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samedi 12 janvier 2013

L'hymne d'un combat au Mali



















Allez, braves hommes
Le jour de gloire a sonné.
Main dans la main
Portez haut, avec vos frères,
Le drapeau de la patrie.

Hommes et femmes levez-vous!
Dites non au soleil levant des crimes,

Dites non au sang des enfants innocents
Versé par un certain groupe islamiste.
Prenez votre canne,
Accrochez-vous à elle.

Enfants, votre histoire
C'est celle de la patrie.
Levez-vous et battez-vous
Pour la liberté de vos frères
Coincés dans le nord des amputations.

Portez votre canne frère et tendez-la à votre soeur
Violée et bafouée par ces hommes qui disent croire en Dieu
Alors qu'ils servent leur dessein assoiffé.
En avant fils, en avant.
Le pays de vos ancêtres
Notre pays, voisin du vôtre ...
Pense et est de coeur avec vous

Peuple malien
Ton histoire commence
Celle de ta génération.
Tiens tête oh fils plein de sagesse
Bats-toi et reconstruis Tombouctou

Le soleil s'est levé,
L'heure a sonnée!
Parts et sauve ta patrie
Pour la fierté de tes ancêtres
Pour le bonheur de tes enfants.

jeudi 15 novembre 2012

15 novembre, à quoi devons-nous penser?

15 novembre, à quoi devons-nous penser?
Cette journée décrétée par la nation comme journée nationale de la paix, ne devait pas être une simple journée, mais un jour où les fils et filles de la nation se parlent, se réconcilient et font appelle à la paix, gage de sûreté, de bonheur et de bien être.
Ivoiriens, notre nation, en hommage à papa Houphouet célèbre cette journée. Nous avons voulu nous détournée de la paix et nous avons connu les conséquences.
 Pourquoi ne pas revenir à la paix?
Ne disons pas qu'à quel part malheur est bon?
en effet, si nous n'avions pas fait la guerre, nous n'aurions pas  connu la guerre, ainsi nous aurions fait plus de gâchis dans un monde avenir.
notre connaissance des guerre, et nos écris sur la guerre vas déterminer notre avenir.
Nos enfants qui seront grands lecteur, connaîtrons les problème connu par leurs parents, grands parent et aïeux  ils éviterons ses guerre et arriverons à une nation où tout le monde est comme une seule chair. ainsi la vérité de Dieu triomphera.
faire la paix aujourd'hui, c'est oeuvrer pour le bien être de sa nation et celui de ses enfants et de ses petit enfants.
éloignons de toute idée de haine, médisance et mauvaise foi.
comme il est bien dit dans l'envol du coeur  par Maxime Kouadio N'dri et dixit: "En période de guerre, le riche coutoie moustique et famine, et dors sous les tante, mais le pauvre que devient il? un cadavre..."
pour dire que la paix est incontournable pour tous ceux qui aspire à la vie, au bonheur et des leur, et de leur compatriote et ne nourris jamais plus d'idée pour tuer ces frères.

mercredi 19 septembre 2012

Travail des enfant: la fin est elle possible?


 Non, je peux pas arrêter de travailler; je le dis haut et fort, je ne peux pas arrêter de travailler! je suis Kouadjo, j'ai onze ans, et je veux partir à l’école.

Papa ne travaille pas au gouvernement et aucun de mes frères aînés ne travaille. je veux fréquenter l’école mais le cacao de papa est mal acheter. Il ne se suffit pas ou, du moins, n'arrive pas à nous nourrir. je veux aller à l’école donc je doit travailler.
Et arrivait un tonton:
-Tonton, je veux aller à l’école j'ai onze ans, j'ai travailler et j'ai eu cent mille francs. on me dis que mon âge est avancer que dois-je faire?
-Fils je vais t'aider, je connais quelqu'un qui travail dans une mairie et je te trouverai un tuteur chez qui tu resteras car tu sera un grand homme. un très grands dirigeant au sens de la vie communautaire. j'ai une vision sur toi fils. et tu feras changer la mentalité des hommes des paresseux;
-Merci tonton pour cette aide grande.
Cuvette de gombo sur la tête, je traversais sept kilomètres de distance tous les mercredi et samedi, pour la vendre à Affoué à un carrefour qui porte son nom.
très rapidement, comme Dieu le voulait, j'ai eu beaucoup d'argent. Je me suis inscrit, et je n'avais besoin de dépenser par jour que d'une somme de cent francs, car je mangeais attiéké (aliment à base de manioc broyé) dix francs et poissons quinze francs le matin, la même chose à midi et le soir le riz préparé à cinquante francs.
J'ai continuer cela et le monde me prenait comme un modèle et chacun me donnait des travaux que je faisais avec amour. et je le faisais bien. j'aimais le travail et aujourd'hui, je l'adore le travail. Pour moi le travail n'est pas un moyen mais une fin. c'est le salaire qui est un moyen de subsistance.
Et, la plus belle des choses, j’étais le premier de classe des cours préparatoire aux cours moyens. j'étais la félicité de tous.
Je n'aurais pas pu aller à l'école si je n'avais pas travailler. Je n'aurais pu être grand si les propriétaires des travaux avaient dis: je donne pas de travail à un enfant.
Mes frères sont mal payer, ceux qui ont la chance de travailler dans des entreprises.
Le cacao de mon père a toujours été mal payé et les promesses pas vraiment tenues.
J'ai eu des bourses au cours de mon parcourt scolaires, mais la bourse n'a jamais suffit, que dois je faire? que dis-je? Que feront ceux qui n'ont pas de parents qui travaillent alors qu'ils veulent aller à l'école? ils sont nombreux dans nos villages. Et on dit la fin du travail des enfants, quel accompagnement? en existe ils ces moyens?

discours d'un enfant maître de son destin.

Maxime N'DRI 07 377 111