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mardi 16 avril 2013

Les pleurs d'un conducteur de gbaka.



Parents, amis, frères et sœur,
je suis un conducteur de minicar appelé gkaka, chez nous, depuis plus de dix ans. j'ai fait l'école comme tous les enfants de mon âge et ce jusqu'au niveau DUEL 2 et après on l'appelé ça DEUG 2 maintenant c'est licence 2. je ne savais pas quel travail faire. je partais accompagner mes grands frères à la gare. Quand on finissait de charger l'engin, on avait des ristournes. Jusqu'au soir, je pouvais rentrer avec une somme de cinq mille ou dix mille dépendant de la période. Et c'est ainsi que j'ai gardé mon argent jusqu'à passer mon permis de conduire. Je pensais que la vie était aussi facile, mais je connaîtrai le changement de ma vie lorsque je mettrai enceinte une demoiselle loin de ma catégorie sociale. Je voulais la plus belle femme et je l'ai eu. ses parents, malgré leurs fortunes, ont abandonné leur fille à ma charge pourtant elle ne savait que dépenser le sou.
Mon argent ne suffisait plus et je me suis mis à conduire un gbaka. Le propriétaire est un avide du fric et moi, je rêvais faire plaisir à ma bien-aimée "argentivore". 
QUE FAIRE?
La grande question qui m'animais. Je ne voulais pas perdre le gbaka et ma femme donc je ferai plaisir à tout le monde au prix de mon sang.
Je sentait la fatigue en moi avant dix huit heures non stop mais j'ai juste l'argent du propriétaire de l'engin. Je me droguais pour continuer jusqu'à vingt trois heure pour avoir le triple de la recette C'est dire: une part pour moi, une pour le propriétaire et une autre pour le carburant et l'apprentis qui a pris soin de se servir avant même la tombé du jour.
Un jours, pendant que je roulais à vive allure, je n'ai pas fait attention au conducteur devant moi. j'ai foncé l'accélérateur jusqu'à ce que je me réveille au Chu.
J'ai appris que j'ai fait une chute du haut d'un pont et que tous les passager était mort sauf moi.
Je n'ai pas eu l'occasion de demander pardon à Dieu et aux parents des défunts.
Ne pensez pas que ma conscience était belle depuis ce temps, car je suis emplis de remord. Je sais que vous n'allez pas tous lire ce message mais je pense que chacun de mes collègues à occasionné au moins un accident.
Pardonnez-nous notre mal.

La vie est un vent qui souffle, il emporte des poussières d'ici et les dépose ailleurs. ne nous méprenons pas face à la mort.

une histoire inspirée par Maxime N'DRI

lundi 10 décembre 2012

Adieu, un homme de valeur

De mots, je manque pour exprimer mes sentiments en ce moment.
Je suis triste et affublé, mais je ne peut pas l'exprimer
je hors de moi, mais je ne peut le dire.
Dieu a donné et il a repris semble la maxime juste mais pour moi, c'est anodin.
ce jours, un homme de vie, un homme des hommes, un homme à l'image du christ, je ne veux pas parler de lui au passé, vient de dire à Adieu à ceux qu'il aime tant. il ordonne des prêtre sa derrière action de grâce avant son départ dans l'au-delà.
à mes yeux desséché, refuse de s’écouler le liquide d'adieu. 
je veux prier mais ma force m'abandonne quand je pense à ses enfants qu'il visite et coutoie à travers nos église. Père, nonce apostolique, tu n'est pas parti.
enseigne nous davantage, les voix de Dieu.
ta famille meurtrie, ne peut pleurer sur ton départ prématuré.
devons-nous pleurer?
les larmes refusent de s'écouler.
le nonce n'est pas mort, il est prêt de Dieu, il nous regarde
il pris le bon dieu pour que nous faisons ses voeux.
aimons nous les uns les autres.
Mgr Ambrose Madtha, 
Repose en paix
Rest in peace
مات
Descansa en paz
תנוח בשלום על משכבו
Requiescat in pace
Почивај у миру