Ce dimanche, une scène digne de la comédie a eu lieu dans un quartier d'Abidjan.
Tout le monde était convié au mariage de ce beau et jeune couple. C'était la fête, l'ambiance, le bonheur et tout ce qui pouvait concourir au bien-être de chaque convive. Ça a mangé, but et dansé en même temps et certaines filles ont eu leurs hommes sur les lieux et des hommes leurs femmes aussi. C'était beau et convivial.
La fête a continué jusque à 23 heures après une belle réception, une belle fête qui a tenu ses promesses.
Les mariés ont regagné leur chambre pour une belle lune de miel, une belle lune amoureuse, une nuit de grésillement de grillons, une nuit de lumière écarlate, où la lune s'offrait avec amour, une blancheur de bon vivre. Le rêve réalisé, les amoureux, chacun à l'autre, "enfin le rêve est devenu réalité", disait.
La longue et langoureuse nuit passait et c'était cinq heures du matin.
L'épouse se croyant en cachette pour voir son amant comme elle le faisait avant leur mariage (Le père était strict et leur interdisait ses filles de sortie. Donc c'était la nuit à 23 heures qu'elle allait le voir les samedis et revenait le dimanche entre quatre heures trente et cinq heures.) et, se mis à crier lorsqu'il était cinq heures vingt: -ouh, je suis foutu. Elle demanda à rentrer urgemment parce qu'elle redoutait la colère de son père. Son mari ne comprenait rien, mais l'accompagna tout de même. Elle trouva une cour remplie de reste et d'assiette et ses sœurs qui faisaient le ménage à cette heure du matin. Elles lui criaient dessus et lui demandaient les raisons pour lesquelles elle était rentrée de si tôt. Elle leur répondit qu'elle croyait qu'elle était sortie sans la permission du père et avait peur de sa réaction tellement elle avait été traumatisée avant.
Alors parents, évitez de trop traumatiser vos filles, mais éduquez les dans la sagesse.
Tout le monde était convié au mariage de ce beau et jeune couple. C'était la fête, l'ambiance, le bonheur et tout ce qui pouvait concourir au bien-être de chaque convive. Ça a mangé, but et dansé en même temps et certaines filles ont eu leurs hommes sur les lieux et des hommes leurs femmes aussi. C'était beau et convivial.
La fête a continué jusque à 23 heures après une belle réception, une belle fête qui a tenu ses promesses.
Les mariés ont regagné leur chambre pour une belle lune de miel, une belle lune amoureuse, une nuit de grésillement de grillons, une nuit de lumière écarlate, où la lune s'offrait avec amour, une blancheur de bon vivre. Le rêve réalisé, les amoureux, chacun à l'autre, "enfin le rêve est devenu réalité", disait.
La longue et langoureuse nuit passait et c'était cinq heures du matin.
L'épouse se croyant en cachette pour voir son amant comme elle le faisait avant leur mariage (Le père était strict et leur interdisait ses filles de sortie. Donc c'était la nuit à 23 heures qu'elle allait le voir les samedis et revenait le dimanche entre quatre heures trente et cinq heures.) et, se mis à crier lorsqu'il était cinq heures vingt: -ouh, je suis foutu. Elle demanda à rentrer urgemment parce qu'elle redoutait la colère de son père. Son mari ne comprenait rien, mais l'accompagna tout de même. Elle trouva une cour remplie de reste et d'assiette et ses sœurs qui faisaient le ménage à cette heure du matin. Elles lui criaient dessus et lui demandaient les raisons pour lesquelles elle était rentrée de si tôt. Elle leur répondit qu'elle croyait qu'elle était sortie sans la permission du père et avait peur de sa réaction tellement elle avait été traumatisée avant.
Alors parents, évitez de trop traumatiser vos filles, mais éduquez les dans la sagesse.
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