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lundi 7 janvier 2013

CITOYENNETE ET ENVIRONNEMENT


Quand il m’a été demandé de faire cet article sur la citoyenneté et l’environnement, je me suis posé la question de savoir par où il fallait que commence.  Je réfléchissais en fouillant dans le fin fond de ma mémoire pour chercher des actions ou  des anecdotes par lesquelles commencer. Mes souvenirs se sont arrêtés au collège. Oui au Collège et précisément à la classe de 6è. En effet, les nouveaux collégiens devaient faire connaissance  avec une nouvelle matière appelée Education Civique et  Morale (ECM). Pourquoi vouloir partir de là ? C’est tout simplement parce que le premier chapitre de cette nouvelle matière nous interpellait sur notre environnement. Je ne sais pas si c’est toujours le cas mais le titre du premier chapitre d’ECM de la classe de 6è était « Les pratiques d’hygiènes et l’environnement immédiat ».
Pour développer ce thème, il est vrai que nous devons savoir ce que c’est que la citoyenneté mais le plus important pour nous ici sera de mettre en exergue le rapport entre le citoyen et son environnement. Il nous faut donc donner une définition brève mais compréhensible du mot « Citoyenneté ». Nous allons donc prendre la définition qui cadre le plus avec notre sujet que nous propose Wikipédia « La citoyenneté symbolise le respect des droits et devoir de citoyen ( un citoyen est une personne qui relève de la protection et de l'autorité d'un Etat, dont il est un ressortissant) d'un État, permettant une vie en communauté harmonieuse et durable ».
Pour en venir au sujet proprement dit, je me suis référé au cours d’ECM de 6è pour dire que le souci de l’Etat est d’instruire le citoyen sur l’environnement. D’aucun me poseront la question de savoir : Et ce qui ne sont pas allé jusqu’à atteindre le niveau 6è de notre système scolaire ? À ceux-là je répondrai : Qui mieux qu’un enfant peut expliquer à ses parents, frères ou sœurs les avantages d’un environnement sain ? 
à dire vrai, j’ai constaté que tous ces efforts faits par l’Etat pour enseigner les bienfaits d’un environnement sain sont tombé dans des oreilles de sourds. En effet j’ai pu remarquer que l’ivoirien, quelque soit son niveau d’étude, sa classe sociale son bord politique, son ethnie et j’en passe, est loin d’accorder un grand respect à son environnement.  C’est en cela que vous pouvez voir que dans la plupart des quartiers d’Abidjan, nous faisons bon ménage avec les ordures qui polluent notre environnement. Tout cela parce que nous ne respectons pas les règles minimums d’hygiènes à nous enseignés.
J’ai été très heureux de voir ces grands panneaux dans la ville d’Abidjan, nous interpellant sur les comportements hygiéniques à tenir. Mais combien sont ces Abidjanais qui mettre pratique ces recommandations ? La réponse est toute simple, le respect des règles d’hygiènes ne fait pas partir des priorités des ivoiriens. Sinon comment comprendre qu’on ne peut parcourir le Boulevard Nangui Abrogoua dans la commune d’adjamé sans se boucher les narines. Essayer d’aller à Anoumambo (dans la commune de Koumassi) en passant par l’Institut National de la Jeunesse et du Sport sans froncer les sourcils. Je ne suis pas sûr que vous en soyez capables. Pensez-vous que les habitants de ces communes ne savent pas qu’il faut jeter les ordures dans des poubelles, qu’il ne faut pas pisser dans la rue pour ne dire que cela ? Ils le savent bien mais ils s’en foutent éperdument. 
Etes-vous déjà rentrés dans les toilettes d’un établissement secondaire ? Je suis tenté de vous dire n’essayez pas. Vous en sortirez certainement avec une infection. Question de dire que les cours d’ECM enseignés à nos élèves ne comptent que pour du beurre. Nous retournons donc à la case départ : l’ivoirien, quelque soit son niveau d’étude, sa classe sociale son bord politique, son ethnie et j’en passe, est loin d’accorder un grand respect à son environnement ! C’est la triste réalité mais c’est ce qui est. 
La dernière fois j’ai été choqué de voir Monsieur ‘’respectable’’ jeter une canette de bière vide de sa voiture sur le trottoir. Vous aller me dire qu’il n’a pas un haut niveau d’étude ? Il n’en avait pas l’air. Et ces genres d’exemples sont légions. Mais bon c’est le comportement propre à la plupart des Ivoiriens. Dans un lieu à fréquentation massive où j’ai été un soir, j’ai pu constater que les toilettes n’étaient pas propres. J’ai tout de suite pensé que la chasse d’eau ne fonctionnait pas correctement. Faisant la remarque à employé de l’endroit où nous étions, il m’a fait savoir que la chasse d’eau marchait bien et je l’ai réalisé après vérification. Mais certaines personnes ne prenaient pas la peine de la tirer. Conclusion : l’ivoirien, quelque soit son niveau d’étude, sa classe sociale son bord politique, son ethnie et j’en passe, est loin d’accorder un grand respect à son environnement.
Mais nous n’allons quand même pas rester sur cette idée. Comment les autres ont réussi à rendre leur environnement sain et pas nous ivoiriens ? Comme solutions, je pourrais faire quelques propositions. On pourrait créer une police de la salubrité et prier Dieu pour qu’elle ne soit trop corrompue (peut-être qu’elle existe déjà, je n’en ai jamais entendu parler en tout cas) ; Une police qui sera chargée de surveiller les comportements des citoyens et sanctionner sévèrement toutes personnes non respectueuses des règles d’hygiènes. Organiser pourquoi pas des concours des plus beaux établissements et des plus belles communes de la ville d’Abidjan. C’est vrai que cela existe déjà mais on pourrait médiatiser encore plus ce concours de sorte que cela devienne une institution. 
Je vais mettre fin à mes propos, mais il faut retenir que l’ivoirien, quelque soit son niveau d’étude, sa classe sociale son bord politique, son ethnie et j’en passe, est loin d’accorder un grand respect à son environnement. Il va falloir donc entreprendre de grandes politiques pour nous inculquer cela. 

                                                                                                                                    Marck-Andy

jeudi 3 janvier 2013

La citoyenneté, une façon d’être moderne


Être citoyen d’un Etat suppose la jouissance d’un certain nombre de droits. Droits à la santé à la l’éducation, à la protection. Droit de vote, droit d’éligibilité, droit d’accéder à certaines fonctions publiques. Droit à la liberté d’expression, droit de propriété d’expression etc. Concernant ces droits nul ne veut en être privé.
Cependant, la citoyenneté va de pair avec des devoirs. Le devoir de payer ses impôts, le devoir de respecter le bien d’autrui, le devoir de se soumettre à la loi, le devoir de respecter la hiérarchie etc. C’est le respect sacro-saint de ces devoirs et leur accomplissement qui assurent à la cité sa cohésion et sa survie. Sans cela la cité (l’Etat) est condamnée au désordre, au déséquilibre et au chaos.
Si la jouissance des droits par les citoyens se fait sans contrainte ou sensibilisation, les choses deviennent plus alambiquées quand il s’agit de faire ses devoirs. En occident,  c’est bien sûr l’équilibre entre la jouissance de ses droits et l’accomplissement des devoirs qui fait de ces pays des Etats forts. Qu’il est émouvant de voir un père rappeler à sa progéniture son devoir de respecter la loi ou le bien public ! Il n’est pas rare de voir un citoyen aller volontairement, et cela sans pression aucune, payer ses impôts ou une quelconque taxe qu’exige l’Etat ou même la municipalité.
En Afrique et en Côte d’Ivoire, le chantier est immense. Tout semble démontrer que personne ne veut accomplir même ses devoirs les plus élémentaires. Il vous suffit de vous promener dans la rue, d’observer et de vous en rendre compte. Nul ne se soucie de la propriété de la voie publique. Ici, ce sont des épluchures de bananes que jette au sol une dame ; là, c’est un jeune homme qui se soulage dans les caniveaux. Les chauffeurs ne daignent pas respecter le feu tricolore tandis que des corps habillés, occupés au racket s’abstiennent d’assurer l’ordre et la sécurité pour lesquels ils sont rémunérés. Les fonctionnaires sont heureux de recevoir leur salaire (ils se battent même pour qu’il soit augmenté, mais ils ne veulent pas faire le travail pour lequel ils sont payés ; s’ils ne vont pas en retard au service, ils s’y présentent sans mettre la main à la tâche. Dans les bureaux, les biens de l’Etat (électricité, téléphone, papiers etc.) sont gaspillés sans scrupules.
La citoyenneté n’est pas un statut d’oisiveté et de jouissance. Elle exige une prise de conscience ou du moins la conscience d’appartenir à une communauté. Ainsi tous les faits et gestes du citoyen doivent tendre à rechercher le bien collectif, l’équilibre du groupe. Si nous aimons notre pays, nous devons nous sentir engagés dans le même bateau en participant à son édification. Chacun à son niveau doit s’efforcer à mériter de l’Etat. Aujourd’hui, on parle du « citoyen du monde ». Si nous n’avons pas été à la hauteur de la citoyenneté nationale, pouvons-nous l’être au niveau planétaire ? La citoyenneté rime avec l’amour d’autrui, le don de soi, le travail bien fait, la quête du mérite, le patriotisme constructif, le culte des valeurs démocratiques et républicaines. Jean-Jacques Rousseau, à  ce propos, disait à juste titre : « Le citoyen est un être qui exprime non pas son intérêt individuel mais l’intérêt général ». Un Etat où les citoyens accomplissent leurs devoirs avec abnégation en attendant de jouir de leurs droits est assuré à faire des bonds prodigieux en avant. Pour la nouvelle année qui va bientôt nous ouvrir les bras, prenons ensemble l’engagement d’être de véritables citoyens et nous verrons que l’impossible deviendra possible pour notre pays.
Etty Macaire


mercredi 2 janvier 2013

Citoyenneté et développement durable


Un citoyen ce demande : qu’est ce que le développement durable ? Que faire pour un atteindre le développement durable ?
En réalité, je pense qu’il doit d’abord se demander qu’est ce qu’un citoyen ? Le faisant, il comprendra mieux le développement durable.
Pour l’aider à se savoir lui-même, c'est-à-dire à se connaitre lui-même, nous allons donner un sens au terme citoyenneté aboutissant au citoyen lui-même.
La citoyenneté est le fait pour une personne, pour une famille ou pour un groupe, d'être reconnu comme membre d'une cité (aujourd'hui d'un État) nourrissant un projet commun auquel ils souhaitent prendre une part active. La citoyenneté comporte des droits civils et politiques et des devoirs civiques définissant le rôle du citoyen dans la cité et face aux institutions. Au sens juridique, c'est un principe de légitimité : un citoyen est un sujet de devoir.
La citoyenneté ne doit pas être confondue avec la nationalité : par exemple un citoyen ivoirien peut avoir la nationalité française et, par ce fait, la citoyenneté ivoirienne. Autre exemple, en République du Vanuatu, est déclaré citoyen Nivan toute personne vivant et travaillant sur le territoire.
Le développement durable (anglais : sustainable development, parfois directement traduit en développement soutenable) est une nouvelle conception de l'intérêt public, appliquée à la croissance économique et reconsidérée à l'échelle mondiale afin de prendre en compte les aspects environnementaux et sociaux d'une planète globalisée. (cf. wikipedia)
Analysons: un citoyen est un sujet de devoir, or le développement durable est l’intérêt public. Si le citoyen est sujet, alors le développement dépend de lui. C’est l’affaire de sont intérêt personnel car le public garde sa survie grâce aux actions que pose chaque citoyen qui jouit de son pays.
Si chacun des citoyens ivoiriens nettoyait une partie de la ville, ou si chacun veillait à ne pas jeter les ordures dans la rue, alors la propriété de cette ville ferait son bonheur.
La citoyenneté, fait appel au devoir et le devoir aide au développement. Pour créer des emplois dans un pays, un citoyen ne devait pas hésiter à le faire chez lui, sauf si la législation l’en interdise.
On veut atteindre le niveau développé de notre pays, alors que chacun s’approprie, son droit et devoir.
On a tendance à se demander ce que fait le pays pour nous, alors que c’est le contraire qu’on doit se demander.
Pour développer notre pays, nous devons partir du fait de l’éducation. Ce qui doit sauver notre système éducatif, c’est notre volonté à construire les écoles par nos petits gestes et par les bailleurs de fond qui viendront encaisser les d’être des années à venir.
Nous sommes vingt millions d’habitant en cote d’ivoire, si chacun décide de donner une somme de cinq franc par moi pour la construction des écoles nouvelle et c’est faisable, alors on aura plus de dix école par village et plus de cent par commune. Les volontaires viendront éduquer les parents afin que le niveau de scolarité se développe chez nous. On peu aussi demander aux étudiant, de par le service civique, de venir donner des cours dans ces nombreuse école afin d’aider les parent et le pays dans leur prise de décision.
Le manque de lecture n’aide pas les parents qui n’ont aucune notion de gestion des dons reçus des donateurs. Ils utilisent pour certains de pour se prendre une seconde voire troisième épouse au lieu de travailler avec ses dont pour un profit meilleur.
Les lois que nous prenons dans nos assemblées nationales ne sont pas celles de la population illettrée, qui ne connaît aucune ligne de ses lois, alors que la constitution l’engage.
Nous devons créer des systèmes d’éducation pour tous sans regarder l’âge de l’individu. Car, un individu âgé peut étudier et connaitre une matière de son choix afin d’aider sa communauté.
Au finish, nous disons qu’un citoyen est garant du développement durable de sa nation. C’est pourquoi, il se doit de lui inculquer se savoir afin qu’il put faire son devoir.
Un citoyen c’est celui qui aide son pays à atteindre le développement durable.