Ce dimanche, je m'approchai du stand de la Francophonie, sponsor du marché des arts et du spectacle d'Afrique dénommé MASA.
Intéressé par le bavardage avec une Sénégalaise ou malgache fière allure, je me vois offert un livre intitulé : les effets secondaires et les autres nouvelles.
Très tôt, j'entamai ma balade littéraire, d'abord au Canada, où une belle technique et un bel essai qui lui valut la médaille d'or me souhaitent la bienvenue. En suite, dans la Fédération Wallonie-Bruxelles où Edgar m'émoi avec son Hors Cadre bellement ensemencé et construit dans un style convainquant, mais qui me laissa dans une soif apeurant. Et, une chute honorable dans cette Côte d'Ivoire de talent où, une dame, Rosine me fit me surprendre les larmes s'écoulant de mes paupières presque dans une abondance pingre, pourtant, elles ont coulé. Son histoire ressemble tant d'autres, dans la vie typiquement africaine, où la pauvreté est la première marque des pays, allant à être instituée PPTE. Cette vie qui ouvre la porte au plus vieux métier du monde, une sauce concoctée et préparée avec l'aide d'une voisine, près ou loin de notre lieu d'habitation. On ne nait pas prostitué, mais on le devient. J'aurais été du jury, l'or lui serait décerné quand elle ouvre la porte à un espoir, la personne effrayante devient la personne avec qui nous partageons notre existence. Pour dire : il ne faut jamais faire de tri entre les hommes, car nul ne sais le destin.
Bravo Rosine, pour une plume «
Traumatisante » que tu as accouché un jour et que tu en donneras davantage, j'ai foi, au monde avenir.
Demain est un monde à venir.
Intéressé par le bavardage avec une Sénégalaise ou malgache fière allure, je me vois offert un livre intitulé : les effets secondaires et les autres nouvelles.
Très tôt, j'entamai ma balade littéraire, d'abord au Canada, où une belle technique et un bel essai qui lui valut la médaille d'or me souhaitent la bienvenue. En suite, dans la Fédération Wallonie-Bruxelles où Edgar m'émoi avec son Hors Cadre bellement ensemencé et construit dans un style convainquant, mais qui me laissa dans une soif apeurant. Et, une chute honorable dans cette Côte d'Ivoire de talent où, une dame, Rosine me fit me surprendre les larmes s'écoulant de mes paupières presque dans une abondance pingre, pourtant, elles ont coulé. Son histoire ressemble tant d'autres, dans la vie typiquement africaine, où la pauvreté est la première marque des pays, allant à être instituée PPTE. Cette vie qui ouvre la porte au plus vieux métier du monde, une sauce concoctée et préparée avec l'aide d'une voisine, près ou loin de notre lieu d'habitation. On ne nait pas prostitué, mais on le devient. J'aurais été du jury, l'or lui serait décerné quand elle ouvre la porte à un espoir, la personne effrayante devient la personne avec qui nous partageons notre existence. Pour dire : il ne faut jamais faire de tri entre les hommes, car nul ne sais le destin.
Bravo Rosine, pour une plume «
Traumatisante » que tu as accouché un jour et que tu en donneras davantage, j'ai foi, au monde avenir.
Demain est un monde à venir.
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