samedi 17 août 2013

Fils d'Azaguié, ta ville mère t'appelle

Devons-nous nous faire la course?
Devons-nous nous courir après?
Ne dit-on pas que le bonheur se gagne dans le collectif et se consomme seul? Azaguié est là comme un oiseau aux ailes brisés, nous regarde comme un affamé abandonné dans le désert.
Est-ce le sort que nous devons lui offrir?
Regroupons-nous et recherchons les moyens pour investir dans notre cité qui a fait des cadres d'hier à aujourd'hui et qui en fera davantage pour demain. Du CEG d'Azaguié au Lycée Moderne d'Azaguié, ils sont, que dis-je, nous sommes nombreux qui sommes passés par là. Même si nous ne sommes pas tous devenus ministres ou présidents, nous sommes passés par là. De ceux que j'ai connu à ceux qui me sont inconnus, tout enfant d'Azaguié en été. Ne tenons pas compte des ethnies, mais vivant comme une chair à Azaguié. Notre sang y a coulé, notre sueur y a coulé et nous avons des pas, fouetté la terre rouge de cette belle cité pour nous faire un idéal.

Je parle au nom du père, du fils et du saint esprit / Aouzou billahi minalchaytane radjim, Azaguié a besoin de ses fils et filles, de nous!
La vérité, oui je veux que Dieu me donne de vous parler mais qu'il nous donne d'agir pour notre belle cité.

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