par excellence d’apprentissage à l’emploi, mais, plutôt qu’un lieu d’apprentissage de bien être social.
Vouloir vivre pour les autres, c’est vouloir se transcender et transcender tout préjugé et présupposé qui tend à nous faire voir nous-mêmes d’abord et à considérer les autres comme nos ennemis premiers. Un
égoïsme qui tue l’altruisme social et véritable. Le bonheur des uns doit se trouver dans celui des autres. C’est pourquoi Mahatma Gandhi soutient «Une vie de sacrifice est le sommet suprême de l'art. Elle est pleine d'une véritable joie.» Lettres à l'Ashram La fraternité est le propre de l’homme d’où la condamnation de l’homme à vivre avec ses frères. Il nous est impossible de nous passer des services des autres. S’il nous arrive de solliciter le service de quelqu’un d’autre aussi petit soit il; alors nous devons nous conformer à la vérité universelle selon Gandhi, «tous les hommes sont des frères». En effet l’enfant qu’on envoie pour nous acheter une marchandise quand on est fatigué est aussi un homme par excellence et par essence.
Nous devons aussi, retenir que notre solidarité que nous montrons envers les autres, ce n’est pas aux autres
que nous nous montrons solidaires mais à nousmêmes. Nos amis et nos frères en face de nous sont notre propre reflet et nous sommes condamnés à vivre avec eux.
Avons-nous la possibilité de nous éloigné de notre ombre ? Si oui, alors nous pouvons vivre solitaire dans se monde en mouvement perpétuel. Dans le cas contraire, je pense que nous n’avons pas la possibilité humaine de vivre sans les qui sont eux notre reflet. Si nous devons nous investir dans le domaine religieux, nous pouvons nous interroger sur le vivre ensemble humaine. Nous pouvons avoir comme hypothèse; l’homme est fait pour vivre en société. Parcourons la genèse et il en assortira que les premières vies humaine sur terre étaient appeler Adam et Eve. Il est leur assigné une mission qui est de se multiplier et de remplir la terre. Une mission qui a été faite car il n’y a mention d’aucune autre vie humaine rivale à celle d’Adam et Eve. Si Adam et Eve se sont multiplié pour remplir la terre, il va sans dire que nous sommes tous les frères et nous nous devons de venir en aide à un frère en difficulté. Il n’existe pas d’autres terres où nous pouvons aller. La seule terre sur laquelle nous pouvons développer notre vie est ici et nulle part ailleurs.











Notre action que nous allons mener pour la terre n’est pas une action fortuite. Mais, c’est une action que nous menons pour nous-mêmes nécessiteux de la vie et tributaire de la terre.
Au terme de cette analyse, il nous importe ici de montrer la valeur à être volontaire dans les actes que nous posons. Ainsi un conducteur sera conducteur avec amour parce que volontaire et un fonctionnaire
fera pareille jusqu’à toucher la couche sociale la moindre active. Si moi fonctionnaire, je me pleins de ma fonction et que je me mets en tête que c’est faute de moyen que j’occupe telle ou telle fonction alors que

je devais être bien plus que ça; alors je ne suis pas volontaire et je ne vais pas bien assumer ma fonction.
Que devons nous faire donc?