jeudi 12 décembre 2013

Cadeaux de fin d'années: qui du père ou de la mère pense à l'éducation de l'enfant?


C'est la période des fêtes. On achète des présents aux enfants. Mais quel présent, choisissent les pères ou les mères?

Ils sont rares ceux qui pensent à offrir un livre à leurs enfants comme cadeau parce que, selon eux, la rentrée scolaire est là pour le livre. bien que le sens du mot cadeau ne définit pas clairement les offres à donner: il nous importe de recourir à Wikipedia qui va encore plus loin. selon lui, "Un cadeau ou présent est une forme courante de don destiné à faire plaisir à une personne physique. Par extension, c’est quelque chose qui rend autrui heureux ou moins triste, une faveur, un acte de bonté et de pardon.
Le cadeau peut être un objet, de l’argent, un droit à acheter ou à faire quelque chose (par exemple un voyage) ; le cadeau est généralement agrémenté d’un emballage (papier cadeau) ou d’une présentation festive.
Traditionnellement, certaines occasions sont propices pour offrir des cadeaux : anniversaires, Noël, mariages, Saint-Valentin, fête des mères, etc.On porte plutôt le regarde vers les jouets de dernière génération : armes de dernière génération, vélos, voiturettes, poupées... faire plaisir aujourd'hui sans penser au plaisir de demain. Et offrir un livre est une calamité. Cependant, certaines personnes sortent la tête du lot.
Les hommes qui ont acheté un livre disent : ma femme m'a fait palabre, car elle ne voulait pas que j'achète le livre, elle voulait autre chose que le livre. Tout ce qui n'a pas un rapport avec l'école.
Après une petite question posée à certaines dames, il ressort que les dames veulent que les enfants reposent leur tête ou, le voisin a acheté un jouet et non un livre pour ses enfants, alors il faut en faire autant. Et on fait fi de notre possibilité boursière et faire plaisir à un enfant devient un casse-tête. 
Le nerf du problème est que la femme passe plus de temps à la maison et voit ce que le voisin ou la voisine a donné à ses enfants. Pour éviter que les leur partent jouer avec leur camarade, il faut aussi leur offrir les mêmes jouets.
Tort ou raison ?
L'éducation d'un enfant passe avant tout. Il faut lui assurer un avenir qui ne se trouve pas dans les jouets, mais, dont les livres pourront lui offrir.
Les livres renferment beaucoup de choses à découvrir. Il ne faut pas qu'on pousse les enfants à la paresse, mais au courage. Si nous les parents, sommes anti-livres, alors laissons les enfants êtres autres que ce que nous sommes.
Allons dans nos librairies et offrons des livres à nos enfants.

lundi 9 décembre 2013

Code de la route: la mort nous est servie!

Les codes de la route qui réglementent la circulation, limitent les vitesses et qui fluidifient le mouvement des habitants des pays du monde digne de ce nom est une carence ou du moins, souffre d'une avitaminose exagérée.
Le constat dans nos rues Abidjanaise est alarmant et c'est là où ces panneaux sont sensés être posés que les accidents abondent. Aucun panneau stop aux endroits de masse, aux alentour des écoles, -si ce n'est le vigile qui brandit un panneau stop au conducteurs analphabètes ou irrespectueux des piétons au risque de sa vie- et aux abord des hôpitaux.
Avec l'afflue des permis de conduire où sans faire l'auto-école, l'on a accès au premier diplôme de la vie; les conducteurs qui ne savent pas lire ou qui paye autrui pour passer le code pour eux, bien que j'ai peur d’exagérer, on ne respecte pas les feux tricolore où la règle de priorité si le conducteur brandit son arme qui est: "le propriétaire attend sa recette, je dois vite conduire pour avoir ma part".
Aussi facilement, on fait un accrochage, on cogne celui qui a la priorité parce qu'impatient ou encore on jette les passager des ponts quand on a pas eu de pancarte qui indique les travaux ou la voix défectueuse qui nous prends par surprise et sans alternatif, au secours on saute!
Autorités, il ne s'agit pas de dénombrer les morts par la route, mais de créer les infrastructures qui permettraient de mettre hors de porté, l'assassinat par les quatre roues.
c'est vrai, vous avez fait beaucoup, mais il reste encore beaucoup trop à faire. Mettre à la disposition de la population les codes de la routes, l'on saurait où traverser, où ne pas traverser pour éviter de se faire écraser par un véhicule roulant à vive allure là où il devait roulé peut-être à 40 km/heure ou 25km/heure.
Nous imputons cette faute à l'état pourtant nous devons aussi regarder parmi nous, les personnes bouchées jusqu’aux orteils et qui pense faire droit de bourse sur tous les métaux. Ce sont les forgeronts, qui la nuit, déterrent ses métaux pour fabriquer les matériaux et qui mettent sur le dos de la pauvreté. Je prend pour exemple les poubelle qu'ont dispersées, les autorités municipales Agbovilloise, en bordure de routes qui ne sont devenues qu'un souvenir. Certains parle fièrement de cette infortune et honte de leur part comme s'ils avaient fait la bonne action en utilisant ses poubelles pour fabriquer les marmites, seaux, fourneau et autres objet et ce, malgré les campagne de sensibilisation à la radio la voix de l'Agneby.
Formons nos esprits, nos têtes et nos ventres à accepter les choses publiques en les respectant. Ce ne sont pas seulement les enfants qui doivent aller à l'école mais tous les habitants d'un pays. on ne doit pas imposer un âge pour l'école mais tout âge devais y avoir accès.
Car je pense que c'est l’analphabétisme volontairement organisé par les autorités africaines francophones, depuis le colon jusqu'aujourd'hui, qui fait méprendre la population, ne comprenant pas le bien pour lui et pense que la population est la population et que l'état c'est l'état, ignorant son rôle pour le bien-être de cet état dont il doit assurer la survie.
Nous devons aussi penser à une autre forme d'éducation dans nos écoles et nos universités afin que nos frères et soeurs connaissent la valeur humaine, la valeur altruiste.
Nous devons inculquer le sens du volontariat aux enfants et faire passer en avant, l'importance de l'autre, afin que nos chemins ne nous tuent plus mais nous facilitent le mouvement migratoire des biens, des personnes, et tout allant et venant de l’existence humaine.
Que chacun comprennent sa part de responsabilité, et qu'on ouvre l'école à tous les vieux et vieilles éducateurs ou éducatrices domestiques afin que les enfants comprennent le monde depuis le sein maternel.
Aussi, nos égoïsme hérités et partagés doivent laisser place à l'altruisme salvateur du monde développé.

Maxime N'DRI 07377111

samedi 7 décembre 2013

Côte d'Ivoire: Le pardon est un remède

Le pardon, doit-on obliger une personne à pardonner? Ne saurait-il pas que le pardon est une obligation morale?

Combien coûte-il de demander pardon en toute sincérité?

Nous avons accusé Soro Guillaume en 2002 et il a demandé pardon devant la nation même si pour lui, c'était pour servir une cause noble, il a reconnu son tort et a présenté ses sincères excuses à la nation.
N'avons-nous pas loué se courage? N'avons-nous pas aimé ce jeune homme en son temps?
Aujourd'hui, où est-il?
Quand on prend des personnes qu'on veux servir au sérieux, alors on reconnait nos dérives et on n'hésite pas à faire pardonner nos manquements.
Balétégué dans l'Envol Du Cœur a reconnu sa part de responsabilité et a dit après la mort de N'fa et N'nan que : "Allah ka di, Allah ka ta; je suis comme un soldat et je ne doit aucunement me venger. Nous sommes des religieux et nous croyons en Dieu, c'est pourquoi, à lui seul de venger nos morts car nous hommes, ne pouvons pas rendre véritable justice". Ce que nous pouvons faire, c'est de pardonner main dans la main. Nous devons songer à reconstruire notre pays.
SEM SORO Guillaume est aimé et respecté pas parce qu'il est le président de l'assemblée nationale, mais bien parce qu’il a demandé pardon à son peuple jusqu'aux couches les plus victime des crise et même ceux qui n'ont jamais entendus tonner le canon.
Et cela lui revaudrait dans l'avenir un poste de président de la république pour son action en faveur de la paix.
La paix n'est pas la chose d'un individu. C'est le lieu d'épanouissement du pauvre, celui du riche, celui des animaux et tous ceux qui vivent sur la terre. En période de guerre, les riche vivent sous les tentes et les pauvres meurent tout simplement par la cause de la famine. Le riche reçoit les balles en direct et les pauvres les balles perdues.
Certaines personnes ont connu la mort pain à la main pourtant pas directement visé. C'est pour cela que nous devons nous asseoir autour de la table du dialogue de papa.
Il nous a dressé la table avant sa mort et cette table vieillie ou a une couche de poussière de plus de deux centimètres par le fait des accusations ou des accusateurs inutiles sans proposer mieux que l'autres.
Demander pardon, c'est sauver non seulement sa vie, mais celle de cette population affamée qui croupie dans la prison de votre haine.
Qu'ont ils fait pour mériter la vie sous ce courroux de votre insouciance?
Aujourd'hui, mon modèle c'est SEM SORO Guillaume du fait de la leçon d'humilité donné depuis 2002 
Pardonnez et faites vous pardonner... Que dis-je? pardonnons et faisons nous pardonner.
Journalistes, Hommes de lettres, blogueurs, photographes, décideurs, présidents, ong... changeons de chant de bataille. Ne poussons pas les peuples, nos peuple dans le périple de la vie. amenons les à travers nos écrits et nos communications à se demander pardon et à revivre comme des frères, en bon voisinage, dans leurs communauté. Les époux se battent à cause de la politique pourtant cela devait pas exister.

vendredi 6 décembre 2013

My tribute to Madiba

Photo: My tribute to Madiba

“My life was not exemplar at the beginning
I, by myself, don’t like everything I have done
But I change my life into best one
Today, you consider me as a god
Father of goodness
Father of the world
A giant and endless father
Is my life
What I am hearing about?
What you may understand
Is none is worst but
Every one by his strength
Can change the court of his life
I was hungered in jail
My action for Africa
Was not only for Africa
But for humankind
Don't cry by your misery life
Tomorrow is a light
Enlighten your mind
Enlighten your way
Go up Africa
Fight for tomorrow
Cause tomorrow neither dies”
This comes in my mind
As if Madiba is talking to me
If you don't change the face of Africa
He dies for granted
Africa needs change
The world needs change
Rest in peace dad
You're not dead.
“My life was not exemplar at the beginning
I, by myself, don’t like everything I have done
But I change my life into best one
Today, you consider me as a god
Father of goodness
Father of the world
A giant and endless father
Is my life
What I am hearing about?
What you may understand
Is none is worst but
Every one by his strength
Can change the court of his life
I was hungered in jail
My action for Africa
Was not only for Africa
But for humankind
Don't cry by your misery life
Tomorrow is a light
Enlighten your mind
Enlighten your way
Go up Africa
Fight for tomorrow
Cause tomorrow neither dies”
This comes in my mind
As if Madiba is talking to me
If you don't change the face of Africa
He dies for granted
Africa needs change
The world needs change
Rest in peace dad
You're not dead.

Adieu Papa Mandela

Umh héééé
Umh
Ohééééé
Umh
Non il n'est pas parti
Non, il nous regarde
Il contemple la grandeur de Dieu
Il regarde ses enfants en larme
Umh héééé
Umh
Ohééééé
Umh
Qu’avez-vous pour continuer son combat
Jusqu’où êtes-vous prêt à partir
Pour que son nom soit éternel
Non, il n'est pas mort
Il nous laisse la place
Afin que nous continuons son combat
Umh héééé
Umh
Ohééééé
Umh
Afrique lève-toi Afrique
Regarde dans les cieux
Dans la direction de sa main
Regarde au midi
Il se fait un chemin
Non, jusqu'où êtes-vous prêt à aller?
Umh héééé
Umh
Ohééééé
Umh
Regarde les pas silencieux
Sa voix jamais ne sera entendue en direct
Jamais nous ne pourrons prendre de photo en direct
Avec lui à notre coté
Umh héééé
Umh
Ohééééé
Umh
Hommes prions hommes
Femmes priez femmes

Madidiba n’est pas mort.