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lundi 3 février 2014
jeudi 12 décembre 2013
Cadeaux de fin d'années: qui du père ou de la mère pense à l'éducation de l'enfant?
C'est la période des fêtes. On achète des présents aux enfants. Mais quel présent, choisissent les pères ou les mères?
Ils sont rares ceux qui pensent à offrir un livre à leurs enfants comme cadeau parce que, selon eux, la rentrée scolaire est là pour le livre. bien que le sens du mot cadeau ne définit pas clairement les offres à donner: il nous importe de recourir à Wikipedia qui va encore plus loin. selon lui, "Un cadeau ou présent est une forme courante de don destiné à faire plaisir à une personne physique. Par extension, c’est quelque chose qui rend autrui heureux ou moins triste, une faveur, un acte de bonté et de pardon.
Le cadeau peut être un objet, de l’argent, un droit à acheter ou à faire quelque chose (par exemple un voyage) ; le cadeau est généralement agrémenté d’un emballage (papier cadeau) ou d’une présentation festive.
Traditionnellement, certaines occasions sont propices pour offrir des cadeaux : anniversaires, Noël, mariages, Saint-Valentin, fête des mères, etc." On porte plutôt le regarde vers les jouets de dernière génération : armes de dernière génération, vélos, voiturettes, poupées... faire plaisir aujourd'hui sans penser au plaisir de demain. Et offrir un livre est une calamité. Cependant, certaines personnes sortent la tête du lot.
Les hommes qui ont acheté un livre disent : ma femme m'a fait palabre, car elle ne voulait pas que j'achète le livre, elle voulait autre chose que le livre. Tout ce qui n'a pas un rapport avec l'école.
Après une petite question posée à certaines dames, il ressort que les dames veulent que les enfants reposent leur tête ou, le voisin a acheté un jouet et non un livre pour ses enfants, alors il faut en faire autant. Et on fait fi de notre possibilité boursière et faire plaisir à un enfant devient un casse-tête.
Tort ou raison ?
L'éducation d'un enfant passe avant tout. Il faut lui assurer un avenir qui ne se trouve pas dans les jouets, mais, dont les livres pourront lui offrir.
Les livres renferment beaucoup de choses à découvrir. Il ne faut pas qu'on pousse les enfants à la paresse, mais au courage. Si nous les parents, sommes anti-livres, alors laissons les enfants êtres autres que ce que nous sommes.
Allons dans nos librairies et offrons des livres à nos enfants.
lundi 9 décembre 2013
Code de la route: la mort nous est servie!
Les codes de la route qui réglementent la circulation, limitent les vitesses et qui fluidifient le mouvement des habitants des pays du monde digne de ce nom est une carence ou du moins, souffre d'une avitaminose exagérée.
Le constat dans nos rues Abidjanaise est alarmant et c'est là où ces panneaux sont sensés être posés que les accidents abondent. Aucun panneau stop aux endroits de masse, aux alentour des écoles, -si ce n'est le vigile qui brandit un panneau stop au conducteurs analphabètes ou irrespectueux des piétons au risque de sa vie- et aux abord des hôpitaux.
Avec l'afflue des permis de conduire où sans faire l'auto-école, l'on a accès au premier diplôme de la vie; les conducteurs qui ne savent pas lire ou qui paye autrui pour passer le code pour eux, bien que j'ai peur d’exagérer, on ne respecte pas les feux tricolore où la règle de priorité si le conducteur brandit son arme qui est: "le propriétaire attend sa recette, je dois vite conduire pour avoir ma part".
Aussi facilement, on fait un accrochage, on cogne celui qui a la priorité parce qu'impatient ou encore on jette les passager des ponts quand on a pas eu de pancarte qui indique les travaux ou la voix défectueuse qui nous prends par surprise et sans alternatif, au secours on saute!
Autorités, il ne s'agit pas de dénombrer les morts par la route, mais de créer les infrastructures qui permettraient de mettre hors de porté, l'assassinat par les quatre roues.
c'est vrai, vous avez fait beaucoup, mais il reste encore beaucoup trop à faire. Mettre à la disposition de la population les codes de la routes, l'on saurait où traverser, où ne pas traverser pour éviter de se faire écraser par un véhicule roulant à vive allure là où il devait roulé peut-être à 40 km/heure ou 25km/heure.
Nous imputons cette faute à l'état pourtant nous devons aussi regarder parmi nous, les personnes bouchées jusqu’aux orteils et qui pense faire droit de bourse sur tous les métaux. Ce sont les forgeronts, qui la nuit, déterrent ses métaux pour fabriquer les matériaux et qui mettent sur le dos de la pauvreté. Je prend pour exemple les poubelle qu'ont dispersées, les autorités municipales Agbovilloise, en bordure de routes qui ne sont devenues qu'un souvenir. Certains parle fièrement de cette infortune et honte de leur part comme s'ils avaient fait la bonne action en utilisant ses poubelles pour fabriquer les marmites, seaux, fourneau et autres objet et ce, malgré les campagne de sensibilisation à la radio la voix de l'Agneby.
Formons nos esprits, nos têtes et nos ventres à accepter les choses publiques en les respectant. Ce ne sont pas seulement les enfants qui doivent aller à l'école mais tous les habitants d'un pays. on ne doit pas imposer un âge pour l'école mais tout âge devais y avoir accès.
Car je pense que c'est l’analphabétisme volontairement organisé par les autorités africaines francophones, depuis le colon jusqu'aujourd'hui, qui fait méprendre la population, ne comprenant pas le bien pour lui et pense que la population est la population et que l'état c'est l'état, ignorant son rôle pour le bien-être de cet état dont il doit assurer la survie.
Nous devons aussi penser à une autre forme d'éducation dans nos écoles et nos universités afin que nos frères et soeurs connaissent la valeur humaine, la valeur altruiste.
Nous devons inculquer le sens du volontariat aux enfants et faire passer en avant, l'importance de l'autre, afin que nos chemins ne nous tuent plus mais nous facilitent le mouvement migratoire des biens, des personnes, et tout allant et venant de l’existence humaine.
Que chacun comprennent sa part de responsabilité, et qu'on ouvre l'école à tous les vieux et vieilles éducateurs ou éducatrices domestiques afin que les enfants comprennent le monde depuis le sein maternel.
Aussi, nos égoïsme hérités et partagés doivent laisser place à l'altruisme salvateur du monde développé.
Maxime N'DRI 07377111
c'est vrai, vous avez fait beaucoup, mais il reste encore beaucoup trop à faire. Mettre à la disposition de la population les codes de la routes, l'on saurait où traverser, où ne pas traverser pour éviter de se faire écraser par un véhicule roulant à vive allure là où il devait roulé peut-être à 40 km/heure ou 25km/heure.
Nous imputons cette faute à l'état pourtant nous devons aussi regarder parmi nous, les personnes bouchées jusqu’aux orteils et qui pense faire droit de bourse sur tous les métaux. Ce sont les forgeronts, qui la nuit, déterrent ses métaux pour fabriquer les matériaux et qui mettent sur le dos de la pauvreté. Je prend pour exemple les poubelle qu'ont dispersées, les autorités municipales Agbovilloise, en bordure de routes qui ne sont devenues qu'un souvenir. Certains parle fièrement de cette infortune et honte de leur part comme s'ils avaient fait la bonne action en utilisant ses poubelles pour fabriquer les marmites, seaux, fourneau et autres objet et ce, malgré les campagne de sensibilisation à la radio la voix de l'Agneby.
Formons nos esprits, nos têtes et nos ventres à accepter les choses publiques en les respectant. Ce ne sont pas seulement les enfants qui doivent aller à l'école mais tous les habitants d'un pays. on ne doit pas imposer un âge pour l'école mais tout âge devais y avoir accès.
Car je pense que c'est l’analphabétisme volontairement organisé par les autorités africaines francophones, depuis le colon jusqu'aujourd'hui, qui fait méprendre la population, ne comprenant pas le bien pour lui et pense que la population est la population et que l'état c'est l'état, ignorant son rôle pour le bien-être de cet état dont il doit assurer la survie.
Nous devons aussi penser à une autre forme d'éducation dans nos écoles et nos universités afin que nos frères et soeurs connaissent la valeur humaine, la valeur altruiste.
Nous devons inculquer le sens du volontariat aux enfants et faire passer en avant, l'importance de l'autre, afin que nos chemins ne nous tuent plus mais nous facilitent le mouvement migratoire des biens, des personnes, et tout allant et venant de l’existence humaine.
Que chacun comprennent sa part de responsabilité, et qu'on ouvre l'école à tous les vieux et vieilles éducateurs ou éducatrices domestiques afin que les enfants comprennent le monde depuis le sein maternel.
Aussi, nos égoïsme hérités et partagés doivent laisser place à l'altruisme salvateur du monde développé.
Maxime N'DRI 07377111
samedi 7 décembre 2013
Côte d'Ivoire: Le pardon est un remède
Le pardon, doit-on obliger une personne à pardonner? Ne saurait-il pas que le pardon est une obligation morale?
Combien coûte-il de demander pardon en toute sincérité?
Nous avons accusé Soro Guillaume en 2002 et il a demandé pardon devant la nation même si pour lui, c'était pour servir une cause noble, il a reconnu son tort et a présenté ses sincères excuses à la nation.
N'avons-nous pas loué se courage? N'avons-nous pas aimé ce jeune homme en son temps?
Aujourd'hui, où est-il?
Quand on prend des personnes qu'on veux servir au sérieux, alors on reconnait nos dérives et on n'hésite pas à faire pardonner nos manquements.
Balétégué dans l'Envol Du Cœur a reconnu sa part de responsabilité et a dit après la mort de N'fa et N'nan que : "Allah ka di, Allah ka ta; je suis comme un soldat et je ne doit aucunement me venger. Nous sommes des religieux et nous croyons en Dieu, c'est pourquoi, à lui seul de venger nos morts car nous hommes, ne pouvons pas rendre véritable justice". Ce que nous pouvons faire, c'est de pardonner main dans la main. Nous devons songer à reconstruire notre pays.
SEM SORO Guillaume est aimé et respecté pas parce qu'il est le président de l'assemblée nationale, mais bien parce qu’il a demandé pardon à son peuple jusqu'aux couches les plus victime des crise et même ceux qui n'ont jamais entendus tonner le canon.
Et cela lui revaudrait dans l'avenir un poste de président de la république pour son action en faveur de la paix.
La paix n'est pas la chose d'un individu. C'est le lieu d'épanouissement du pauvre, celui du riche, celui des animaux et tous ceux qui vivent sur la terre. En période de guerre, les riche vivent sous les tentes et les pauvres meurent tout simplement par la cause de la famine. Le riche reçoit les balles en direct et les pauvres les balles perdues.
Certaines personnes ont connu la mort pain à la main pourtant pas directement visé. C'est pour cela que nous devons nous asseoir autour de la table du dialogue de papa.
Il nous a dressé la table avant sa mort et cette table vieillie ou a une couche de poussière de plus de deux centimètres par le fait des accusations ou des accusateurs inutiles sans proposer mieux que l'autres.
Demander pardon, c'est sauver non seulement sa vie, mais celle de cette population affamée qui croupie dans la prison de votre haine.
Qu'ont ils fait pour mériter la vie sous ce courroux de votre insouciance?
Aujourd'hui, mon modèle c'est SEM SORO Guillaume du fait de la leçon d'humilité donné depuis 2002
Pardonnez et faites vous pardonner... Que dis-je? pardonnons et faisons nous pardonner.
Journalistes, Hommes de lettres, blogueurs, photographes, décideurs, présidents, ong... changeons de chant de bataille. Ne poussons pas les peuples, nos peuple dans le périple de la vie. amenons les à travers nos écrits et nos communications à se demander pardon et à revivre comme des frères, en bon voisinage, dans leurs communauté. Les époux se battent à cause de la politique pourtant cela devait pas exister.
vendredi 6 décembre 2013
My tribute to Madiba
“My life was not exemplar at the beginning
I, by myself, don’t like everything I have done
But I change my life into best one
Today, you consider me as a god
Father of goodness
Father of the world
A giant and endless father
Is my life
What I am hearing about?
What you may understand
Is none is worst but
Every one by his strength
Can change the court of his life
I was hungered in jail
My action for Africa
Was not only for Africa
But for humankind
Don't cry by your misery life
Tomorrow is a light
Enlighten your mind
Enlighten your way
Go up Africa
Fight for tomorrow
Cause tomorrow neither dies”
This comes in my mind
As if Madiba is talking to me
If you don't change the face of Africa
He dies for granted
Africa needs change
The world needs change
Rest in peace dad
You're not dead.
Adieu Papa Mandela
Umh héééé
Umh
Ohééééé
Umh
Non il n'est pas parti
Non, il nous regarde
Il contemple la grandeur de Dieu
Il regarde ses enfants en larme
Umh héééé
Umh
Ohééééé
Umh
Qu’avez-vous pour continuer son combat
Jusqu’où êtes-vous prêt à partir
Pour que son nom soit éternel
Non, il n'est pas mort
Il nous laisse la place
Afin que nous continuons son combat
Umh héééé
Umh
Ohééééé
Umh
Afrique lève-toi Afrique
Regarde dans les cieux
Dans la direction de sa main
Regarde au midi
Il se fait un chemin
Non, jusqu'où êtes-vous prêt à aller?
Umh héééé
Umh
Ohééééé
Umh
Regarde les pas silencieux
Sa voix jamais ne sera entendue en direct
Jamais nous ne pourrons prendre de photo en direct
Avec lui à notre coté
Umh héééé
Umh
Ohééééé
Umh
Hommes prions hommes
Femmes priez femmes
Madidiba n’est pas mort.
mercredi 20 novembre 2013
Insécurité en Cote d'Ivoire
Monsieur le président, Ma Côte d'Ivoire est devenu dangereuse. En pleine journée, on agresse, on enlève et on tue. Je suis déçu jusqu'aux os.
Ce matin à Yopougon, un jeune travailleur à l'agence Moov, à Ficgayo, a été enlevé et battu à mort par un groupe de jeune se disant nordiste ou dioula. Ils l'ont conduit vers le marché inachevé de Yopougon Ficgayo. avec des couteaux, des armes de toutes sortes, sauf kalachnikov que je n'ai pas vu, ils empêchent les autres de venir négocier pour secourir l'infortuné.
Monsieur le président, je suis à vos pieds, réconciliez les nordistes avant la véritable réconciliation des ivoiriens. cette phrase: "On ne veut pas que je sois candidat, parce que je suis musulman et du nord" est une bombe qui fait et qui fera son effet. s'il vous plait, mettez fin à ça. Triste de mon pays.
Le CCDO est arrivé, mais à qu'il est, nous ne savons pas le sort du jeune homme. Nous avons qu'il était grièvement blessé, mais toujours entre les main de ses bourreaux. il y a aussi, le groupe de sécurité, G4S qui intervient dans la libération du jeune homme.
Aux dernière nouvelles, l'infortuné libéré par la police a été aussitôt conduit au chu pour les soins. Le CCDO et les G4S ratissent dans le secteur pour prendre les coupable qui se sont évaporés dans la nature. les ambulanciers sont rentrés bredouille car, il sont venu un peu en retard, vu la gravité des blessures, la police a joué leur rôle.
Ce matin à Yopougon, un jeune travailleur à l'agence Moov, à Ficgayo, a été enlevé et battu à mort par un groupe de jeune se disant nordiste ou dioula. Ils l'ont conduit vers le marché inachevé de Yopougon Ficgayo. avec des couteaux, des armes de toutes sortes, sauf kalachnikov que je n'ai pas vu, ils empêchent les autres de venir négocier pour secourir l'infortuné.
Monsieur le président, je suis à vos pieds, réconciliez les nordistes avant la véritable réconciliation des ivoiriens. cette phrase: "On ne veut pas que je sois candidat, parce que je suis musulman et du nord" est une bombe qui fait et qui fera son effet. s'il vous plait, mettez fin à ça. Triste de mon pays.
Le CCDO est arrivé, mais à qu'il est, nous ne savons pas le sort du jeune homme. Nous avons qu'il était grièvement blessé, mais toujours entre les main de ses bourreaux. il y a aussi, le groupe de sécurité, G4S qui intervient dans la libération du jeune homme.
Aux dernière nouvelles, l'infortuné libéré par la police a été aussitôt conduit au chu pour les soins. Le CCDO et les G4S ratissent dans le secteur pour prendre les coupable qui se sont évaporés dans la nature. les ambulanciers sont rentrés bredouille car, il sont venu un peu en retard, vu la gravité des blessures, la police a joué leur rôle.
mercredi 23 octobre 2013
Moto cross, où sont passé les Johny de Côte d'Ivoire
On les voyait en pleine circulation élevant la tête de leurs motos, gênant les personnes qui circulait pour gagner leur domiciles, lieux de travail ou lieu de loisir.
Ils était un certains nombre d'individu dont Johny le plus connu. Ils tous des Raiders, ou Cross movers, ou encore les moto-bikers.
Mais leur absence est net lorsque ce jours, 23 Octobre 2013, l'espace Ficgayo refusait du monde pour cause, un circuit fermé de cross avec la participation d'un seul individu à la peau noire, sinon, 98% de Libanais ou d'homme à la peau blanche ou jaune.
Ce n'est pas faire du racisme, mais c'est appel au Africains, de faire choses comme il faut, mais pas pour faire le malin.
Où passé l'équipe nationale de cross ou-bien formerons-nous cette équipe avec les Libanais ou Syrien en Côte d'Ivoire?
Nous voyons des dames et des enfants sur des cross pour savourer ce sport dont ils en sont friand. et pourtant pas de femme ivoirienne dans ce milieu.
Un journaliste disait: "Dieu n'a pas créé d'homme et de femme, il n'a que créé des être-vivants. C'est nous qui nous disons homme ou femme sinon, nous pouvons tout faire..."
samedi 19 octobre 2013
Dédicace de l'envol du coeur, ma communication
Honorables invités,
Amis du livre,
Mesdames et messieurs,
Mon intervention se centrera sur le titre de l'Oeuvre qui nous réunie ici ce matin.
L’envol du cœur
Pourquoi L’envol du cœur et non autre
chose ?
La vie nous réserve tant de chose. On
nait, on grandit et on meurt mais avant d’en arrivé là, c’est un long chemin.
C’est pour parler des choses de la vie ; surtout la vie de deux
adolescents qui se passe dans une atmosphère délétère.
Tout commence par la joie, puis la tristesse
et la chienlit du à la course effréné au pouvoir. Ne dit-on pas que le pouvoir
est le sommet de l’action humaine ?
L’envol ici, symbolise la disparition,
la fuite, le départ et le cœur, la paix.
L’envol du cœur pour dire la fuite de
paix.
Un conflit qui naît fuir la paix dans
une destination inconnu poussant les uns et les autres à rechercher cette paix.
Retrouve-t-on la paix après avec un
conflit ?
Je pense qu’on ne retrouve pas la paix,
mais on la crée. On crée un climat de paix fragile comme une colombe aux ailes
raccourci.
Il s’installe la méfiance, la défiance
entravant toute idées de réconciliations.
L’intension de l’envol du cœur est de
permettre à tout le monde de se dire une seule chose :
« Allah ka di, Allah ka ta »
comme Balétégué et de penser que la vengeance ne doit pas être le fait de
l’homme, mais de la divinité créatrice de toute chose c'est-à-dire de Dieu.
Si nous retrouvons chaque vendredi à la
mosquée ou chaque dimanche à l’église, pourquoi nourrir l’idée de vengeance.
Réduisons-nous notre foi à la parole seulement sans réellement avoir crainte de
Dieu ?
Si nous voulons revivre la véritable
paix, des pauvres, la paix des riches, la paix des sans habits, la paix des
affaires, la paix des commerçant, c'est-à-dire, la paix qui fait vivre, alors
laissons notre mal à la divinité du destin, la divinité créatrice de l’univers.
Je ne suis pas en train de dire que le seul
sens qui porte le symbole de l’envol du cœur, soit la fuite de la paix, chacun
pourra avoir compréhension de cette œuvre car, on peut aller bien loin parlant
de l’amour lui-même gage de bien être social.
C’est par l’amour que nous cohabitons,
nous apprenons d’autres langues et même nous fuyons nos racines.
C’est par l’amour que le monde est monde
aujourd’hui, avant que l’argent ne nous transforme en combattant, en ennemi du
monde lui-même.
C’est l’argent qui détruit notre
environnement.
Parlant d’amour, je voudrais partager
avec vous une interrogation d’ainée, une écrivaine, Koumoin Adjoua qui
dit : « Bintou, n’est pas cette personne que nous recherchons
tant ? N’est pas ce dont le monde a besoin pour bien vivre ? J’espère
que les lecteurs le comprendront ainsi. » et moi aussi, j’espère que vous
comprendrez cette œuvre et qu’elle vous sera utile, car elle est pleine de
sens.
Dédicace de l'envol du coeur, présentation par Fieni Jeanne
Honorables invités,
Amis du livre,
Mesdames et messieurs,
J’ai
l’honneur de vous présenter le livre qui est le point de mire de cette petite
cérémonie. Il s’agit bien de L’envol du cœur, de Maxime Kouadio
N’Dri. Ce roman se distingue par son petit format ; il couvre seulement 70
pages. Il a donc l’avantage de se faire lire en un trait et en une journée.
Aujourd’hui, dans ce siècle où tout va vite, où la paresse est l’une des choses
les mieux partagées, c’est un aspect important qu’il faut relever. En outre, le
roman de Maxime Kouadio est rendu dans un style simple et dans une langue
accessible au lecteur de niveau moyen.
L’envol
du cœur est un
condensé de thèmes à la fois d’actualité et de tous les temps. Ces thèmes qui
se subdivisent en sous-thèmes sont tous porteurs de sens. Le thème central est
l’amour, thème universel, maintes fois traités. Ici l’amour prend un relief
particulier dans la mesure où il se déploie dans un contexte de crise et de
guerre.
A la quatrième
de couverture du livret, on peut lire la citation suivante: « On ne peut pas vivre un amour sans
causer de mal car par action ou par omission, par savoir ou insu, on fait
pleurer. Notre amour pour une personne cause du tort à telle ou telle autre
personne dans ce monde de polygamie secrète, ou encore de rapports multiples
hors mariage ». Voici une belle pensée qui nous présente l’amour sous
une image mitigée, contradictoire. En même temps qu’il procure le bonheur, il
réussit à inoculer le chagrin. De ce fait, on ne peut s’empêcher de
s’interroger sur le sens réel et profond de l’amour.
Alors, pour
mieux saisir le sens de notre propos, goûtons ensemble à l’histoire de ce
roman :
Bintou
et Max sont deux amoureux qui ne se connaissent pas, mais qui s’aiment de tout
cœur, sans s’être jamais vus. Le jour où ils décident de se rencontrer, Bintou
doit faire face à un malheur. Elle vient de perdre sa sœur ainée.
Au
lendemain de ce décès, les parents de Bintou décident de son déplacement
d’Abidjan à Bouaké où elle doit poursuivre ses études.
Bintou
envoie des lettres par personne interposée à Max, mai celui-ci ne les reçoit
pas. Ne sachant pas que ses lettres ne parviennent pas à Max, elle entre dans
une colère noire et décide de passer les vacances, là-bas, à Bouaké.
Après
quelques mois de vacance, une guerre
éclate. Bintou disparait. Il y a des avis de recherches mais en vain, aucune
nouvelle d’elle. Ses parents décident alors de l’enterrer sans la dépouille. Mais
Max s’absente, car il a vu Bintou en rêve et elle lui a confié qu’elle vivait.
A
force de penser à Bintou, une histoire lui est venue en tête. Une histoire de
Bintou et Balétégué, jeune intègre originaire de Wala qui n'a pas connu l'école
mais qui est très intelligent.
Il
conseillait à ses cousins de ne jamais recourir à la vengeance, parce que, selon
lui, la vengeance tue la paix.
Cette œuvre, a
une singularité qui lui confère un goût particulier. Elle nous fait arpenter
les allées du rêve et de la réalité. Elle nous installe dans une atmosphère
onirique où le rêve investit la réalité de toutes ses couleurs.
En
somme, L’envol du cœur est un livre simple et captivant qui tout en
nous montrant la force de l’amour nous révèle son aspect sombre et inquiétant.
En inscrivant une histoire d’amour dans un contexte de guerre, l’auteur nous
permet de comprendre l’intérêt de la paix et de la cohésion sociale. Nous
croyons qu’il mérite d’être mis à la disposition du grand public et, mais
notamment des plus jeunes qui y trouveront de quoi les aider à affronter la vie
quotidienne.
lundi 14 octobre 2013
Entretien de l'espace public, Agboville a un problème avec
Après le stade qui est dans un piteux état, Le volontaire a fait d'autres constats. Il n'y a pas de lieu mieux pour jeter les ordures qu'en bordure du fleuve Agneby, qui sous d'autres cieux, serait entretenu et constituerait un site touristique. Problème avec la population ou négligence des autorités publiques?
Chacun à son rôle a jouer, mais celui qui incombe l'autorité est majeure. Les quelques personnes interrogées disent ne pas disposer de moyen de ramassage d'ordure, ce pourquoi, certaines personnes déverseraient leurs ordures en bordure du fleuve.
Je me pose cependant une question: Comment sont gérés les ordures dans cette localité?
Soucions-nous de l'environnement. car c'est bien être lâche que de le détruire. Cet environnement est un pôle vital qu'il se doit de préserver.
Négliger l'environnement, c'est négliger non seulement sa propre vie, mais la vie de tous les êtres vivants. Donc les autorités Agbovilloises sont priées de prendre soin de leur localité.
C'est vrai, qu'il y a des ordures en bordure de ce fleuve, mais il présente une fier allure. Par endroit, on a l'impression de voir la carte de l’Afrique se dessiner sur la surface de l'eau. Ce sont les lieux que l'on pouvait bien exploiter pour faire rentrer de l'argent dans les caisses de l'administration Agbovilloise.
Ne laissez pas les jeunes à la rue; ne permettez pas qu'ils soit laisser pour contre, sinon, on se plaindrait de la drogue, de l'alcool, ou de l’exode rural qui laisserait de millier de mort en pleine mère Tunisienne où Casablancaise. Utiliser ces endroit pour en faire des emplois pour tous.
dimanche 13 octobre 2013
Livresque #4: un rendez-vous tenu!
Bravo aux organisateurs qui ont bien voulu mettre en relation auteur et Burida ( bureau ivoirien du droit d'auteur). L'auteur connait-il son droit? jusqu'où son droit s'étend? que peut-il faire? telles sont les questions traitées en ce dimanche 13 Octobre 2013, au musée d'art contemporain de Cocody. Les blogueurs, les écrivains, les artistes et bien autres amoureux du livre se sont prêtés au jeu de livresque avec des lectrices aux voix suaves, qui chatouillent les tympan donnant à la célébration, une particularité. Les texte étaient tous beaux, sensés et d'actualités. Nous voulons dire aux auteurs et amoureux du livre, de s'adonner très souvent à la lecture à voix haute car cela se paye. La qualité d'une lecture donne bien d'avantages que nul ne pourra ébranlé.
Quant à Livresque, merci à Yehni Djidji pour cette belle initiative d'échange, de partage et de convivialité.
Généralement, les débuts ressemblent à du jeu, puis on se moque de nous, on nous décourage, mais elle n'a pas laissé tomber ses idées. Elle s'est battu pour que cela prenne forme et enfin, est né livresque #1, puis #2, puis #3 et aujourd'hui #4. La seule remarque que je peux faire est que le matériel de communication n'était pas à la hauteur de la cérémonie, c'est à dire, le ou les micros rencontrai(en)t les difficultés à transmettre le son venant des cordes vocales des interlocuteurs. Nous souhaitons que les sponsors s'associent à livresque pour lui offrir le matériel à la pointe de la technologie.
Mille merci aux organisateurs, qui dans l'ensemble ont battu le pavé, pour donner une qualité et une réalisation de beauté à Livresque #4.
Ajoutons que nous avons célébré l'anniversaire de http://www.225nouvelles.com.
Déjà un an! ça doit se fêter car un enfant qui a un an est un homme qui fait ses premier pas dans la vie des hommes.
Disons merci à tous les participants et que le livre prenne du pouvoir dans notre vie.
samedi 12 octobre 2013
Stade d'Agboville, ma déception!
En visite dans la ville qui m'a donné le baccalauréat, j'étais très heureux allant d'Abidjan. Une foi sur les lieux, je suis pris de tristesse de voir beaucoup de chose qui ont changé en mal. Au nombre de ces choses, le stade d'Agboville. Située à quelques mètres du fleuve Agneby ( Agbo) pour les Abbey, c'était un très beau terrain de foot qui offrait une fière allure à ses visiteurs. Les autorités se sont succédées, et nul n'as eu l'idée de faire de ce stade, un véritable pôle d'attraction. Ma tristesse, je trouve des berger qui y ont fait entrer leurs bœufs, pour les nourrir. D’aucun me dirais que c'est normal, juste parce qu'ils ne veulent pas tondre ces herbes; Et, le stade est plein de rejet de bœufs qui ne lui offre pas le bonheur.
En réalité, notre problème en Afrique, c'est qu'on ne sais pas prendre soin des héritages que nous ont laissés les anciens. Il arrive qu'on délaisse ces richesse acquise pour faire des projets calamiteux aux coûts colossaux, sans avoir le goût de les terminer si on a débuté, avant la fin de nos nombreuses années de gestion; de nos nombreux règnes. Agboville, foisonne d'équipe de football, mais qui n'évolue pas. Cela pourrait s'expliquer par la mauvaise foi des "bonnes fois" (ceux-ci font croire qu'ils sont venu pour le bien être des autres, alors qu'ils sont là pour leur propre poche).
Je pense que ce message n'est pas une chose qui entrera par les oreilles de sourds et qu'il prendra effet de boussole, pour refaire le patrimoine culturel de notre cher pays.
Nous ne perdons pas à récompenser le travail bien fait, sinon, les jeunes mourront encore et encore au larges des mers de Lanpedouza, ou de Casablanca, et bien d'autres encore juste parce qu'ils recherche l'eldorado. C'est ici et non ailleurs, mais nos autorités doivent travailler au lieu de faire du bruit. Messieurs et mesdames les maires, les conseillé régionaux, les terrains de foot sont pourvoyeur de revenu dont pensez à les réparer pour le bien être de vos jeunesses.
Boxe: Chalenge national Henry Bourgouin, une promesse tenue
Au début, nous avons pensée à un jeu organisé à l'Africaine, avec tout un matos de pacotille; mais nous nous sommes très vite fait appeler à l'ordre. Une sonorisation de rêve tenait en éveil, les braves combattants au titre de médaillé pour la présence effective dans les rangs de l'équipe nationale de boxe. Un podium, de bonheur qui ne pouvait faire tomber l'homme le plus lourd au monde.
Notons la boxe est un sport qui a fait ses preuves dans la libérations du noir, c'est à dire, dans l'expression de la culture noir dans le milieu ku klux kan, dans la baie de l’Arizona ou de Boston et même de New York. c'était le seul lieu où les noirs pouvaient battre les blancs sans pouvoir être inquiété, c'est ce qui a vu naître les Mohamed Ali, Mike Thaison, et même le Ghanéen Mike Huggler.
Ce sport, un grand et non moindre de la Côte d'Ivoire, l'adorait; c'est Notre père à tous; le père de la nation ivoirienne, Feu Felix Houphouet Boigny.
J'ai été ravis de cette réussite de l'organisation de ce prometteur tournoi. Chapeau aux organisateurs.
Nous demandons à la fédération de nous gratifier très souvent de ces belles prestations, afin que ce sport ne meurt pas mais survive davantage.
J'ai été ravis de cette réussite de l'organisation de ce prometteur tournoi. Chapeau aux organisateurs.
Nous demandons à la fédération de nous gratifier très souvent de ces belles prestations, afin que ce sport ne meurt pas mais survive davantage.
vendredi 27 septembre 2013
Baccalauréat: le premier diplôme universitaire!
Le système éducatif, c'est la chose rechercher pour tous pays qui veux connaitre le bonheur du développement. Mais quelle éducation pour une meilleure nation?
Un regard sur le système ivoirien laisse à désirer. un système dont les plainte sont légion pourtant ce système à tenue ses promesses. Le monde est en constante évolution et tout devait évoluer avec. C'est à dire, une éducation adaptée à l'évolution et qui prend en charge le défit du moment. Mais force est de constaté qu'en Côte d'Ivoire, malgré les efforts consentis, il reste encore bon nombre de chose à faire. La formation elle-même qui devait proposer une parfaite maîtrise des choses aux enfants leur donne un savoir théorique, mais les éloignant de la pratique. Je pense qu'un élève qui a le baccalauréat devait pouvoir être compétant et entrer dans le domaine de l'emploi sans crainte ni peur. Mais ses baccalauréats sont légions dans nos poches sans pouvoir exercer un emploi. Nous sommes obligé de venir passer des concours, sinon n'avons appris aucun métier. C'est l'heures de former par secteur d'activité, les élèves cadres de demain, que de nous mettre dans la polyvalences théorique, sinon, donnons les moyens de pratiquer à nos école, c'est dire, assez de laboratoire et de stages pratique.
Ce mal est aussi dans nos université qui enseignent mais ne forment pas. Combien sont les étudiants qui ont travaillé sans un préalable de formation? Formons les étudiants et enseignons les aussi. les deux chose peuvent aller ensemble et non l'une sans l'autre.
jeudi 26 septembre 2013
Nos mères avaient leurs modes
En m'informant sur le passé de la Côte d'Ivoire, je suis tombé sur une photo des promotrices culturelles et vestimentaires (mode) de la Côte d'Ivoire venu de Grand Bassam.
En réalité, nos mères ont aussi connu la mode vestimentaire, mais était tellement bien habillé qu'aujourd'hui, les larmes s'écoulent à leurs yeux, voyant les jeunes filles nubiles, exhibant ce beau teint d'ébène à plein jour pour le plaisir des yeux de qui n'a pas honte de regarder ouvertement, sans oublier qui veut regarder en cachette.
Nos mère avait de très belle tenue festive qui ne laissent indifférent la femme de valeur. Seul les jeunes filles qui refusent le travail et qui veulent se faire inviter par qui peut sont aveugle à cette mode là.
Une tenue qui couvre le corps sacré de la femme qui s'oppose à la mode actuelle qui désacralise le sacré et qui dénude donnant des expressions telles-que: "choquer pour plaire" à nos fille d'aujourd'hui.
Je me sent tout de même conforté à ce que je pense que nos arrière grands mère, portait le "keiwa" ou "l'ablakon" pour se tenir dans le village; et les plus chanceuses avait avaient des pagne de fortune fait d'écorce d'arbre appelé le boffouin. cette tenue était une ténue d'apparat que portaient uniquement la femme pubère ou la femme adulte. Mais nous avons classé cette mode dans le cadre de "l'état de nature". Alors qu’aujourd’hui cet état de nature est pourchasser par le civilisation, soit occidentale, soit orientale... avec des tenues de rêve brodée et paré de perle ou de pépite d'or, d'argent ou de bronze qui traîne le long du corps, montrant ainsi une femme digne de toute beauté d'ange. Sans oublier le pagne qui jusqu’aujourd’hui devait tenir ses promesses, sauf que les modélistes font la course à l'argent cousant des tenues sexistes, extravagant digne de tenue de scène de nuit. Lesquelles tenues sont les objets de valeur pour nos soeurs, tantes et épouse avançant l'argument de l’émancipation qui semble mal comprise d'elle-même.
Et nous nous interrogeons sur le rôle des moeurs trépassé. Regardons la mode d'hier et arrêtons de pousser les jeune filles au nudisme lequel nudisme elle voudront cacher lorsque le temps aurait consommé l'énergie et la fraîcheur dans leur peau; c'est en ce moment qu'elles viendront remplir les lieux de culte à la recherche de l'homme idéal comme-ci celui ci n'avait pas besoin de la fraîcheur charnelle, de la douceur du corsage velouté. Ce mec idéal adore aussi la beauté pure et naturelle et ne recherche pas les peaux fanées et remplis de vergetures parce que laisser pour contre sans le moindre soin ou au nom d'une mode.
Soeurs... Couvrez -vous car il pleut la fane dans la mode!
jeudi 19 septembre 2013
Côte d'Ivoire: vérité et histoire
Je suis pris de nostalgie en ce jour, après avoir visité les photos de la
Côte d’Ivoire que nous ont laissée nos aïeux.
Et je me pose une seule question : Pourquoi les ivoiriens ont-ils connu la
guerre ? Je veux, s’il vous plait, que vous m’aidiez, à répondre à cette question.
Je voudrais dire merci à tous ceux qui m’ont permis de réaliser ce que me
disait mon père, à travers ses images.
Je me rends compte que le développement d’un pays ne se fait pas seulement
par les enfants d’un pays, mais avec l’appui et l’apport de ceux qui viennent
des autres pays.
Je garde un souvenir fou de ce passé et je veux porter plainte contre les politiciens
ivoiriens.
Ils ne nous ont pas dit la vérité et ma plainte c’est pour le mensonge
politique.
Je veux porter plainte contre les journaux parce qu’au lieu de nous dire la
vérité sur notre pays afin de promouvoir le développement, ils nous servent les
mensonges à longueur de journée et font la promotion de la haine, du dédain et
du mépris désossant le vivre ensemble, la solidarité et le bonheur des enfants
d’Houphouët.
Je porte plainte contre les religieux qui ont créé la sorcellerie divisant
et tuant le nucléus familial, brisant et concassant les habitants de notre
terre la Côte d’Ivoire.
Lorsque le blanc enseignait l’église en Côte d’Ivoire, ils n’ont jamais
attisé la haine. Ils n’ont fait que soigner, aider et évangéliser sans pousser personne à la
division.
Je porte plainte pour destruction des populations de par la politique qui ne
fait que nourrir sa personne laissant le peuple aveuglé, dans la fin, lui
servant la haine, et le consolant avec un t-shirt à son effigie, un morceau de
pain et une boite de sardine afin d’avoir sa voix aux échéances à venir.
J’ai mal de cette Afrique qui titube dans monde de grand évolution faisant
de leurs enfants, des larrons, qui n’ont aucune crainte de nuire l’autre car,
affamé.
Ah ! L’Afrique me fait honte
quand je vois qu’Air Afrique n’existe plus que de nom.
On enseigne à nos enfants la facilité et la médiocrité sans tâcher aller
loin dans le traitement des cours à leur donner, et même sans leur donner les
cours nécessaires pour la préparation à entrer dans la vie active mais on leur
donne de la théorie pure et simple sans l’accompagner d’un brin de pratique.
Quel avenir dans un monde en perpétuelle création où l’on ne vie que de par sa
créativité et de par sa manipulation du monde à lui donner une image reluisante.
On pollue, on détruit et transforme la nature un tas de conducteur de
maladie respiratoires, maladie dermatologique sans prendre conscience de la
disparition imminente de la terre, allez y voir Lahou Kpanda et vous tirerez
vos conclusions.
Quel avenir pour nos enfants ?
Africains, ivoiriens, que chaque individu arrête d’accuser les blancs qui
ont voulu mieux faire en se remplissant les poches, et mettons nous au travail
sans vouloir user de la haine du mépris envers les autres.
Demandez aux américains, l’importance du green card et vous comprendrez que
le monde se développe par l’apport des autres.
Travaillons, prenons du courage, avançons dans ce monde de production, mise
en vente,
consommation, travail et faisons de notre ère celui de l’émeraude car,
nous avons connu l’âge d’or, d’argent, du diamant et allons à grands foulés
dans l’âge de l’émeraude.
Oublions nos douleurs, nos haines, car c’est dans le surpassement de soi
qu’on vivre notre ère.
samedi 31 août 2013
Farafina X Men: Allah non lé
Farafina x men, un groupe de talent qui évolue seul dans ce monde en mouvement. les thèmes qu'ils abordent sont d'autant plus important que l'argent à pris le dessus sur la vie elle-même. ils nous emmènent comprendre la volonté de Dieu avec "Allah non lé" qui signifie, c'est la volonté de Dieu. Oui, c'est volonté de Dieu tout ce que nous vivons. Nous devons lui rendre grâce puisqu'il y a des gens qui vivent des situations pire que les nôtres. encourageons ces jeunes en les invitant à nos spectacles, dans nos bars, dans nos maquis... car ils du talent.
contact: 00225 07377111
Libellés :
Allah non lé,
Azaguié.,
Farafina X Men,
La vie,
Volonté de Dieu
Pays/territoire :
Azaguié, Côte d'Ivoire
samedi 17 août 2013
Toi, fils et fille d'Azaguié, viens y investir
Le jeu, le plaisir et l'amusement ne sont pas du fait des affamés. C'est quand un homme est rassasié qu'il pense à l'amusement. C'est vrai nous devons nous regrouper les uns et les autres autour (fils d'Azaguié) du jeu, de la convivialité, mais il faut que nous pensions à entreprendre à Azaguié pour les populations qui sont restées. On aura organisé les comités, les maracanas de nuits, les balles poussières, mais si cette population doit ouvrir les yeux pour regarder le ciel sans savoir quoi manger, si elle doit demander à Dieu pour leur mettre le lopin de pain à la bouche, si cette Jeunesse doit devenir larron pour s'offrir le quotidien, alors on aura fait tout cela pour un grand zéro, On aura existé pour rien, on aura été les enfants de Dieu pour le vide et on aura été les fils bon à rien d'Azaguié et ce, malgré notre fortune, notre avoir qui fait de nous, seul maître des lieu. La richesse individuelle n'est pas une richesse, mais créer de la richesse pour les autres est un grand bonheur pour soit. Fils d'Azaguié, viens y investir...
Je parle au nom du père, du fils et du saint esprit / Aouzou billahi minalchaytane radjim, Azaguié a besoin de ses fils et filles, de nous!
La vérité, oui je veux que Dieu me donne de vous parler mais qu'il nous donne d'agir pour notre belle cité.
Je parle au nom du père, du fils et du saint esprit / Aouzou billahi minalchaytane radjim, Azaguié a besoin de ses fils et filles, de nous!
La vérité, oui je veux que Dieu me donne de vous parler mais qu'il nous donne d'agir pour notre belle cité.
Fils d'Azaguié, ta ville mère t'appelle
Devons-nous nous faire la course?
Devons-nous nous courir après?
Ne dit-on pas que le bonheur se gagne dans le collectif et se consomme seul? Azaguié est là comme un oiseau aux ailes brisés, nous regarde comme un affamé abandonné dans le désert.
Est-ce le sort que nous devons lui offrir?
Regroupons-nous et recherchons les moyens pour investir dans notre cité qui a fait des cadres d'hier à aujourd'hui et qui en fera davantage pour demain. Du CEG d'Azaguié au Lycée Moderne d'Azaguié, ils sont, que dis-je, nous sommes nombreux qui sommes passés par là. Même si nous ne sommes pas tous devenus ministres ou présidents, nous sommes passés par là. De ceux que j'ai connu à ceux qui me sont inconnus, tout enfant d'Azaguié en été. Ne tenons pas compte des ethnies, mais vivant comme une chair à Azaguié. Notre sang y a coulé, notre sueur y a coulé et nous avons des pas, fouetté la terre rouge de cette belle cité pour nous faire un idéal.
Je parle au nom du père, du fils et du saint esprit / Aouzou billahi minalchaytane radjim, Azaguié a besoin de ses fils et filles, de nous!
La vérité, oui je veux que Dieu me donne de vous parler mais qu'il nous donne d'agir pour notre belle cité.
Devons-nous nous courir après?
Ne dit-on pas que le bonheur se gagne dans le collectif et se consomme seul? Azaguié est là comme un oiseau aux ailes brisés, nous regarde comme un affamé abandonné dans le désert.
Est-ce le sort que nous devons lui offrir?
Regroupons-nous et recherchons les moyens pour investir dans notre cité qui a fait des cadres d'hier à aujourd'hui et qui en fera davantage pour demain. Du CEG d'Azaguié au Lycée Moderne d'Azaguié, ils sont, que dis-je, nous sommes nombreux qui sommes passés par là. Même si nous ne sommes pas tous devenus ministres ou présidents, nous sommes passés par là. De ceux que j'ai connu à ceux qui me sont inconnus, tout enfant d'Azaguié en été. Ne tenons pas compte des ethnies, mais vivant comme une chair à Azaguié. Notre sang y a coulé, notre sueur y a coulé et nous avons des pas, fouetté la terre rouge de cette belle cité pour nous faire un idéal.
Je parle au nom du père, du fils et du saint esprit / Aouzou billahi minalchaytane radjim, Azaguié a besoin de ses fils et filles, de nous!
La vérité, oui je veux que Dieu me donne de vous parler mais qu'il nous donne d'agir pour notre belle cité.
jeudi 15 août 2013
Lève-toi et construis Azaguié
Azaguié ne manque pas d'idées encore moins de fils et filles pour son développement. Elle manque seulement d'organisation de ses enfants et de ses idées. A une quarantaine de kilomètre d'Abidjan, Azaguié de part la division tronculaire du sain de ses enfants et causée par ses même enfants, a perdu de par sa verve agriculturale qui la plaçait parmi les pôles économique de la Côte d'Ivoire. Aujourd'hui, à Azaguié, on ne mange que de la banane induite d'une bonne dose de serco du nom scientifique cercosporiose noire et d'un manque constaté d'ananas dont Azaguié se classait parmi les premier alors qu'ailleurs, on se bat à la pérennisation de ses produits économiques pourvoyeurs d'emploi. Y a-t-il lieu de s'alarmer?
Espoir, les fils d'Azaguié, lorsqu'ils se rendront compte qu'une communauté évolue de par son organisation, lorsqu'elle se regroupe auprès du nucléus, elle connait un véritable essor. lorsque nous nous rendrons compte que le développement c'est nous et non personnes d'autres, au dessein politique tordue et à la parole de miel bridant, qui viendront le faire à notre place.
j'ai mal de voir ma belle Azaguié qui endimanché regroupait ses enfants sous un soleil matinal se mourir de par les actions tueuses de ses fils. J'ai le cœur qui brûle lorsque je vois les fils d'Azaguié penser au phénomène "choco" alors que la maison commune est salle. C'est comme si nous étions très bien lavés pour dormir sur un lit sale.
Lève-toi, fils d'Azaguié, viens y déposer ton entreprise, ta pharmacie, ton centre commercial, ta plantation, et tout ce qui pourrait contribuer à cette beauté vitale tant rêvé qui est le développement de notre chère Cote d'Ivoire.
Les politicien viendront et partiront mais notre pays demeure la notre donc abandonnons les politiciens, boudons les s'il le faut pour que notre belle cité et notre charmante patrie connaisse le bonheur avec nous.
Quand Dieu m'a donné la parole, je l'ai accepté pour dire.
- Aouzou billahi minalchaytane radjim
-Au nom du père créateur je vous laisse apprécier fils d'Azaguié. oui on le peut.
Espoir, les fils d'Azaguié, lorsqu'ils se rendront compte qu'une communauté évolue de par son organisation, lorsqu'elle se regroupe auprès du nucléus, elle connait un véritable essor. lorsque nous nous rendrons compte que le développement c'est nous et non personnes d'autres, au dessein politique tordue et à la parole de miel bridant, qui viendront le faire à notre place.
j'ai mal de voir ma belle Azaguié qui endimanché regroupait ses enfants sous un soleil matinal se mourir de par les actions tueuses de ses fils. J'ai le cœur qui brûle lorsque je vois les fils d'Azaguié penser au phénomène "choco" alors que la maison commune est salle. C'est comme si nous étions très bien lavés pour dormir sur un lit sale.
Lève-toi, fils d'Azaguié, viens y déposer ton entreprise, ta pharmacie, ton centre commercial, ta plantation, et tout ce qui pourrait contribuer à cette beauté vitale tant rêvé qui est le développement de notre chère Cote d'Ivoire.
Les politicien viendront et partiront mais notre pays demeure la notre donc abandonnons les politiciens, boudons les s'il le faut pour que notre belle cité et notre charmante patrie connaisse le bonheur avec nous.
Quand Dieu m'a donné la parole, je l'ai accepté pour dire.
- Aouzou billahi minalchaytane radjim
-Au nom du père créateur je vous laisse apprécier fils d'Azaguié. oui on le peut.
jeudi 1 août 2013
Idées pour développer
Bonjour Famille
En ce jour, je voudrai partager une idée sur laquelle nous devons méditer. Ça a un rapport avec l'éducation. Dans les pays Anglophone, l'école n'est pas fait pour avoir un travail mais pour avoir le bien être social. Le bien être social c'est quoi? C'est un état d'esprit qui consiste à vivre une certaine paix intérieur, une joie immense et une santé inégalable. Je ne veux pas dire qu'il faut pas aller à l'école à l'école, c'est tout le contraire. je veux dire: on ne fini pas d'apprendre, c'est pourquoi, pour mieux appréhender la vie, pour se développer, il faut aller à l'école pour à voir: une bonne lisibilité, une bonne gestion et une bonne compréhension des choses. Si vous avez la possibilité de vous inscrire pour vous former davantage, alors allez-y, ne bercez pas les bras. l'éducation est un bonheur. Savez-vous qu'au Ghana, par le volontariat, il aujourd'hui plus d'école que partout en Afrique? Connaissez-vous leur devise éducative? "Une famille qui a un seul individu qui ne sais pas lire est le retard de la cité" ce qui veut dire pour eux que la seule personne analphabète vas retarder sa famille. L'individualisme ne développe pas une nation; c'est plutôt le collectif qui aidera à son développement. "Aucun chef d'état à lui seul ne peut développer un pays: c'est l'apport de chaque individu qui réalisera le rêve d'une Côte d'Ivoire développer. Si chacun des 20.000 000 d'habitant en Côte d'Ivoire pouvait donner 5 franc CFA par période raisonnable, alors, en cinq ans on sera les plus développé au monde. On pourra construire les hôpitaux, les écoles, les routes et le pays vendra des bourses au lieux de contracter des dettes" (Cf La Nouvelle, Edilivre Paris, Mai 2013). c'est pour vous dire chers amis, parents et frères que nous sommes un et qu'étant unité, nous devons tous avoir la lecture comme point de départ pour le développement notre chère nation. Je crois qu'Azaguié peut être le point de départ d'une nouvelle Côte d'Ivoire. oui, on le peut. organisons-nous et regroupons nous autour de l'idéale salvateur. Le savoir lire et le savoir écrire dans le volontariat.
Si vous voulez qu'on en parle, je suis joignable au 07377111.
Vive Azaguié, Vive la Côte d'Ivoire de demain!
Maxime Kouadio N'dri
lesvolontaires.blogspot.com
visitez mon blog pour plus d'idées
En ce jour, je voudrai partager une idée sur laquelle nous devons méditer. Ça a un rapport avec l'éducation. Dans les pays Anglophone, l'école n'est pas fait pour avoir un travail mais pour avoir le bien être social. Le bien être social c'est quoi? C'est un état d'esprit qui consiste à vivre une certaine paix intérieur, une joie immense et une santé inégalable. Je ne veux pas dire qu'il faut pas aller à l'école à l'école, c'est tout le contraire. je veux dire: on ne fini pas d'apprendre, c'est pourquoi, pour mieux appréhender la vie, pour se développer, il faut aller à l'école pour à voir: une bonne lisibilité, une bonne gestion et une bonne compréhension des choses. Si vous avez la possibilité de vous inscrire pour vous former davantage, alors allez-y, ne bercez pas les bras. l'éducation est un bonheur. Savez-vous qu'au Ghana, par le volontariat, il aujourd'hui plus d'école que partout en Afrique? Connaissez-vous leur devise éducative? "Une famille qui a un seul individu qui ne sais pas lire est le retard de la cité" ce qui veut dire pour eux que la seule personne analphabète vas retarder sa famille. L'individualisme ne développe pas une nation; c'est plutôt le collectif qui aidera à son développement. "Aucun chef d'état à lui seul ne peut développer un pays: c'est l'apport de chaque individu qui réalisera le rêve d'une Côte d'Ivoire développer. Si chacun des 20.000 000 d'habitant en Côte d'Ivoire pouvait donner 5 franc CFA par période raisonnable, alors, en cinq ans on sera les plus développé au monde. On pourra construire les hôpitaux, les écoles, les routes et le pays vendra des bourses au lieux de contracter des dettes" (Cf La Nouvelle, Edilivre Paris, Mai 2013). c'est pour vous dire chers amis, parents et frères que nous sommes un et qu'étant unité, nous devons tous avoir la lecture comme point de départ pour le développement notre chère nation. Je crois qu'Azaguié peut être le point de départ d'une nouvelle Côte d'Ivoire. oui, on le peut. organisons-nous et regroupons nous autour de l'idéale salvateur. Le savoir lire et le savoir écrire dans le volontariat.
Si vous voulez qu'on en parle, je suis joignable au 07377111.
Vive Azaguié, Vive la Côte d'Ivoire de demain!
Maxime Kouadio N'dri
lesvolontaires.blogspot.com
visitez mon blog pour plus d'idées
jeudi 11 juillet 2013
mardi 9 juillet 2013
Hommage à Juliette et Dioum
Quand chaque dimanche sonnait l'heure du rendez-vous
Je prenais mon poste à bout de grève
Aujourd'hui que ce monde est conquis par ta douce et suave voix
Lorsque tu nous lis le message de paix
Aujourd'hui que tu as conquis le cœur des chrétiens et les musulmans
Sans oublier les animistes
Aujourd'hui que tu réunis les ivoiriens sans regard de couleur ni d'ethnie
Le silence sonne à jamais
Tu es unique chère animatrice
Et nul ne pourra prendre ta place dans nos cœurs
Car nous t'avons juré fidélité
Maman Juliette Anzian, tu nous dis Adieu
S'écoule sur mes jougs, de l'eau, des larmes
Pas de mots tel je suis en sanglot
Dois-je te dire Adieu?
Non, tu es là et regarde tes admirateurs
Toukpè, le réconciliateur est abandonné
Hier c'était Mister Dioum
Aujourd'hui c'est toi
Ah le monde de la bonne humeur !
Quel rendez-vous avez-vous pris avec le temps?
Quel rendez-vous avez-vous pris sans nous?
Que dis-je, nous viendrons un jour vous rejoindre
Mais on a besoin de vous.
Adieu Adieu maman Juliette Anzian
Adieu Adieu Papa Dioum
Je rêve que ma télé m'est menti sur votre mort
Je rêve que ma radio me dise que vous vivez encore avec nous
Maxime Kouadio N'DRI: Ecrivain: romancier, poète, Graphiste et blogueur (lesvolontaires.blogspot.com)
jeudi 4 juillet 2013
Femmes, gardez-vous de faire du mal à votre progéniture
Mesdames et mesdemoiselles, je ne viens pas ici pour vos insulter mais vous dire certaines réalités vécues qui ont mis en danger la vie d'un nouveau né.
En effet, lorsque vous avez décider de porter une grossesse, dites-vous que votre sexe ne sera plus un secret de polichinelle, mais une chose qui pourrait être vue et touchée de fond-en-comble par un médecin, un infirmier, une sage-femme..., lorsque vous vous tenez devant la sage-femme et que vous refusez qu'elle vous examine, en plus de vous mettre vous-même en danger, vous mettez le futur bébé en péril.
Ce mercredi, à Yopougon, une fille a perdu son enfant par ce fait cupide.
Elle refusa d'aller consulter l’hôpital pour se faire analyser durant le processus de la grossesse et voila que celle-ci arriva à terme. Elle ressentit les douleurs et décide d'aller accoucher à la maternité. Une foi sur les lieux, elle refusa que les sages-femmes l'examinent pour voir la position du bébé et se confina dans un coin de la salle. Son sexe, selon elle est intouchable par qui que se soit. Malgré toutes les tentatives des sages-femmes, des filles de salle et même des médecins, elle demeura sur sa décision. Après plusieurs heures de douleur, la sage-femme arriva à faire coucher la femme qui elle-même était très affaiblie. On l'aida à faire sortir l'enfant qui ne vivait plus à sa sortie.
Il peut y avoir d'autres personnes comme ça.
Eviter de vous confiner autour d'une certaine honte pour mettre fin à la vie d'un enfant innocent. c'est votre plaisir qui vous y a conduit sinon, préservez-vous avant tout rapport.
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