Au secours, on meurt, feu tricolore en détresse.
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el est le cri silencieux des populations Abidjanaises qui en longueurs de
journée se vois percuter par des chauffards qui ont achetés leur permis de conduire sans
passer par les auto-écoles.
A ce cri, s’ajoute celui des feux
tricolores d’Abidjan. En effet, alors qu’on parle de sécurité des biens et des
hommes, la sécurité routière est mal en point.
Rendons nous à tout hasard dans
la commune de Yopougon par les deux premiers ponts venant d’Adjamé. Notons que Yopougon
est la commune la plus grande de cote d’ivoire avec une tranche moyenne de
population.
Et dans cette commune, il y a
deux jours de cela, un automobiliste à emporté la vie d’une jeune demoiselle
sans tacher s’arrêter.
Par le premier pont, le constat est clair, le feu du carrefour de sable n’existe que de nom, ce n’est pas celui
de Siporex au deuxième pont qui nous dira le contraire. A quelques encablures de
ces lieux, le feu de l’institut des Aveugle, lieu où fréquentent les aveugles, croupit dans un coma trop profond, à Keneya sur l’axe du second pont
c’est le KO. Le feu du complexe sportif de Yopougon dénommé Complexe Jessy Jackson
pour ce qu’on sait, est géré par les transporteurs eux même se faisant la loi sans oublier celui de l’église Saint André et
Wakouboué. Le feu de carrefour Sapeur pompier crie au secours pendant que celui de
terminus 40 se meurt. Nous n’allons pas terminer notre liste qui n’est pas du
tout exhaustive sans parler des feux sur le troisième pont, Niangon et les
autres feux dans la ville d’Abidjan. Nous comprenons l’effort consenti par le
gouvernement au niveau de la sécurité mais les ivoiriens meurent aux feux tricolores et
je voudrai me poser la question de savoir, où sont passés les organes chargés de
ses feux tricolores ?
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