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lundi 9 mars 2015
samedi 20 septembre 2014
Concours d'ENS 2014, les exclus font appel aux autorités
Un candidat à un examen apte aux visites et contrevisite médicale, peut-il s'inscrire sans son BAC ou diplôme requis? La dorex va-t-elle valider les dossiers certifié d'un candidat qui ne respect pas les conditions?
Dire et dédire, accuser et s'accuser... Nous sommes victimes de je ne sais quoi.
La presse, les autorités, un silence complet. La police est pour les citoyens, et la volonté du citoyen doit être prise en compte.
Le parquet d'Abidjan sera mis au courant et nous irons là où il faut pour que nous sachions notre sort.
Les conneries doivent cesser à l'ENS notre école d'excellence pour le bonheur des citoyens.
Chaque jeune à le droit de concourir s'il remplit les conditions. Or nos papiers, nos informations... nous déclarent apte au concours.
Deux ministres ne peuvent pas savoir que l'administration est une continuité ?
Nous voulons vous accordez vos violons et que nos cas soient pris en compte.
Papa Ouattara, nous savons que ce message ne pourra peut-être pas venir à vous, mais vous devez savoir les injustices dont sont victimes, votre jeunesse.
Monsieur le Président de l'Assemblée nationale, nous voudrions que vous jetiez un œil sur notre cas. Nous n'avons pas volé, nous avons fait du tort à personne, que notre cas soit vu.
Nous voulons un avenir meilleur, alors donnez cet avenir pour le bonheur de notre génération, et pour le bonheur de notre nation.
Une école qui forme les formateurs qui baigne dans l'injustice, l'injustifiable doit-elle donner le bon exemple aux enfants de ce pays ?
Un formateur formé dans l'injustice va-t-il produit la justice dans son travail ?
Une école qui bafoue le droit des citoyens peut-elle avoir des formateurs qui respecteront le droit des élèves ?
Évitez le pire pour nous et notre belle patrie La Côte d'Ivoire ; et, aidez-nous à vous accompagner dans l'émergence.
Dire et dédire, accuser et s'accuser... Nous sommes victimes de je ne sais quoi.
La presse, les autorités, un silence complet. La police est pour les citoyens, et la volonté du citoyen doit être prise en compte.
Le parquet d'Abidjan sera mis au courant et nous irons là où il faut pour que nous sachions notre sort.
Les conneries doivent cesser à l'ENS notre école d'excellence pour le bonheur des citoyens.
Chaque jeune à le droit de concourir s'il remplit les conditions. Or nos papiers, nos informations... nous déclarent apte au concours.
Deux ministres ne peuvent pas savoir que l'administration est une continuité ?
Nous voulons vous accordez vos violons et que nos cas soient pris en compte.
Papa Ouattara, nous savons que ce message ne pourra peut-être pas venir à vous, mais vous devez savoir les injustices dont sont victimes, votre jeunesse.
Monsieur le Président de l'Assemblée nationale, nous voudrions que vous jetiez un œil sur notre cas. Nous n'avons pas volé, nous avons fait du tort à personne, que notre cas soit vu.
Nous voulons un avenir meilleur, alors donnez cet avenir pour le bonheur de notre génération, et pour le bonheur de notre nation.
Une école qui forme les formateurs qui baigne dans l'injustice, l'injustifiable doit-elle donner le bon exemple aux enfants de ce pays ?
Un formateur formé dans l'injustice va-t-il produit la justice dans son travail ?
Une école qui bafoue le droit des citoyens peut-elle avoir des formateurs qui respecteront le droit des élèves ?
Évitez le pire pour nous et notre belle patrie La Côte d'Ivoire ; et, aidez-nous à vous accompagner dans l'émergence.
vendredi 19 septembre 2014
Concours d'ENS: "Vous n'avez pas droit aux examens" après être déclaré apte à la visite médicale, la dernière étapes.
Qu'on nous dit ce qui cloche à l'ENS.
Les candidats qui ont déposé leurs dossiers et qui ont été déclarer apte à concourir après la visite médicale ont été exclus après qu'ils aient dépensé plusieurs dizaines de mille pour un concours dont ils avaient été invités à passer à la date qui serait déclaré.
Des e-mails, des numéros de téléphone et bien d'autres contacts ont été laissé pour être informé au cas où problème se poserait.
Mais rien n'a été utilisé pour informer, car les mails n'ont jamais reçu de telles informations.
On met des gens pour recevoir des concourants et on déclare n'avoir pas créé des comités pour la gestion des dossiers.
Un communicateur de surcroit ayant un diplôme en droit qui déclare être surpris pour des disqualifications de dernières secondes, sans raison avancée trouve des mots pour expliquer à la presse isolant les cas des personnes qui ne rêve que de travailler pour le bonheur des enfants.
Une école qui forme des formateurs qui bafoue des droits, il y faut un changement sinon, notre ENS se meurt. On prend des diplômés qui sont loin d'être des intellectuels qui militent pour la cause du bien pour diriger un établissement de renom.
Ah ma nation, j'ai mal à toi. Messieurs qui voulez une émergence avec les ivoiriens impliqués à la chose, demandez à l'ENS de recevoir tous les cas rejeter et de redonner nos dossiers et au cas par cas, nous expliquer pourquoi nous avons été exclus en vérité.
Nous ne pouvons pas comprendre que ceux qui narguent être "plus fort (bras de fer) plus intellectuels (vantardise)" et qui rien de nos actions n'aboutissent du fait de sa force pusse diriger une institution crédible, sure, qui se veut meilleur de la sous-region.
Les intouchables. Ah ma nation.
La dorex organise les concours et l'ENS exclus les dossiers bien reçus, lus et certifiés par la dorex parce que la dorex n'est pas crédible?
Le pouvoir du plus fort ?
Les candidats ayant participé à toutes les étapes du concours, déclaré apte avec preuve à l'appui sont laissé-pour-compte dans un pays qui se veut émergent.
Un cas isolé ? On aurait dû afficher la liste des personnes ayant des problèmes des mois avant, afin qu'elles viennent les résoudre. Mais c'est trop considérer l'Ivoirien que de le faire. Ah ma Côte d'Ivoire, tu as un bon chef d'état qui a de mauvais collaborateurs ?
Fiasco, administration numérique ? Les fichiers numériques disparaissent de la toile pour mieux frapper le pauvre qui n'a pas choisi son état de pauvreté.
Quel avenir pour une nation qui se veut émergente ? Nous qui, nuits et jours, à travers articles et livres, démontrons que l'inclusion de l'Ivoirien lui-même doit apporter un plus à ce pays dans son essor, nous sommes victimes de nos propres luttes.
Une nation, où les candidats reçoivent au concours d'ENS: FELICITATION, vous êtes apte au concours d'entrée à l'ENS 2014, merci de bien vouloir patienter pour la composition... N'ont plus droit à concourir pour quelle cause ?
Messieurs les Dirigeant, nous nous remettons à vous ; justice doit être faite ou les blessés seront nombreux. C'est ce comportement de certains pays aux grands nombres de frustrés qui a provoqué, les attentats, les immolations, les rebellions... C'est un mauvais exemple à ne jamais suivre.
Les candidats qui ont déposé leurs dossiers et qui ont été déclarer apte à concourir après la visite médicale ont été exclus après qu'ils aient dépensé plusieurs dizaines de mille pour un concours dont ils avaient été invités à passer à la date qui serait déclaré.
Des e-mails, des numéros de téléphone et bien d'autres contacts ont été laissé pour être informé au cas où problème se poserait.
Mais rien n'a été utilisé pour informer, car les mails n'ont jamais reçu de telles informations.
On met des gens pour recevoir des concourants et on déclare n'avoir pas créé des comités pour la gestion des dossiers.
Un communicateur de surcroit ayant un diplôme en droit qui déclare être surpris pour des disqualifications de dernières secondes, sans raison avancée trouve des mots pour expliquer à la presse isolant les cas des personnes qui ne rêve que de travailler pour le bonheur des enfants.
Une école qui forme des formateurs qui bafoue des droits, il y faut un changement sinon, notre ENS se meurt. On prend des diplômés qui sont loin d'être des intellectuels qui militent pour la cause du bien pour diriger un établissement de renom.
Ah ma nation, j'ai mal à toi. Messieurs qui voulez une émergence avec les ivoiriens impliqués à la chose, demandez à l'ENS de recevoir tous les cas rejeter et de redonner nos dossiers et au cas par cas, nous expliquer pourquoi nous avons été exclus en vérité.
Nous ne pouvons pas comprendre que ceux qui narguent être "plus fort (bras de fer) plus intellectuels (vantardise)" et qui rien de nos actions n'aboutissent du fait de sa force pusse diriger une institution crédible, sure, qui se veut meilleur de la sous-region.
Les intouchables. Ah ma nation.
La dorex organise les concours et l'ENS exclus les dossiers bien reçus, lus et certifiés par la dorex parce que la dorex n'est pas crédible?
Le pouvoir du plus fort ?
Les candidats ayant participé à toutes les étapes du concours, déclaré apte avec preuve à l'appui sont laissé-pour-compte dans un pays qui se veut émergent.
Un cas isolé ? On aurait dû afficher la liste des personnes ayant des problèmes des mois avant, afin qu'elles viennent les résoudre. Mais c'est trop considérer l'Ivoirien que de le faire. Ah ma Côte d'Ivoire, tu as un bon chef d'état qui a de mauvais collaborateurs ?
Fiasco, administration numérique ? Les fichiers numériques disparaissent de la toile pour mieux frapper le pauvre qui n'a pas choisi son état de pauvreté.
Quel avenir pour une nation qui se veut émergente ? Nous qui, nuits et jours, à travers articles et livres, démontrons que l'inclusion de l'Ivoirien lui-même doit apporter un plus à ce pays dans son essor, nous sommes victimes de nos propres luttes.
Une nation, où les candidats reçoivent au concours d'ENS: FELICITATION, vous êtes apte au concours d'entrée à l'ENS 2014, merci de bien vouloir patienter pour la composition... N'ont plus droit à concourir pour quelle cause ?
Messieurs les Dirigeant, nous nous remettons à vous ; justice doit être faite ou les blessés seront nombreux. C'est ce comportement de certains pays aux grands nombres de frustrés qui a provoqué, les attentats, les immolations, les rebellions... C'est un mauvais exemple à ne jamais suivre.
Mobilons-nous contre l'arnaque de l'ENS
Candidats, nous sommes victimes de l'inqualifiable.
Nous ne devons pas, par la violence, revendiquer nos droits, mais nous
devons user du droit pour pousser loin nos revendications. Nous devons être attendues et nous le serons si nous sommes unis.
Ils ont utilisé la méthode de la dissuasion pour dire que quelle que
soit la personne à qui nous nous plaindrons, rien ne sera fait pour nous
pourtant sans expliquer les raisons des exclusions. Même si c'est deux personnes qui ont été exclues ; nous devons savoir les véritables raisons. Un état de droit ne se comporte pas comme une boutique où seul le gérant décide de ce qu'il veut.
Nous intimider en nous disant que même le président de la République ne
peut rien faire pour nous, nous intimider en insultant une handicapée
qui cherche des réponses, cela est inadmissible. Qu'on nous ferme la porte aux concours, mais nous ne devons aucunement fermer la bouche.
Haut les cœurs pour une Côte d'Ivoire véritablement émergente sans lot de frustrés.
Haut les cœurs pour une Côte d'Ivoire véritablement émergente sans lot de frustrés.
Aucune rébellion au monde n'a de raison, aucune revendication au monde n'a de cause. Je comprends aujourd'hui que Soro est entré en rébellion pour sauver des millions et d'autres y sont entrés pour créer des nations.
Nous rentrerons en revendication pour une nation meilleure avec les
droits respectés, les populations respectées, la jeunesse honorée, car
l'avenir de cette nation repose sur les épaules de cette jeunesse. Comment un jeune frustré va pouvoir créer une bonne nation ?
jeudi 18 septembre 2014
Côte d'Ivoire: Concours d'ens 2014, une forte odeur y dégage avant la composition.
#ConcoursENS, une forte odeur se fait sentir. Arnaque, épuration, viol de droit ? Les éliminés sans fondement croupissent dans le ventre du questionnement, d'accusations de toutes sortes. Mais une chose est sure, on ne peut rien pour nous. Est-ce le sort de la malchance ? On nous vend l'espoir lorsqu'après tout cheminement, parcours...
Même la visite médicale nous déclare apte à composer et que nous devons
attendre la date pour participer aux épreuves écrites, la désillusion
s'empare de nous au retrait de la convocation sur le site : ens.laatech.com/2014. Après les renseignements informés, on nous déclare introuvable sur la liste. Aucune raison avancée, nous sommes victimes d'un pays qui se veut émergent.
Rien pour cette jeunesse qui se ''tue'' se prostitue, se fait abuser de
toute sorte pour avoir de l'argent pour inscrire et participer au
concours. Cette Côte d'Ivoire, est-ce celle qui se veut émergente en 2020 ?
L'injustice ou le manque de justification ou de demande compte, où
règne la sourde d'oreilles lorsque plainte est déposée contre une
institution. Jeune de Côte d'Ivoire, fait changer les mentalités de tes concitoyens pour une meilleure nation.
samedi 13 septembre 2014
Double arnaque ou arnaque dans arnaque?
Les faits se déroulent à Yopougon ce vendredi 12 septembre 2014 à 12.00 une dame marchent avec un monsieur, causant et riant comme deux complices qui se connaissent depuis belle lurette. Ils arrivent devant un vendeur de vélo. Le monsieur decide d'interroger sur le coût du vélo. Le vendeur lui communique le prix, mais il insiste essayer le vélo avant achat et demande à la jeune dame de s’asseoir et attendre son retour de l’essai du vélo. Elle avait laissé son porte-monnaie dans la main du monsieur. Après plus de trente minutes d’essai, la demoiselle se voit abandonnée puisque le cycliste ne revient pas. Elle se rend compte que son téléphone portable était dans la main du dernier qu'elle venait de se faire gruger. Est-ce un coup monter par pièce ? Le vendeur se saisit de la demoiselle et exige le retour du cycliste avant de la libérer. Jusqu'à 13 heures, elle demeure toujours dans la main de se confisquant. Quelques personnes pour rire de son malheur disent : elle a été mise en garant contre le vélo. Elle prétend ne pas le connaitre et qu'ils avaient fait connaissance le jour même pourtant l'impression donnait autre verdict.
mardi 13 mai 2014
Fait plus que divers: trop de surveillances de vos filles provoque ça après leur mariage
Ce dimanche, une scène digne de la comédie a eu lieu dans un quartier d'Abidjan.
Tout le monde était convié au mariage de ce beau et jeune couple. C'était la fête, l'ambiance, le bonheur et tout ce qui pouvait concourir au bien-être de chaque convive. Ça a mangé, but et dansé en même temps et certaines filles ont eu leurs hommes sur les lieux et des hommes leurs femmes aussi. C'était beau et convivial.
La fête a continué jusque à 23 heures après une belle réception, une belle fête qui a tenu ses promesses.
Les mariés ont regagné leur chambre pour une belle lune de miel, une belle lune amoureuse, une nuit de grésillement de grillons, une nuit de lumière écarlate, où la lune s'offrait avec amour, une blancheur de bon vivre. Le rêve réalisé, les amoureux, chacun à l'autre, "enfin le rêve est devenu réalité", disait.
La longue et langoureuse nuit passait et c'était cinq heures du matin.
L'épouse se croyant en cachette pour voir son amant comme elle le faisait avant leur mariage (Le père était strict et leur interdisait ses filles de sortie. Donc c'était la nuit à 23 heures qu'elle allait le voir les samedis et revenait le dimanche entre quatre heures trente et cinq heures.) et, se mis à crier lorsqu'il était cinq heures vingt: -ouh, je suis foutu. Elle demanda à rentrer urgemment parce qu'elle redoutait la colère de son père. Son mari ne comprenait rien, mais l'accompagna tout de même. Elle trouva une cour remplie de reste et d'assiette et ses sœurs qui faisaient le ménage à cette heure du matin. Elles lui criaient dessus et lui demandaient les raisons pour lesquelles elle était rentrée de si tôt. Elle leur répondit qu'elle croyait qu'elle était sortie sans la permission du père et avait peur de sa réaction tellement elle avait été traumatisée avant.
Alors parents, évitez de trop traumatiser vos filles, mais éduquez les dans la sagesse.
Tout le monde était convié au mariage de ce beau et jeune couple. C'était la fête, l'ambiance, le bonheur et tout ce qui pouvait concourir au bien-être de chaque convive. Ça a mangé, but et dansé en même temps et certaines filles ont eu leurs hommes sur les lieux et des hommes leurs femmes aussi. C'était beau et convivial.
La fête a continué jusque à 23 heures après une belle réception, une belle fête qui a tenu ses promesses.
Les mariés ont regagné leur chambre pour une belle lune de miel, une belle lune amoureuse, une nuit de grésillement de grillons, une nuit de lumière écarlate, où la lune s'offrait avec amour, une blancheur de bon vivre. Le rêve réalisé, les amoureux, chacun à l'autre, "enfin le rêve est devenu réalité", disait.
La longue et langoureuse nuit passait et c'était cinq heures du matin.
L'épouse se croyant en cachette pour voir son amant comme elle le faisait avant leur mariage (Le père était strict et leur interdisait ses filles de sortie. Donc c'était la nuit à 23 heures qu'elle allait le voir les samedis et revenait le dimanche entre quatre heures trente et cinq heures.) et, se mis à crier lorsqu'il était cinq heures vingt: -ouh, je suis foutu. Elle demanda à rentrer urgemment parce qu'elle redoutait la colère de son père. Son mari ne comprenait rien, mais l'accompagna tout de même. Elle trouva une cour remplie de reste et d'assiette et ses sœurs qui faisaient le ménage à cette heure du matin. Elles lui criaient dessus et lui demandaient les raisons pour lesquelles elle était rentrée de si tôt. Elle leur répondit qu'elle croyait qu'elle était sortie sans la permission du père et avait peur de sa réaction tellement elle avait été traumatisée avant.
Alors parents, évitez de trop traumatiser vos filles, mais éduquez les dans la sagesse.
Texte sous droit d'auteur contactez le 07377111 avant de l'utiliser.
mercredi 30 avril 2014
samedi 19 avril 2014
Liberté individuelle: doit-on la violer?
Ces derniers temps, nous sommes acculés par les média parlant d'une animatrice au cœur d'un scandale sexuel.
De quoi s'agit-il ?
Elle se serait emportée en plein ébat sexuel avec son amant venu en vacance en Abidjan dans sa voiture, à quelque encablure d'un feu tricolore contenant une caméra de surveillance.
Cette camera serait placée là pour contrôler la circulation afin de voir des personnes qui grillent les feux, selon quelques informations reçues dans la rue. D'autres pensent qu'elle serait pour arrêter les bandits qui opèrent à ses feux.
Et, aujourd'hui, nous ajouterons une autre fonction qui est de filmer les amoureux qui, tard dans la nuit, s'amusent dans les rues de la capitale politique de la Côte d'Ivoire.
Nous savons que le plaisir sexuel est exigent et poussent certaines personnes à se satisfaire dans la rue obscure afin de bénéficier des avantages de la nature.
Mais cela doit-il est un scandale ?
Notre chère animatrice serait virée de la télévision après que la police l'est dénoncée.
L'intrigue : est-ce le rôle de la police de dénoncer ces pratiques aux employeurs ?
Devait-elle plutôt convoquer l'intéresser pour l'en informer ou contacter directement le patron de l'intéresser ? Devait-elle l'avertir de son acte du moment ou est une femme mariée ou faire en sorte qu'elle soit renvoyer ?
N'est-ce pas l'une de ses libertés de s'épanouir là ou bon lui semble ?
Officiellement, et dans nos mœurs en Abidjan, l'homosexualité est bannie, mais ne voyons-nous pas les homosexuels se livrer des actes de peu de moralités dans nos rues ?
Nous souhaiterons voir le respect des lois dans notre pays, sans oublier leurs applications. Notamment, l'interdiction de fumer dans la rue, l'interdiction d'utiliser le téléphone au volant...
Nous voulons que notre sécurité soit garantie, mais que nous laissons les amoureux s'amuser tard la nuit là où ils se sentent à l'aise.
Que cette dernière retrouve les antennes de la télévision, car elle ne devait pas être chassée pour sa liberté individuelle, sinon, que les règlements intérieurs en mentionnent afin que les uns et les autres l'évitent.
De quoi s'agit-il ?
Elle se serait emportée en plein ébat sexuel avec son amant venu en vacance en Abidjan dans sa voiture, à quelque encablure d'un feu tricolore contenant une caméra de surveillance.
Cette camera serait placée là pour contrôler la circulation afin de voir des personnes qui grillent les feux, selon quelques informations reçues dans la rue. D'autres pensent qu'elle serait pour arrêter les bandits qui opèrent à ses feux.
Et, aujourd'hui, nous ajouterons une autre fonction qui est de filmer les amoureux qui, tard dans la nuit, s'amusent dans les rues de la capitale politique de la Côte d'Ivoire.
Nous savons que le plaisir sexuel est exigent et poussent certaines personnes à se satisfaire dans la rue obscure afin de bénéficier des avantages de la nature.
Mais cela doit-il est un scandale ?
Notre chère animatrice serait virée de la télévision après que la police l'est dénoncée.
L'intrigue : est-ce le rôle de la police de dénoncer ces pratiques aux employeurs ?
Devait-elle plutôt convoquer l'intéresser pour l'en informer ou contacter directement le patron de l'intéresser ? Devait-elle l'avertir de son acte du moment ou est une femme mariée ou faire en sorte qu'elle soit renvoyer ?
N'est-ce pas l'une de ses libertés de s'épanouir là ou bon lui semble ?
Officiellement, et dans nos mœurs en Abidjan, l'homosexualité est bannie, mais ne voyons-nous pas les homosexuels se livrer des actes de peu de moralités dans nos rues ?
Nous souhaiterons voir le respect des lois dans notre pays, sans oublier leurs applications. Notamment, l'interdiction de fumer dans la rue, l'interdiction d'utiliser le téléphone au volant...
Nous voulons que notre sécurité soit garantie, mais que nous laissons les amoureux s'amuser tard la nuit là où ils se sentent à l'aise.
Que cette dernière retrouve les antennes de la télévision, car elle ne devait pas être chassée pour sa liberté individuelle, sinon, que les règlements intérieurs en mentionnent afin que les uns et les autres l'évitent.
samedi 29 mars 2014
Ficgayo, le monde court vers la fête traditionnelle.
Sous le soleil flamboyant, ils sont venus marquer leur passage.
Les groupes ethniques de Côte d'Ivoire se sont retrouvées avec leur masque sur la place publique, ce samedi 29 mars 2014 pour faire danser, parler et surtout pour montrer l'importance de la paix à travers la culture du terroir.
Le terroir ivoirien a fait montre d'une grande richesse avec les masques venus du nord au sud, de l'est à l'ouest sans oublier le centre.
Comme messages à leur gosier, la « paix qui fait vivre les pauvres, la paix qui fait vivre les riches » comme le si dit si bien notre cher auteur Maxime N'DRI à travers une interview réalisé par Macaire Etty, auteur et critique littéraire pour le compte de Le Nouveau Courier.
Cette paix, ne se trouvera que par la culture du terroir et leur apport convivial, réunissant tous les groupes ethniques de ce beau pays.
Le terroir, c'est ce qui fait vivre dans une cohésion, une solidarité, une communauté qui ne dit pas son nom. C'est aussi l'objetif de l'auteur qui écrit d'abord dans Le Nouveau Courier un poème intitulé solidarité salut du peuple, qui sera mentionné dans un roman : La Nouvelle puis dans un recueil de poèmes parut à edilivre Paris, L'or Incolore.
Cette cérémonie a refusé de monde sous un soleil sans pareil. L'accueil a débuté un peu plus de 10 heures pour les personnes qui ne sont pas priées pour la culture puis les allocutions prennent place vers douze heures, sous l'œil curieux des passants qui pouvaient se livrer à tous les discours ou interprétation.
La cérémonie culturelle débute avec la présentation des masques et danse traditionnelle avec un match de lutte traditionnelle, comme pour dire que la tradition est une richesse territoriale pourquoi pas mondiale, un pôle d'attraction pour les touristes.
Notre prière est qu'une journée soit instituée pour la promotion de la culture dans chaque ville ou village du pays. Et pourquoi pas emmener les élèves et étudiants, en des journées socioculturelles, à manifester la chose culturelle du terroir.
Pour ce qui concerne notre journée, nous assistons à une belle fête avec la voix suave de notre animateur du jour.
À chacun sa culture du terroir, à chacun ça tradition, mais à tous la manifestions de la culture pour la paix !
Les groupes ethniques de Côte d'Ivoire se sont retrouvées avec leur masque sur la place publique, ce samedi 29 mars 2014 pour faire danser, parler et surtout pour montrer l'importance de la paix à travers la culture du terroir.
Le terroir ivoirien a fait montre d'une grande richesse avec les masques venus du nord au sud, de l'est à l'ouest sans oublier le centre.
Comme messages à leur gosier, la « paix qui fait vivre les pauvres, la paix qui fait vivre les riches » comme le si dit si bien notre cher auteur Maxime N'DRI à travers une interview réalisé par Macaire Etty, auteur et critique littéraire pour le compte de Le Nouveau Courier.
Cette paix, ne se trouvera que par la culture du terroir et leur apport convivial, réunissant tous les groupes ethniques de ce beau pays.
Le terroir, c'est ce qui fait vivre dans une cohésion, une solidarité, une communauté qui ne dit pas son nom. C'est aussi l'objetif de l'auteur qui écrit d'abord dans Le Nouveau Courier un poème intitulé solidarité salut du peuple, qui sera mentionné dans un roman : La Nouvelle puis dans un recueil de poèmes parut à edilivre Paris, L'or Incolore.
Cette cérémonie a refusé de monde sous un soleil sans pareil. L'accueil a débuté un peu plus de 10 heures pour les personnes qui ne sont pas priées pour la culture puis les allocutions prennent place vers douze heures, sous l'œil curieux des passants qui pouvaient se livrer à tous les discours ou interprétation.
La cérémonie culturelle débute avec la présentation des masques et danse traditionnelle avec un match de lutte traditionnelle, comme pour dire que la tradition est une richesse territoriale pourquoi pas mondiale, un pôle d'attraction pour les touristes.
Notre prière est qu'une journée soit instituée pour la promotion de la culture dans chaque ville ou village du pays. Et pourquoi pas emmener les élèves et étudiants, en des journées socioculturelles, à manifester la chose culturelle du terroir.
Pour ce qui concerne notre journée, nous assistons à une belle fête avec la voix suave de notre animateur du jour.
À chacun sa culture du terroir, à chacun ça tradition, mais à tous la manifestions de la culture pour la paix !
jeudi 6 mars 2014
Les enfants-pierre, Chapeau à une femme à la plume nomade.
Ce dimanche, je m'approchai du stand de la Francophonie, sponsor du marché des arts et du spectacle d'Afrique dénommé MASA.
Intéressé par le bavardage avec une Sénégalaise ou malgache fière allure, je me vois offert un livre intitulé : les effets secondaires et les autres nouvelles.
Très tôt, j'entamai ma balade littéraire, d'abord au Canada, où une belle technique et un bel essai qui lui valut la médaille d'or me souhaitent la bienvenue. En suite, dans la Fédération Wallonie-Bruxelles où Edgar m'émoi avec son Hors Cadre bellement ensemencé et construit dans un style convainquant, mais qui me laissa dans une soif apeurant. Et, une chute honorable dans cette Côte d'Ivoire de talent où, une dame, Rosine me fit me surprendre les larmes s'écoulant de mes paupières presque dans une abondance pingre, pourtant, elles ont coulé. Son histoire ressemble tant d'autres, dans la vie typiquement africaine, où la pauvreté est la première marque des pays, allant à être instituée PPTE. Cette vie qui ouvre la porte au plus vieux métier du monde, une sauce concoctée et préparée avec l'aide d'une voisine, près ou loin de notre lieu d'habitation. On ne nait pas prostitué, mais on le devient. J'aurais été du jury, l'or lui serait décerné quand elle ouvre la porte à un espoir, la personne effrayante devient la personne avec qui nous partageons notre existence. Pour dire : il ne faut jamais faire de tri entre les hommes, car nul ne sais le destin.
Bravo Rosine, pour une plume «
Traumatisante » que tu as accouché un jour et que tu en donneras davantage, j'ai foi, au monde avenir.
Demain est un monde à venir.
Intéressé par le bavardage avec une Sénégalaise ou malgache fière allure, je me vois offert un livre intitulé : les effets secondaires et les autres nouvelles.
Très tôt, j'entamai ma balade littéraire, d'abord au Canada, où une belle technique et un bel essai qui lui valut la médaille d'or me souhaitent la bienvenue. En suite, dans la Fédération Wallonie-Bruxelles où Edgar m'émoi avec son Hors Cadre bellement ensemencé et construit dans un style convainquant, mais qui me laissa dans une soif apeurant. Et, une chute honorable dans cette Côte d'Ivoire de talent où, une dame, Rosine me fit me surprendre les larmes s'écoulant de mes paupières presque dans une abondance pingre, pourtant, elles ont coulé. Son histoire ressemble tant d'autres, dans la vie typiquement africaine, où la pauvreté est la première marque des pays, allant à être instituée PPTE. Cette vie qui ouvre la porte au plus vieux métier du monde, une sauce concoctée et préparée avec l'aide d'une voisine, près ou loin de notre lieu d'habitation. On ne nait pas prostitué, mais on le devient. J'aurais été du jury, l'or lui serait décerné quand elle ouvre la porte à un espoir, la personne effrayante devient la personne avec qui nous partageons notre existence. Pour dire : il ne faut jamais faire de tri entre les hommes, car nul ne sais le destin.
Bravo Rosine, pour une plume «
Traumatisante » que tu as accouché un jour et que tu en donneras davantage, j'ai foi, au monde avenir.
Demain est un monde à venir.
lundi 3 février 2014
jeudi 12 décembre 2013
Cadeaux de fin d'années: qui du père ou de la mère pense à l'éducation de l'enfant?
C'est la période des fêtes. On achète des présents aux enfants. Mais quel présent, choisissent les pères ou les mères?
Ils sont rares ceux qui pensent à offrir un livre à leurs enfants comme cadeau parce que, selon eux, la rentrée scolaire est là pour le livre. bien que le sens du mot cadeau ne définit pas clairement les offres à donner: il nous importe de recourir à Wikipedia qui va encore plus loin. selon lui, "Un cadeau ou présent est une forme courante de don destiné à faire plaisir à une personne physique. Par extension, c’est quelque chose qui rend autrui heureux ou moins triste, une faveur, un acte de bonté et de pardon.
Le cadeau peut être un objet, de l’argent, un droit à acheter ou à faire quelque chose (par exemple un voyage) ; le cadeau est généralement agrémenté d’un emballage (papier cadeau) ou d’une présentation festive.
Traditionnellement, certaines occasions sont propices pour offrir des cadeaux : anniversaires, Noël, mariages, Saint-Valentin, fête des mères, etc." On porte plutôt le regarde vers les jouets de dernière génération : armes de dernière génération, vélos, voiturettes, poupées... faire plaisir aujourd'hui sans penser au plaisir de demain. Et offrir un livre est une calamité. Cependant, certaines personnes sortent la tête du lot.
Les hommes qui ont acheté un livre disent : ma femme m'a fait palabre, car elle ne voulait pas que j'achète le livre, elle voulait autre chose que le livre. Tout ce qui n'a pas un rapport avec l'école.
Après une petite question posée à certaines dames, il ressort que les dames veulent que les enfants reposent leur tête ou, le voisin a acheté un jouet et non un livre pour ses enfants, alors il faut en faire autant. Et on fait fi de notre possibilité boursière et faire plaisir à un enfant devient un casse-tête.
Tort ou raison ?
L'éducation d'un enfant passe avant tout. Il faut lui assurer un avenir qui ne se trouve pas dans les jouets, mais, dont les livres pourront lui offrir.
Les livres renferment beaucoup de choses à découvrir. Il ne faut pas qu'on pousse les enfants à la paresse, mais au courage. Si nous les parents, sommes anti-livres, alors laissons les enfants êtres autres que ce que nous sommes.
Allons dans nos librairies et offrons des livres à nos enfants.
lundi 9 décembre 2013
Code de la route: la mort nous est servie!
Les codes de la route qui réglementent la circulation, limitent les vitesses et qui fluidifient le mouvement des habitants des pays du monde digne de ce nom est une carence ou du moins, souffre d'une avitaminose exagérée.
Le constat dans nos rues Abidjanaise est alarmant et c'est là où ces panneaux sont sensés être posés que les accidents abondent. Aucun panneau stop aux endroits de masse, aux alentour des écoles, -si ce n'est le vigile qui brandit un panneau stop au conducteurs analphabètes ou irrespectueux des piétons au risque de sa vie- et aux abord des hôpitaux.
Avec l'afflue des permis de conduire où sans faire l'auto-école, l'on a accès au premier diplôme de la vie; les conducteurs qui ne savent pas lire ou qui paye autrui pour passer le code pour eux, bien que j'ai peur d’exagérer, on ne respecte pas les feux tricolore où la règle de priorité si le conducteur brandit son arme qui est: "le propriétaire attend sa recette, je dois vite conduire pour avoir ma part".
Aussi facilement, on fait un accrochage, on cogne celui qui a la priorité parce qu'impatient ou encore on jette les passager des ponts quand on a pas eu de pancarte qui indique les travaux ou la voix défectueuse qui nous prends par surprise et sans alternatif, au secours on saute!
Autorités, il ne s'agit pas de dénombrer les morts par la route, mais de créer les infrastructures qui permettraient de mettre hors de porté, l'assassinat par les quatre roues.
c'est vrai, vous avez fait beaucoup, mais il reste encore beaucoup trop à faire. Mettre à la disposition de la population les codes de la routes, l'on saurait où traverser, où ne pas traverser pour éviter de se faire écraser par un véhicule roulant à vive allure là où il devait roulé peut-être à 40 km/heure ou 25km/heure.
Nous imputons cette faute à l'état pourtant nous devons aussi regarder parmi nous, les personnes bouchées jusqu’aux orteils et qui pense faire droit de bourse sur tous les métaux. Ce sont les forgeronts, qui la nuit, déterrent ses métaux pour fabriquer les matériaux et qui mettent sur le dos de la pauvreté. Je prend pour exemple les poubelle qu'ont dispersées, les autorités municipales Agbovilloise, en bordure de routes qui ne sont devenues qu'un souvenir. Certains parle fièrement de cette infortune et honte de leur part comme s'ils avaient fait la bonne action en utilisant ses poubelles pour fabriquer les marmites, seaux, fourneau et autres objet et ce, malgré les campagne de sensibilisation à la radio la voix de l'Agneby.
Formons nos esprits, nos têtes et nos ventres à accepter les choses publiques en les respectant. Ce ne sont pas seulement les enfants qui doivent aller à l'école mais tous les habitants d'un pays. on ne doit pas imposer un âge pour l'école mais tout âge devais y avoir accès.
Car je pense que c'est l’analphabétisme volontairement organisé par les autorités africaines francophones, depuis le colon jusqu'aujourd'hui, qui fait méprendre la population, ne comprenant pas le bien pour lui et pense que la population est la population et que l'état c'est l'état, ignorant son rôle pour le bien-être de cet état dont il doit assurer la survie.
Nous devons aussi penser à une autre forme d'éducation dans nos écoles et nos universités afin que nos frères et soeurs connaissent la valeur humaine, la valeur altruiste.
Nous devons inculquer le sens du volontariat aux enfants et faire passer en avant, l'importance de l'autre, afin que nos chemins ne nous tuent plus mais nous facilitent le mouvement migratoire des biens, des personnes, et tout allant et venant de l’existence humaine.
Que chacun comprennent sa part de responsabilité, et qu'on ouvre l'école à tous les vieux et vieilles éducateurs ou éducatrices domestiques afin que les enfants comprennent le monde depuis le sein maternel.
Aussi, nos égoïsme hérités et partagés doivent laisser place à l'altruisme salvateur du monde développé.
Maxime N'DRI 07377111
c'est vrai, vous avez fait beaucoup, mais il reste encore beaucoup trop à faire. Mettre à la disposition de la population les codes de la routes, l'on saurait où traverser, où ne pas traverser pour éviter de se faire écraser par un véhicule roulant à vive allure là où il devait roulé peut-être à 40 km/heure ou 25km/heure.
Nous imputons cette faute à l'état pourtant nous devons aussi regarder parmi nous, les personnes bouchées jusqu’aux orteils et qui pense faire droit de bourse sur tous les métaux. Ce sont les forgeronts, qui la nuit, déterrent ses métaux pour fabriquer les matériaux et qui mettent sur le dos de la pauvreté. Je prend pour exemple les poubelle qu'ont dispersées, les autorités municipales Agbovilloise, en bordure de routes qui ne sont devenues qu'un souvenir. Certains parle fièrement de cette infortune et honte de leur part comme s'ils avaient fait la bonne action en utilisant ses poubelles pour fabriquer les marmites, seaux, fourneau et autres objet et ce, malgré les campagne de sensibilisation à la radio la voix de l'Agneby.
Formons nos esprits, nos têtes et nos ventres à accepter les choses publiques en les respectant. Ce ne sont pas seulement les enfants qui doivent aller à l'école mais tous les habitants d'un pays. on ne doit pas imposer un âge pour l'école mais tout âge devais y avoir accès.
Car je pense que c'est l’analphabétisme volontairement organisé par les autorités africaines francophones, depuis le colon jusqu'aujourd'hui, qui fait méprendre la population, ne comprenant pas le bien pour lui et pense que la population est la population et que l'état c'est l'état, ignorant son rôle pour le bien-être de cet état dont il doit assurer la survie.
Nous devons aussi penser à une autre forme d'éducation dans nos écoles et nos universités afin que nos frères et soeurs connaissent la valeur humaine, la valeur altruiste.
Nous devons inculquer le sens du volontariat aux enfants et faire passer en avant, l'importance de l'autre, afin que nos chemins ne nous tuent plus mais nous facilitent le mouvement migratoire des biens, des personnes, et tout allant et venant de l’existence humaine.
Que chacun comprennent sa part de responsabilité, et qu'on ouvre l'école à tous les vieux et vieilles éducateurs ou éducatrices domestiques afin que les enfants comprennent le monde depuis le sein maternel.
Aussi, nos égoïsme hérités et partagés doivent laisser place à l'altruisme salvateur du monde développé.
Maxime N'DRI 07377111
samedi 7 décembre 2013
Côte d'Ivoire: Le pardon est un remède
Le pardon, doit-on obliger une personne à pardonner? Ne saurait-il pas que le pardon est une obligation morale?
Combien coûte-il de demander pardon en toute sincérité?
Nous avons accusé Soro Guillaume en 2002 et il a demandé pardon devant la nation même si pour lui, c'était pour servir une cause noble, il a reconnu son tort et a présenté ses sincères excuses à la nation.
N'avons-nous pas loué se courage? N'avons-nous pas aimé ce jeune homme en son temps?
Aujourd'hui, où est-il?
Quand on prend des personnes qu'on veux servir au sérieux, alors on reconnait nos dérives et on n'hésite pas à faire pardonner nos manquements.
Balétégué dans l'Envol Du Cœur a reconnu sa part de responsabilité et a dit après la mort de N'fa et N'nan que : "Allah ka di, Allah ka ta; je suis comme un soldat et je ne doit aucunement me venger. Nous sommes des religieux et nous croyons en Dieu, c'est pourquoi, à lui seul de venger nos morts car nous hommes, ne pouvons pas rendre véritable justice". Ce que nous pouvons faire, c'est de pardonner main dans la main. Nous devons songer à reconstruire notre pays.
SEM SORO Guillaume est aimé et respecté pas parce qu'il est le président de l'assemblée nationale, mais bien parce qu’il a demandé pardon à son peuple jusqu'aux couches les plus victime des crise et même ceux qui n'ont jamais entendus tonner le canon.
Et cela lui revaudrait dans l'avenir un poste de président de la république pour son action en faveur de la paix.
La paix n'est pas la chose d'un individu. C'est le lieu d'épanouissement du pauvre, celui du riche, celui des animaux et tous ceux qui vivent sur la terre. En période de guerre, les riche vivent sous les tentes et les pauvres meurent tout simplement par la cause de la famine. Le riche reçoit les balles en direct et les pauvres les balles perdues.
Certaines personnes ont connu la mort pain à la main pourtant pas directement visé. C'est pour cela que nous devons nous asseoir autour de la table du dialogue de papa.
Il nous a dressé la table avant sa mort et cette table vieillie ou a une couche de poussière de plus de deux centimètres par le fait des accusations ou des accusateurs inutiles sans proposer mieux que l'autres.
Demander pardon, c'est sauver non seulement sa vie, mais celle de cette population affamée qui croupie dans la prison de votre haine.
Qu'ont ils fait pour mériter la vie sous ce courroux de votre insouciance?
Aujourd'hui, mon modèle c'est SEM SORO Guillaume du fait de la leçon d'humilité donné depuis 2002
Pardonnez et faites vous pardonner... Que dis-je? pardonnons et faisons nous pardonner.
Journalistes, Hommes de lettres, blogueurs, photographes, décideurs, présidents, ong... changeons de chant de bataille. Ne poussons pas les peuples, nos peuple dans le périple de la vie. amenons les à travers nos écrits et nos communications à se demander pardon et à revivre comme des frères, en bon voisinage, dans leurs communauté. Les époux se battent à cause de la politique pourtant cela devait pas exister.
vendredi 6 décembre 2013
My tribute to Madiba
“My life was not exemplar at the beginning
I, by myself, don’t like everything I have done
But I change my life into best one
Today, you consider me as a god
Father of goodness
Father of the world
A giant and endless father
Is my life
What I am hearing about?
What you may understand
Is none is worst but
Every one by his strength
Can change the court of his life
I was hungered in jail
My action for Africa
Was not only for Africa
But for humankind
Don't cry by your misery life
Tomorrow is a light
Enlighten your mind
Enlighten your way
Go up Africa
Fight for tomorrow
Cause tomorrow neither dies”
This comes in my mind
As if Madiba is talking to me
If you don't change the face of Africa
He dies for granted
Africa needs change
The world needs change
Rest in peace dad
You're not dead.
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