Ces temps ci, un constat amer se fait dans le domaine de l'agriculture en Côte d'Ivoire. Ainsi, les cacaoyers, les rizières et toute portion permettant de faire du vivrier se transforment, à grand pas, en plantation de latex d'où notre inquiétude.
Le danger qui plane à distance est que la terre utiliser pour l'hévéa-culture ne permet pas qu'une autre plante y pousse. même les boutures de maniocs qui produisent à tout bout de champs refusent de cohabiter avec les plans d'hévéa.
Une chose est à faire cependant, la promotion de la diversification agricole.
sinon, nous allons transformer le caoutchouc en aliment.
je pense qu'un cultivateur de gingembre peut gagner plus d'un million à l'hectare par trimestre et celui de l'aubergine un peu plus. il faut donc diversifier nos champs.
Ce n'est pas seulement le caoutchouc qui donne de l'argent.