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mardi 18 juin 2013

Le volontariat dans le travail, source de bien être!

Il nous arrive de voir, des personnes qui travaillent très bien et d’autres qui travaillent à tout bouder.
Qu’est ce qui fait que certaines personnes adorent leur travail ? Pourquoi d’autres le détestent-ils?
Pour répondre à ces interrogations nous allons parler de principe de volontariat.  Le volontariat pour nous, c’est le fait d’avoir la volonté de faire telle ou telle chose sans arrière pensée. Avoir la volonté implique avoir l’amour pour ce que nous faisons. Aimer ce qu’on fait, c’est amener le travail vers des résultats parfaits.
Un homme avait le rêve d’être un ingénieur en ponts et chaussées. Ses parents étaient pauvres. Mais ils ont fait l’effort de le scolariser.
Il obtint son baccalauréat à un moment où les parents avaient besoins d’argent pour cause d’état de santé précaire. On lui demanda de mettre un terme à son rêve fou et de se trouver un travail de proximité pour aider les parents. Il passa un concours et devint un instituteur. Il garda une colère dans le cœur. Il détestait les élèves et leurs bruits.
Il n’aimait pas le travail mais il se sentait obligé de le faire, faute d’emploi.
Un autre connu le même sort mais il aimait le travail. Son principe était : "doit mourir celui qui refuse de travailler".
Ce dernier devint un instituteur dans la même école que l’autre.
Le dernier était aimé des élèves et même des parents d’élèves tandis que le premier leur était antipathique.
L’amour du travail va valoir de fier chandelles au dernier puisqu’il continu ses études et obtint des diplômes jusqu’au doctorat. Il est aujourd’hui professeur alors que le premier est toujours resté instituteur.
Quand on prend son travail au sérieux et on y met du patriotisme, quand aime ceux qu’on sert, c’est nous même qu’on aime.
L’école n’est pas le lieu par excellence pour apprendre à travailler, mais c’est le lieu d’aboutissement au bien être social.
Savoir lire c’est être sauvé et aider au bonheur de sa nation. C’est pourquoi, chaque individu doit se battre pour permettre que les autres soient heureux.
Le travail devient aliénateur, lorsqu’on le fait sans amour, sans patriotisme. Sinon, il n’est en rien aliénateur. Le travail est une fin pour celui qui l’aime.
Travailler c’est servir son pays avant de se servir soi-même. Quelque soit le secteur d’activité dans lequel on exerce, on ne le fait pas pour soi-même.
On peut créer des emplois pour les autres si nous nous sommes patriote et que nous aimons le travail qu’on fait.
On a pas besoin d’avoir des millions pour entreprendre, on a besoin que de la volonté et du sens de la communauté.
Des personnes sont riches mais ne font rien pour leur communauté, si ce n’est de leur donner des miettes pour un usage immédiat.

La meilleure manière d’aider une personne qui n’a pas d’emploi, c’est de lui en donner.

Maxime N'DRI 07377111

lundi 17 juin 2013

Entretien avec Sophie Roger-Dalbert : "L'Afrique, un continent en devenir qui ne demande qu’à mûrir !"

Mère pleine de douceur
Dans notre recherche de solution volontariste de développement du continent Africain, nous sommes entrées en contact avec Sophie Roger-Dalbert, une volontaire qui a visité le continent. Suivons ensemble ses propos.

Le volontaire : Bonjour Sophie  

Sophie : Bonjour Maxime

Le volontaire : Qui est Sophie Roger-Dalbert ?

Sophie : Ce que je suis est plus simple que ce que l’on en dit. Tout simplement une femme, une mère, une amie. Une personne comme les autres qui veille à rester debout et qui a toujours refusé les frontières qu’on lui imposait. 

Le volontaire : Quand je dis Afrique qu’est ce que cela vous inspire ?

Sophie : Des hommes, des femmes, des enfants , un creuset à travailler, un espoir , un continent en devenir qui ne demande qu’à mûrir !

Le volontaire : Notre blog s’attelle à une éducation altruiste et volontaire et nous voulons vous demander de définir le volontariat en vos propres termes.

Sophie : Il y a dans ce mot la notion très importante de volonté. Une volonté personnelle guidée par un amour de l’autre, par une empathie, par une conscience claire et objective des réalités qui en sont le cadre, par des connaissances mises au service des actions à mener. Il n’y a pas de place pour l’utopie et l’amateurisme. Le volontariat est une démarche intime qui prend sa source dans notre aptitude à saisir l’autre là où il est, non là où l’on voudrait qu’il soit. Et qui demande une sacré dose d’humilité pour dépasser les échecs inhérents à toutes les expériences vécues sur le terrain. 

Le volontaire : Sans trop vous demander de faire de l’histoire, nous voulons quand même vous y emmener. Pouvez-vous nous dire comment votre pays la France a-t-elle pu atteindre le développement ?

Sophie :…De chutes en relevailles, de guerres fratricides en réconciliations prometteuses, la France n’a cessé d’osciller entre grandeur et petitesse. Mais chaque épreuve jusqu’à ce jour a été l’occasion pour des hommes et des femmes de prouver que l’humanité existe, même au prix de leur vie. Travail, don de soi, ambition ont été les pôles de cette évolution qui a permis des avancées fantastiques Avec cependant une déperdition du respect de l’humain au fur et à mesure que la science avance. La France s’est retrouvée exsangue, à terre mais elle s’est relevée, non sans l’aide d’autres états, soyons honnête. Un Etat tout seul aujourd’hui n’a plus de sens, pris que nous sommes dans une interdépendance certaine !

Le volontaire : comment comprenez-vous le développement de l’Afrique ?

Sophie :…Par les africains eux-mêmes pour commencer…. Unis, ils seront plus forts pour s’imposer face aux pouvoirs qui n’ont aucun intérêt à les voir se réveiller ! …Ce que nos associations occidentales réalisent, c’est actuellement vital dans beaucoup de domaines. Mais si nous sommes lucides, c’est souvent une bonne occasion pour des gouvernements de se laver les mains de leurs obligations envers leur peuple. Et d’un point de vue pratique permettre à des jeunes de se former utilement, sérieusement tout en leur ouvrant l’avenir afin que leurs savoirs soient mis au service de l’Afrique .C’est là notre responsabilité première, encourager ceux qui vivent au pays à être des acteurs en mettant nos compétences et nos moyens …à leur service ! pour qu’ils s’approprient leur développement !

Le volontaire : il semble que la lecture est une arme pour vous : comment vous en êtes arrivées ?

Sophie : …J’aurais envie de dire que je suis tombée dedans dès mon plus jeune âge, comme Obélix dans la potion magique ! Une curiosité insatiable, un amour des mots, de la musique des phrases. Je suis persuadée que l’accès à la culture est un facteur de liberté, de libération. Parce qu’elle forme à penser, à méditer, à admirer, à critiquer.. Et puis la lecture, c’est un moyen merveilleux de s’évader aussi pour la rêveuse que je suis !

Le volontaire : pensez-vous que la lecture pourra contribuer au développement de l’Afrique ?

Sophie : …Oui, mille fois oui, mais avant de penser lecture, il faut penser comment mieux proposer le livre à des populations qui ont pour priorité de trouver chaque jour de quoi manger et se soigner. Faire passer le livre d’un statut de privilège à celui de nourriture, essentielle pour la croissance de l’homme.

Le volontaire : votre mot de fin pour amener les africains à comprendre l’Afrique côté volontariat.

Sophie : C’est parce que j’ai confiance dans les hommes et les femmes de ce continent, que la force et l’énergie demeurent . Quand il est dur de survivre, le premier instinct est égoïste  C’est alors qu’il faut comprendre que la force naît de la communion et de l’union, tout simplement.

Le volontaire : nous vous remercions pour votre disponibilité et de votre franchise.

Interview réalisé par Maxime N'DRI 07377111

lundi 10 juin 2013

Education à l'entrepreneuriat

Aujourd’hui, je suis tenté de demander : à quoi servent nos études ?
Avant que je ne face le CP1, on a fait briller devant moi, le fait que je deviendrai une personnalité et qu’après mes études, le travail fleurissant, je serai un boss comme on le dit.
Je me bats pour atteindre ce niveau et je ne trouve toujours pas du travail. L’université tant voulu, ne me donne pas un seul emploi.
Je sors de la côte d’ivoire, je constate que là-bas, l’école n’est pas le moyen par exemple pour aboutir à l’emploi mais pour acquérir le savoir et le bien-être social.
J’observe la jeunesse, elle est plus entreprenante : femme maçon, homme restaurateur…  et ne fait guère, le tri au métier.
Je décide de comparer nos deux jeunesses, le constat est clair, bien que la jeunesse Ivoirienne veux entreprendre, elle a peur d’oser. C'est-à-dire, elle a peur de prendre les initiatives entrepreneuriales en sorte qu’elle a tendance à rester en arrière.
Je n’en reviens pas. Même moi j’en fais parti.
Et il est amer de voir les jeunes s’investir sur d’autres plan, qui ne leur sont peut être pas utile pour l’heure.
Quand un jeune homme veux avoir les relations avec une fille, qu’il aime ou pas, il ose ; il ose emprunter des habits séduisants, il ose voler, il ose faire tout son effort pour la conduire dans un rêve plus ou moins éphémère.
Je me rappelle qu’Agboville, un homme de lettre très doué en la matière, refusait de se présenter à éditeur pour lui présenter ses œuvres poétique qui pourraient faire de lui, le poète de la lumière.
Il vint me demander un pantalon jeans pour aller séduire une fille de qu’il s’entichait.
Si nous pouvions prendre des décisions d’aller séduire une jeune demoiselle qu’on a observée, alors nous pouvons observer un domaine dans lequel nous voulons entreprendre et oser chercher les moyens pour réaliser ce projet.
Daigner vivre à l’aise dans le monde de demain, c’est oser entreprendre.
En réalité, la peur qui anime cette jeunesse est justifiée par le manque de communication autour de l’auto prise en charge, du volontariat, et de la formation personnelle.
On a peur de perdre ; alors qu’on ne peut pas maîtriser l’échec si on a jamais échoué. L’échec n’est pas une fatalité, c’est la manière de surmonter l’échec qui : soit est fatale, ou est propulseurs.
Savoir se relever après une chute relève de la compétence, de la capacité à grandir son esprit pour un lendemain meilleur.
Si la population était formé sur un fait d’être plus volontariste, si les enfants étaient éduquer à évoluer pour le bien être sociale et non pour sa fortune personnelle, alors nous aurons une côte d’ivoire éducative et développée.
Je pense que nous devons revoir le système éducatif tout entier et non seulement ça, le système social lui-même.
Ailleurs au Japon, en Chine et en Corée, la politique est le fait d’un groupuscule d’individu. Toute la population se bat pour améliorer le blason territorial.
Mais ici en Afrique, la population y est conduite de gré ou de force. Et cela se justifie par le fait qu’on attend l’approche des élections pour confectionner les cartes nationales d’identité pour une poignée d’électeurs.
Aidez la population à se battre pour leur propre éducation, au lieu de les mener vers les querelles à n’en point finir.
Un petit plan pour soutenir cette assertion éducative.
Nous sommes plus de 20.000.000 d’habitants. Si chacun donne 5 francs CFA par semaine ou par jours, on aura, alors, 100.000.000 de francs avec cette somme, on pourra construire des écoles par tout sur cinq ans. Tous les habitants de la Côte d’Ivoires pourront étudier gratuitement, car les enseignants pourraient être les étudiants bénévoles, qui par souci de service civique viendraient dispenser les notions de lecture, de savoir à leur parents.
Aidons nos parents à l’évolution éducative au lieu de les laisser dans l’analphabétisme moqueur.

Jeunes, vieux ou vieilles, enfants, osons entreprendre pour un lendemain meilleur.

mardi 20 novembre 2012

Les dons nous arrangent ils?

Nous avons constaté que de nombreux dons sont faits au pays pauvres très endettés, aux familles pauvres et bien d'autres. Mais une seule chose qui m'intrigue: les dons ne permettent pas à assurer la longévité de ces familles là, d'une part et d'autre parts endettent davantage les pays pauvres.
Dès lors se pose un problème: en quoi ces dons sont il utile à survie de ses peule ou de ce pays?
Un adage Chinois ne dit il pas: au lieu de donner du poisson à un homme, apprend lui à percher, ou Si tu donnes un poisson à un homme, il mangera un jour. Si tu lui apprends à pêcher, il mangera toujours?
Nous osons dire que la faim, ne pourra pas être contourner de notre univers à travers les dons Mais plutôt à travers notre volontariat. avoir la volonté de créer les emplois, les usines dans les pays pauvres pour la manufacturation des produit brut en produit fini. Aux libre échanges commerciaux et à la facilitation de déplacement des bras valide vers d'autres univers où il peuvent mieux s'en sortir. on a beau donner les habit, la nourriture, le thé, le sucre, le café... nous ne résolvons pas les problèmes de faim. 
c'est pourquoi le volontaire crie: Non aux dons, mais oui à la création de nombreux emploi. Quand tous le monde sera au travail, alors la criminalité disparaîtra dans ce monde méconnu de nous. On parle de brouteurs, c'est parce qu'il y a des gens pour faire des dons de million à ses enfant sans moralité  qu'il n'arrête. il y des handicapés qui nous viennent avec les médailles olympiques,  il y en a qui travaillent avec hargne et connaissent le succès, mais qu'est ce qui empêchera l'homme physiquement prédisposé à refuser de travailler s'il y a de l'emploi à profusion?
je louerai la création des usines en Afrique par les bailleur de fond Européen, Asiatique, et même Américain... que de venir prendre nos produit brute pour leur pays.
sinon, gardez vos dons et laissez nous mourir de faim.
 Quand le glas de la parole sonna, Le volontaire présent, prit son bâton de pèlerin.  S'il s'agit de dire, Le volontaire à dit, que la bonne terre le reçoive et qu'il le mette en pratique, ainsi, le monde sera sauvé.
A bon entendeur, Salut!

mercredi 26 septembre 2012

Ma fille quitte le! dit un homme de dieu


"Ma fille Dieu dis de quitter l'homme avec qui tu es actuellement. il n'est pas fait pour toi."  tels sont les propos tenus par un pasteur à l'église des assemblées de Dieu à Yopougon.





Sara, est une jeune demoiselle, très belle qui ne montre que joie et bien être. elle avait un copain qui l'aimait et ce, de tout son cœur.
Sara l'appelait Amour, tellement elle le portait dans son cœur aussi.
Puisqu'on dit de chercher la voie de Dieu pour mieux vivre, elle a décidé de suivre ses frères et sœurs des assemblées de Dieu.
Un jour, le pasteur lui fait appel après le culte et lui dit: ma fille Dieu t'aime, il veux faire de toi une grande dame. C'est parce que tu as des rapports hors mariage que tu connais l'échec. Arrête avec celui qui est ton homme et reste célibataire. vie ta chasteté et tu connaîtras le succès.
Mars, Avril, Mai,... Amour n'avait plus de nouvelles de Sara.
Il l'appela et la réponse fut sans équivoque: tu sais que je suis en classe de Terminale. je dois bosser pour mon examen.
Notons que lorsque Amour et Sara, se rencontraient, elle n'avait aucun diplôme. Il l'a aidé. il lui a apprit les mathématiques de troisième, les sciences physiques et les sciences de la vie et de la terre non sans oublier les langues Anglaises et Françaises ainsi qu’Allemandes où lui-même s’en-sortait bien. Il l'aida à faire le BEPC, et elle l'eut, alors que les élèves de 3eme avaient déraisonnablement échoués.
les examens arrivèrent, et malgré tout, elle échoua. est-ce à dire qu'elle n'a pas suivi la chasteté alors que le pasteur lui promettait succès après cela?
Amour, décida d'encourager sa chérie, sa Sara sacré. et elle lui fit une confidence:
-Chérie, je t'ai trompé. je suis sortie avec quelqu'un d'autre et elle s'en alla à vacance.
A son retour des vacances, Amour lui fis appel urgent. Et, elle répondu présente.
après questionnement, elle avoua ne l'avoir jamais trompé, mais ne sachant comment rompre avec lui après la demande du pasteur, elle inventa une telle grossièreté.
Cependant, une question m’anime: L'Eglise, divise-t-elle, ou encourage deux amoureux à rester jusqu'à ce qu'ils se marient? les encourage-t'elle au mariage ou leur demande tout simplement de rompre?
Si les hommes de l'église étaient aussi parfait, pourquoi le divorce des croyants semble plus que ceux des non-croyants?
je pense pour ma part que l'église est fait pour unir les hommes. pour permettre aux hommes de vivre dans la solidarité et le respect mutuel; dans l'amour vrai et non la trahison; dans l'union et non la division. ce sont ces genres de pasteurs qui ont mis le feu dans nos pays et ont mis la haine dans nos cœurs.
chers hommes de Dieu, faites bien votre travail et ne sombrez pas dans la division du peuple de Dieu
merci
Maxime N'dri 07377111