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jeudi 19 septembre 2013

Côte d'Ivoire: vérité et histoire


Je suis pris de nostalgie en ce jour, après avoir visité les photos de la Côte d’Ivoire que nous ont laissée nos aïeux.
Et je me pose une seule question : Pourquoi les ivoiriens ont-ils connu la guerre ? Je veux, s’il  vous plait, que vous m’aidiez, à répondre à cette question.
Je voudrais dire merci à tous ceux qui m’ont permis de réaliser ce que me disait mon père, à travers ses images.
Je me rends compte que le développement d’un pays ne se fait pas seulement par les enfants d’un pays, mais avec l’appui et l’apport de ceux qui viennent des autres pays.
Je garde un souvenir fou de ce passé et je veux porter plainte contre les politiciens ivoiriens.
Ils ne nous ont pas dit la vérité et ma plainte c’est pour le mensonge politique.
Je veux porter plainte contre les journaux parce qu’au lieu de nous dire la vérité sur notre pays afin de promouvoir le développement, ils nous servent les mensonges à longueur de journée et font la promotion de la haine, du dédain et du mépris désossant le vivre ensemble, la solidarité et le bonheur des enfants d’Houphouët.
Je porte plainte contre les religieux qui ont créé la sorcellerie divisant et tuant le nucléus familial, brisant et concassant les habitants de notre terre la Côte d’Ivoire.
Lorsque le blanc enseignait l’église en Côte d’Ivoire, ils n’ont jamais attisé la haine. Ils n’ont fait que soigner, aider  et évangéliser sans pousser personne à la division.
Je porte plainte pour destruction des populations de par la politique qui ne fait que nourrir sa personne laissant le peuple aveuglé, dans la fin, lui servant la haine, et le consolant avec un t-shirt à son effigie, un morceau de pain et une boite de sardine afin d’avoir sa voix aux échéances à venir.
J’ai mal de cette Afrique qui titube dans monde de grand évolution faisant de leurs enfants, des larrons, qui n’ont aucune crainte de nuire l’autre car, affamé.
Ah !  L’Afrique me fait honte quand je vois qu’Air Afrique n’existe plus que de nom.
On enseigne à nos enfants la facilité et la médiocrité sans tâcher aller loin dans le traitement des cours à leur donner, et même sans leur donner les cours nécessaires pour la préparation à entrer dans la vie active mais on leur donne de la théorie pure et simple sans l’accompagner d’un brin de pratique. Quel avenir dans un monde en perpétuelle création où l’on ne vie que de par sa créativité et de par sa manipulation du monde à lui donner une image reluisante.

On pollue, on détruit et transforme la nature un tas de conducteur de maladie respiratoires, maladie dermatologique sans prendre conscience de la disparition imminente de la terre, allez y voir Lahou Kpanda et vous tirerez vos conclusions.
Quel avenir pour nos enfants ?
Africains, ivoiriens, que chaque individu arrête d’accuser les blancs qui ont voulu mieux faire en se remplissant les poches, et mettons nous au travail sans vouloir user de la haine du mépris envers les autres.
Demandez aux américains, l’importance du green card et vous comprendrez que le monde se développe par l’apport des autres.
Travaillons, prenons du courage, avançons dans ce monde de production, mise en vente,
consommation, travail et faisons de notre ère celui de l’émeraude car, nous avons connu l’âge d’or, d’argent, du diamant et allons à grands foulés dans l’âge de l’émeraude.
Oublions nos douleurs, nos haines, car c’est dans le surpassement de soi qu’on vivre notre ère.

lundi 17 juin 2013

Entretien avec Sophie Roger-Dalbert : "L'Afrique, un continent en devenir qui ne demande qu’à mûrir !"

Mère pleine de douceur
Dans notre recherche de solution volontariste de développement du continent Africain, nous sommes entrées en contact avec Sophie Roger-Dalbert, une volontaire qui a visité le continent. Suivons ensemble ses propos.

Le volontaire : Bonjour Sophie  

Sophie : Bonjour Maxime

Le volontaire : Qui est Sophie Roger-Dalbert ?

Sophie : Ce que je suis est plus simple que ce que l’on en dit. Tout simplement une femme, une mère, une amie. Une personne comme les autres qui veille à rester debout et qui a toujours refusé les frontières qu’on lui imposait. 

Le volontaire : Quand je dis Afrique qu’est ce que cela vous inspire ?

Sophie : Des hommes, des femmes, des enfants , un creuset à travailler, un espoir , un continent en devenir qui ne demande qu’à mûrir !

Le volontaire : Notre blog s’attelle à une éducation altruiste et volontaire et nous voulons vous demander de définir le volontariat en vos propres termes.

Sophie : Il y a dans ce mot la notion très importante de volonté. Une volonté personnelle guidée par un amour de l’autre, par une empathie, par une conscience claire et objective des réalités qui en sont le cadre, par des connaissances mises au service des actions à mener. Il n’y a pas de place pour l’utopie et l’amateurisme. Le volontariat est une démarche intime qui prend sa source dans notre aptitude à saisir l’autre là où il est, non là où l’on voudrait qu’il soit. Et qui demande une sacré dose d’humilité pour dépasser les échecs inhérents à toutes les expériences vécues sur le terrain. 

Le volontaire : Sans trop vous demander de faire de l’histoire, nous voulons quand même vous y emmener. Pouvez-vous nous dire comment votre pays la France a-t-elle pu atteindre le développement ?

Sophie :…De chutes en relevailles, de guerres fratricides en réconciliations prometteuses, la France n’a cessé d’osciller entre grandeur et petitesse. Mais chaque épreuve jusqu’à ce jour a été l’occasion pour des hommes et des femmes de prouver que l’humanité existe, même au prix de leur vie. Travail, don de soi, ambition ont été les pôles de cette évolution qui a permis des avancées fantastiques Avec cependant une déperdition du respect de l’humain au fur et à mesure que la science avance. La France s’est retrouvée exsangue, à terre mais elle s’est relevée, non sans l’aide d’autres états, soyons honnête. Un Etat tout seul aujourd’hui n’a plus de sens, pris que nous sommes dans une interdépendance certaine !

Le volontaire : comment comprenez-vous le développement de l’Afrique ?

Sophie :…Par les africains eux-mêmes pour commencer…. Unis, ils seront plus forts pour s’imposer face aux pouvoirs qui n’ont aucun intérêt à les voir se réveiller ! …Ce que nos associations occidentales réalisent, c’est actuellement vital dans beaucoup de domaines. Mais si nous sommes lucides, c’est souvent une bonne occasion pour des gouvernements de se laver les mains de leurs obligations envers leur peuple. Et d’un point de vue pratique permettre à des jeunes de se former utilement, sérieusement tout en leur ouvrant l’avenir afin que leurs savoirs soient mis au service de l’Afrique .C’est là notre responsabilité première, encourager ceux qui vivent au pays à être des acteurs en mettant nos compétences et nos moyens …à leur service ! pour qu’ils s’approprient leur développement !

Le volontaire : il semble que la lecture est une arme pour vous : comment vous en êtes arrivées ?

Sophie : …J’aurais envie de dire que je suis tombée dedans dès mon plus jeune âge, comme Obélix dans la potion magique ! Une curiosité insatiable, un amour des mots, de la musique des phrases. Je suis persuadée que l’accès à la culture est un facteur de liberté, de libération. Parce qu’elle forme à penser, à méditer, à admirer, à critiquer.. Et puis la lecture, c’est un moyen merveilleux de s’évader aussi pour la rêveuse que je suis !

Le volontaire : pensez-vous que la lecture pourra contribuer au développement de l’Afrique ?

Sophie : …Oui, mille fois oui, mais avant de penser lecture, il faut penser comment mieux proposer le livre à des populations qui ont pour priorité de trouver chaque jour de quoi manger et se soigner. Faire passer le livre d’un statut de privilège à celui de nourriture, essentielle pour la croissance de l’homme.

Le volontaire : votre mot de fin pour amener les africains à comprendre l’Afrique côté volontariat.

Sophie : C’est parce que j’ai confiance dans les hommes et les femmes de ce continent, que la force et l’énergie demeurent . Quand il est dur de survivre, le premier instinct est égoïste  C’est alors qu’il faut comprendre que la force naît de la communion et de l’union, tout simplement.

Le volontaire : nous vous remercions pour votre disponibilité et de votre franchise.

Interview réalisé par Maxime N'DRI 07377111

mercredi 12 juin 2013

Interview avec Reine Poulain : l’Afrique a tout à gagner à voir ses enfants s’engager dans la voie du volontariat

Nous partons à la découverte de Reine Poulain, une humanitaire, qui adore la lecture et qui, au plus claire de son temps, a lu beaucoup d'oeuvres d'auteurs africains sans oublier de donner ses impressions à travers des commentaires utiles au développement de la chaîne du livre. Ensemble découvrons là! 
Le volontaire : Bonjour Reine    

Reine : Bonjour Maxime

Le volontaire : Nous sommes heureux d’échanger avec vous sur un sujet qui est mal compris de plusieurs personnes. Et nous voulons avoir votre avis. Selon vous qu’est ce que le volontariat ?

Reine : C’est avoir un projet concret, dans quelque domaine que ce soit, prendre l’initiative de faire connaître ce projet et avoir ensuite la volonté de le réaliser en recherchant tous les moyens possibles pour le faire aboutir.

Le volontaire : Pensez-vous que l’Afrique s’en sortira sur le dos des dons reçus ou sur le volontariat de ses fils et filles ?

Reine : Compter sur les dons reçus c’est être, dans une certaine mesure, attentiste et ça n’est pas dynamisant. Non, je pense sincèrement que l’Afrique a tout à gagner à voir ses enfants s’engager dans la voie du volontariat … C’est tellement plus motivant !!!

Le volontaire : Vous aimez bien les œuvres humanitaires qu’est-ce que vous y a conduit ?

Reine : C’est difficile à expliquer parce que je pense que c’est inné ! L’envie, et surtout le besoin vital de venir en aide à ceux qui peuvent en avoir besoin ne s’improvise pas ! C’est un geste du cœur qu’il n’est pas possible de s’imposer.

Le volontaire : En plus des œuvres humanitaires, vous êtes beaucoup attachée à la lecture : raisons?

Reine : J’ai toujours aimé lire même si je lis beaucoup moins maintenant par manque de temps … activité Facebook oblige !! (rires)

Le volontaire : Quels sont les livres qui vous ont marquée ?

Reine : En matière de lecture, j’ai des goûts très éclectiques dès l’instant où un livre est bien écrit ! J’ai pris autant de plaisir, en son temps à lire Balzac, Zola, Troyat, Baudelaire, Lamartine etc …Je me suis d’ailleurs promis que je relirai tous ces auteurs un jour où l’autre. Il y a cependant deux livres qui m’ont marquée plus particulièrement, c’est « Le petit prince » de Saint Saint-Exupéry et « la porte étroite » d’André Gide.

Le volontaire : On dit chez nous que les africains n’aiment pas lire, que pouvez-vous dire pour les amener à lire ?

Reine : Je suis convaincue que ça passera par l’oralité … sous une forme différente que celle connue avec les griots mais qui pourrait s’en inspirer. Je pense notamment à des ateliers de lecture où un conteur pourrait lire des extraits de livres afin de donner envie au participant de se procurer ce livre pour en connaître la suite. Il y a surement quelque chose à faire dans ce domaine!

Le volontaire : Pourquoi lisez-vous beaucoup d’auteurs africains ?

Reine : C’est une découverte pour moi, assez récente je dois dire, et cela grâce à Facebook ! (rires) avec plus particulièrement, pour l’instant, des écrivains de Côte d’Ivoire !! J’ai commencé par découvrir Hyacinthe Kakou puis cela c’est enchainé avec Macaire Etty, Soilé Cheik Amidou, Jean Valère Djézou, Manchini Defela et bien d’autres sans vous oublier mon cher Maxime … Tous ces écrivains m’amènent à découvrir une autre manière d’aborder la littérature qui m’était totalement étrangère ! Ce sont des auteurs que j’aime beaucoup, je les trouve très attachant …

dimanche 28 octobre 2012

l'Afrique et le développement

Nuit et jour, lorsque je marche dans la rue, je décide d'observer les pas et de m’intéresser un peu aux débats des un et des autres.
http://www.biodir.com/blogue/wp-content/uploads/2011/08/asie-ville.jpgil revient une chose évidente: les africain, au lieu de réfléchir sur des sujet de développement discutent des actions que mènent les puissance mondiales et les accuse d’être à la base des crise au lieu de réfléchir aux moyens de développement de notre patrimoine vitale. je voudrais dire que les accusés, sont les africains eux-même qui refusent d'éloigner la corruption de leur milieu de vie. ils encouragent le mal et détestent ce mal là lorsqu'il ne fait plus leur affaire.
on les voit empêcher les autres de réussir et sont les premier à accuser ceux qui aident tout le monde et demain, ils sont les premiers à courir d'après eux pour leur demander de l'aide.
mais que doit on faire pour éviter de telles actions?
peut être que les africains changeront et développeront l’Afrique.
En effet, un adage africain dit: reste la, parle de moi, j'avance.
Les africains s'ils s'approprient cet adage et y croient, changeront.
le second point est le positivisme que les africains adopteront.
le troisième c'est le rapport mutuel qu'ils entretiendrons entre eux.
au lieu de mettre les fétiche pour détruire les productions des autres, ils auraient à gagner à venir l'aider et apprendre auprès de lui.
les femmes entrepreneurs, doivent avoir du soutien des hommes pour contribuer au bien être de leurs entreprises.
la femme n'a pas seulement de place à la cuisine, elle a aussi son mot à dire dans le précieux développement de nos nation.
je rêve d'une Afrique qui ne torpille pas mais qui se met au travail afin d'avancer.
Maxime N'dri

mardi 9 octobre 2012

Citoyenneté et développement durable tel est ce que nous devons rechercher


En, ce jour, nous parlons paix. Nous discutons paix et nous recherchons la paix dans nos foyers et dans nos cités, notre pays. Mais qu’est ce que la paix ?
La paix c’est le fait de vivre dans un état de droit. Dans un état où l’on a la liberté des circuler, d’expression, d’aller et venir sans crainte de représailles.
Dès lors, nous diront que si la paix c’est liberté, alors le développement de la nation, est individuel avec l’apport de l’état.
En effet, un chef d’état à lui seul ne peut pas construire tous les hôpitaux, les routes, les écoles et tout ce qui concourt au bien être de la société. C’est pourquoi, l’état s’entour des ONG, des associations civile et citoyenne.
Association citoyenne, c’est ici l’heure de parler de citoyenneté. Qu’est ce que c’est la citoyenneté ?
La citoyenneté c’est le fait des citoyens ou des peuple d’un état ou nation, à braver vents et marrés, pour le bien être de ses compatriote donc de patriotisme qui s’oppose au patriotards. (Un patriote c’est celui qui œuvre pour le bien être de toute une population contre toutes souffrances qui leur sont infligées. Le patriote ne suit pas un seul parti politique et n’emmène pas les populations dans les querelles politique mais plutôt qui les élonge de toutes bagarres qui conduiront aux guerres civiles).
Un citoyen c’est celui qui défend nation, et ses institutions. Celui qui connais les règle qui registre sa nation et veuille à leur respect. Qui emmène la population connaitre et à respecter le drapeau de la nation.
Une population citoyenne, est une population qui ne recourt pas à la violence pour résoudre les différents, mais qui fait appel au droit afin d’éviter les injustices.
Nous constatons que la citoyenneté n’est pas encore bien connue en Afrique, c’est pourquoi, nous ne connaissons pas la valeur de la paix et nous ne tardons pas à recourir à la violence, gage d’état de nature. Pour mieux connaitre la paix, nous devons tuer en nous, l’état de nature, et de faire grandir l’état d’âme qui nous aidera dans nos regard porté vers nos concitoyens. Aussi, je voudrais demander une chose aux hommes de medias et au média tout entier. Créer des espaces d’éducation citoyenne et de volontariat vrai qui vient de la volonté et non du bénévolat. L’école a connu son apothéose eaux états unis après la contribution citoyenne et volontaire du citoyen. Inspirons nous du modèle Anglais, car le modèle Français consisterait à faire de nous, des égoïstes. Ouvrons nos yeux et donnons des solutions aux problèmes africains car c’est nous qui la vivons et regardons nos apport pour un pays développé.
Nous sommes vingt millions d’habitant, si nous donnons cinq franc (5) francs par mois pour l’électrification de nos villages, et pour la construction des écoles, pour les marchés et tout ce qui nous faut, alors en dix ans nous serons développés, car nous allons créer des emplois pour nos enfants. Ne regardons l’état, car c’est de nous mentir que de dire que le gouvernement développe une nation, il ne fait que faciliter le développement mais le développement viendra par nous.
Les pays développé sont passé par là.
Paix et joie dans notre patrie, je vous remercié.



Maxime N'DRI