Les faits se déroulent à Yopougon ce vendredi 12 septembre 2014 à 12.00 une dame marchent avec un monsieur, causant et riant comme deux complices qui se connaissent depuis belle lurette. Ils arrivent devant un vendeur de vélo. Le monsieur decide d'interroger sur le coût du vélo. Le vendeur lui communique le prix, mais il insiste essayer le vélo avant achat et demande à la jeune dame de s’asseoir et attendre son retour de l’essai du vélo. Elle avait laissé son porte-monnaie dans la main du monsieur. Après plus de trente minutes d’essai, la demoiselle se voit abandonnée puisque le cycliste ne revient pas. Elle se rend compte que son téléphone portable était dans la main du dernier qu'elle venait de se faire gruger. Est-ce un coup monter par pièce ? Le vendeur se saisit de la demoiselle et exige le retour du cycliste avant de la libérer. Jusqu'à 13 heures, elle demeure toujours dans la main de se confisquant. Quelques personnes pour rire de son malheur disent : elle a été mise en garant contre le vélo. Elle prétend ne pas le connaitre et qu'ils avaient fait connaissance le jour même pourtant l'impression donnait autre verdict.