mercredi 23 octobre 2013

Moto cross, où sont passé les Johny de Côte d'Ivoire


On les voyait en pleine circulation élevant la tête de leurs motos, gênant les personnes qui circulait pour gagner leur domiciles, lieux de travail ou lieu de loisir.
Ils était un certains nombre d'individu dont Johny le plus connu. Ils tous des Raiders, ou Cross movers, ou encore les moto-bikers.
Mais leur absence est net lorsque ce jours, 23 Octobre 2013, l'espace Ficgayo refusait du monde pour cause, un circuit fermé de cross avec la participation d'un seul individu à la peau noire, sinon, 98% de Libanais ou d'homme à la peau blanche ou jaune.
Ce n'est pas faire du racisme, mais c'est appel au Africains, de faire choses comme il faut, mais pas pour faire le malin.
Où passé l'équipe nationale de cross ou-bien formerons-nous cette équipe avec les Libanais ou Syrien en Côte d'Ivoire?
Nous voyons des dames et des enfants sur des cross pour savourer ce sport dont ils en sont friand. et pourtant pas de femme ivoirienne dans ce milieu.
Un journaliste disait: "Dieu n'a pas créé d'homme et de femme, il n'a que créé des être-vivants. C'est nous qui nous disons homme ou femme sinon, nous pouvons tout faire..."

samedi 19 octobre 2013

Dédicace de l'envol du coeur, ma communication



Honorables invités,
Amis du livre,
Mesdames et messieurs,

Mon intervention se centrera sur le titre de l'Oeuvre qui nous réunie ici ce matin.

L’envol du cœur

Pourquoi L’envol du cœur et non autre chose ?
La vie nous réserve tant de chose. On nait, on grandit et on meurt mais avant d’en arrivé là, c’est un long chemin. C’est pour parler des choses de la vie ; surtout la vie de deux adolescents qui se passe dans une atmosphère délétère.
 Tout commence par la joie, puis la tristesse et la chienlit du à la course effréné au pouvoir. Ne dit-on pas que le pouvoir est le sommet de l’action humaine ?
L’envol ici, symbolise la disparition, la fuite, le départ et le cœur, la paix.
L’envol du cœur pour dire la fuite de paix.
Un conflit qui naît fuir la paix dans une destination inconnu poussant les uns et les autres à rechercher cette paix.
Retrouve-t-on la paix après avec un conflit ?
Je pense qu’on ne retrouve pas la paix, mais on la crée. On crée un climat de paix fragile comme une colombe aux ailes raccourci.
Il s’installe la méfiance, la défiance entravant toute idées de réconciliations.
L’intension de l’envol du cœur est de permettre à tout le monde de se dire une seule chose :
« Allah ka di, Allah ka ta » comme Balétégué et de penser que la vengeance ne doit pas être le fait de l’homme, mais de la divinité créatrice de toute chose c'est-à-dire de Dieu.
Si nous retrouvons chaque vendredi à la mosquée ou chaque dimanche à l’église, pourquoi nourrir l’idée de vengeance. Réduisons-nous notre foi à la parole seulement sans réellement avoir crainte de Dieu ?
Si nous voulons revivre la véritable paix, des pauvres, la paix des riches, la paix des sans habits, la paix des affaires, la paix des commerçant, c'est-à-dire, la paix qui fait vivre, alors laissons notre mal à la divinité du destin, la divinité créatrice de l’univers.
 Je ne suis pas en train de dire que le seul sens qui porte le symbole de l’envol du cœur, soit la fuite de la paix, chacun pourra avoir compréhension de cette œuvre car, on peut aller bien loin parlant de l’amour lui-même gage de bien être social.
C’est par l’amour que nous cohabitons, nous apprenons d’autres langues et même nous fuyons nos racines.
C’est par l’amour que le monde est monde aujourd’hui, avant que l’argent ne nous transforme en combattant, en ennemi du monde lui-même.
C’est l’argent qui détruit notre environnement.
Parlant d’amour, je voudrais partager avec vous une interrogation d’ainée, une écrivaine, Koumoin Adjoua qui dit : « Bintou, n’est pas cette personne que nous recherchons tant ? N’est pas ce dont le monde a besoin pour bien vivre ? J’espère que les lecteurs le comprendront ainsi. » et moi aussi, j’espère que vous comprendrez cette œuvre et qu’elle vous sera utile, car elle est pleine de sens.


Dédicace de l'envol du coeur, présentation par Fieni Jeanne

Honorables invités,
Amis du livre,
Mesdames et messieurs,
J’ai l’honneur de vous présenter le livre qui est le point de mire de cette petite cérémonie. Il s’agit bien de L’envol du cœur, de Maxime Kouadio N’Dri. Ce roman se distingue par son petit format ; il couvre seulement 70 pages. Il a donc l’avantage de se faire lire en un trait et en une journée. Aujourd’hui, dans ce siècle où tout va vite, où la paresse est l’une des choses les mieux partagées, c’est un aspect important qu’il faut relever. En outre, le roman de Maxime Kouadio est rendu dans un style simple et dans une langue accessible au lecteur de niveau moyen.
L’envol du cœur est un condensé de thèmes à la fois d’actualité et de tous les temps. Ces thèmes qui se subdivisent en sous-thèmes sont tous porteurs de sens. Le thème central est l’amour, thème universel, maintes fois traités. Ici l’amour prend un relief particulier dans la mesure où il se déploie dans un contexte de crise et de guerre.
A la quatrième de couverture du livret, on peut lire la citation suivante: « On ne peut pas vivre un amour sans causer de mal car par action ou par omission, par savoir ou insu, on fait pleurer. Notre amour pour une personne cause du tort à telle ou telle autre personne dans ce monde de polygamie secrète, ou encore de rapports multiples hors mariage ». Voici une belle pensée qui nous présente l’amour sous une image mitigée, contradictoire. En même temps qu’il procure le bonheur, il réussit à inoculer le chagrin. De ce fait, on ne peut s’empêcher de s’interroger sur le sens réel et profond de l’amour.
Alors, pour mieux saisir le sens de notre propos, goûtons ensemble à l’histoire de ce roman :
Bintou et Max sont deux amoureux qui ne se connaissent pas, mais qui s’aiment de tout cœur, sans s’être jamais vus. Le jour où ils décident de se rencontrer, Bintou doit faire face à un malheur. Elle vient de perdre sa sœur ainée.
Au lendemain de ce décès, les parents de Bintou décident de son déplacement d’Abidjan à Bouaké où elle doit poursuivre ses études.
Bintou envoie des lettres par personne interposée à Max, mai celui-ci ne les reçoit pas. Ne sachant pas que ses lettres ne parviennent pas à Max, elle entre dans une colère noire et décide de passer les vacances, là-bas, à Bouaké.
Après quelques mois de vacance,  une guerre éclate. Bintou disparait. Il y a des avis de recherches mais en vain, aucune nouvelle d’elle. Ses parents décident alors de l’enterrer sans la dépouille. Mais Max s’absente, car il a vu Bintou en rêve et elle lui a confié qu’elle vivait.
A force de penser à Bintou, une histoire lui est venue en tête. Une histoire de Bintou et Balétégué, jeune intègre originaire de Wala qui n'a pas connu l'école mais qui est très intelligent.
Il conseillait à ses cousins de ne jamais recourir à la vengeance, parce que, selon lui, la vengeance tue la paix.
Cette œuvre, a une singularité qui lui confère un goût particulier. Elle nous fait arpenter les allées du rêve et de la réalité. Elle nous installe dans une atmosphère onirique où le rêve investit la réalité de toutes ses couleurs.
En somme, L’envol du cœur est un livre simple et captivant qui tout en nous montrant la force de l’amour nous révèle son aspect sombre et inquiétant. En inscrivant une histoire d’amour dans un contexte de guerre, l’auteur nous permet de comprendre l’intérêt de la paix et de la cohésion sociale. Nous croyons qu’il mérite d’être mis à la disposition du grand public et, mais notamment des plus jeunes qui y trouveront de quoi les aider à affronter la vie quotidienne. 

lundi 14 octobre 2013

Entretien de l'espace public, Agboville a un problème avec

Après le stade qui est dans un piteux état, Le volontaire a fait d'autres constats. Il n'y a pas de lieu mieux pour jeter les ordures qu'en bordure du fleuve Agneby, qui sous d'autres cieux, serait entretenu et constituerait un site touristique. Problème avec la population ou négligence des autorités publiques?
Chacun à son rôle a jouer, mais celui qui incombe l'autorité est majeure. Les quelques personnes interrogées disent ne pas disposer de moyen de ramassage d'ordure, ce pourquoi, certaines personnes déverseraient leurs ordures en bordure du fleuve.
Je me pose cependant une question: Comment sont gérés les ordures dans cette localité?
Soucions-nous de l'environnement. car c'est bien être lâche que de le détruire. Cet environnement est un pôle vital qu'il se doit de préserver.
Négliger l'environnement, c'est négliger non seulement sa propre vie, mais la vie de tous les êtres vivants. Donc les autorités Agbovilloises sont priées de prendre soin de leur localité.
C'est vrai, qu'il y a des ordures en bordure de ce fleuve, mais il présente une fier allure. Par endroit, on a l'impression de voir la carte de l’Afrique se dessiner sur la surface de l'eau. Ce sont les lieux que l'on pouvait bien exploiter pour faire rentrer de l'argent dans les caisses de l'administration Agbovilloise.
Ne laissez pas les jeunes à la rue; ne permettez pas qu'ils soit laisser pour contre, sinon, on se plaindrait de la drogue, de l'alcool, ou de l’exode rural qui laisserait de millier de mort en pleine mère Tunisienne où Casablancaise. Utiliser ces endroit pour en faire des emplois pour tous.






dimanche 13 octobre 2013

Livresque #4: un rendez-vous tenu!

Bravo aux organisateurs qui ont bien voulu mettre en relation auteur et Burida ( bureau ivoirien du droit d'auteur). L'auteur connait-il son droit? jusqu'où son droit s'étend? que peut-il faire? telles sont les questions traitées en ce dimanche 13 Octobre 2013, au musée d'art contemporain de Cocody. Les blogueurs, les écrivains, les artistes et bien autres amoureux du livre se sont prêtés au jeu de livresque avec des lectrices aux voix suaves, qui chatouillent les tympan donnant à la célébration, une particularité. Les texte étaient tous beaux, sensés et d'actualités. Nous voulons dire aux auteurs et amoureux du livre, de s'adonner très souvent à la lecture à voix haute car cela se paye. La qualité d'une lecture donne bien d'avantages que nul ne pourra ébranlé.
Quant à Livresque, merci à Yehni Djidji pour cette belle initiative d'échange, de partage et de convivialité.
Généralement, les débuts ressemblent à du jeu, puis on se moque de nous, on nous décourage, mais elle n'a pas laissé tomber ses idées. Elle s'est battu pour que cela prenne forme et enfin, est né livresque #1, puis #2, puis #3 et aujourd'hui #4. La seule remarque que je peux faire est que le matériel de communication n'était pas à la hauteur de la cérémonie, c'est à dire, le ou les micros rencontrai(en)t les difficultés à transmettre le son venant des cordes vocales des interlocuteurs. Nous souhaitons que les sponsors s'associent à livresque pour lui offrir le matériel à la pointe de la technologie.
Mille merci aux organisateurs, qui dans l'ensemble ont battu le pavé, pour donner une qualité et une réalisation de beauté à Livresque #4.
Ajoutons que nous avons célébré l'anniversaire de http://www.225nouvelles.com

Déjà un an! ça doit se fêter car un enfant qui a un an est un homme qui fait ses premier pas dans la vie des hommes.
Disons merci à tous les participants et que le livre prenne du pouvoir dans notre vie.







samedi 12 octobre 2013

Stade d'Agboville, ma déception!


 En visite dans la ville qui m'a donné le baccalauréat,  j'étais très heureux allant d'Abidjan. Une foi sur les lieux, je suis pris de tristesse de voir beaucoup de chose qui ont changé en mal. Au nombre de ces choses, le stade d'Agboville. Située à quelques mètres du fleuve Agneby ( Agbo) pour les Abbey, c'était un très beau terrain de foot qui offrait une fière allure à ses visiteurs. Les autorités se sont succédées, et nul n'as eu l'idée de faire de ce stade, un véritable pôle d'attraction. Ma tristesse, je trouve des berger qui y ont fait entrer leurs bœufs, pour les nourrir. D’aucun me dirais que c'est normal, juste parce qu'ils ne veulent pas tondre ces herbes; Et, le stade est plein de rejet de bœufs qui ne lui offre pas le bonheur.
En réalité, notre problème en Afrique, c'est qu'on ne sais pas prendre soin des héritages que nous ont laissés les anciens. Il arrive qu'on délaisse ces richesse acquise pour faire des projets calamiteux aux coûts colossaux, sans avoir le goût de les terminer si on a débuté, avant la fin de nos nombreuses années de gestion; de nos nombreux règnes. Agboville, foisonne d'équipe de football, mais qui n'évolue pas. Cela pourrait s'expliquer par la mauvaise foi des "bonnes fois" (ceux-ci font croire qu'ils sont venu pour le bien être des autres, alors qu'ils sont là pour leur propre poche).
Je pense que ce message n'est pas une chose qui entrera par les oreilles de sourds et qu'il prendra effet de boussole, pour refaire le patrimoine culturel de notre cher pays.
Nous ne perdons pas à récompenser le travail bien fait, sinon, les jeunes mourront encore et encore au larges des mers de Lanpedouza, ou de Casablanca, et bien d'autres encore juste parce qu'ils recherche l'eldorado. C'est ici et non ailleurs, mais nos autorités doivent travailler au lieu de faire du bruit. Messieurs et mesdames les maires, les conseillé régionaux, les terrains de foot sont pourvoyeur de revenu dont pensez à les réparer pour le bien être de vos jeunesses.

Boxe: Chalenge national Henry Bourgouin, une promesse tenue

Au début, nous avons pensée à un jeu organisé à l'Africaine, avec tout un matos de pacotille; mais nous nous sommes très vite fait appeler à l'ordre. Une sonorisation de rêve tenait en éveil, les braves combattants au titre de médaillé pour la présence effective dans les rangs de l'équipe nationale de boxe. Un podium, de bonheur qui ne pouvait faire tomber l'homme le plus lourd au monde.
Un ensemble, qui a vu la visite des athlètes de hauts niveaux. 
Notons la boxe est un sport qui a fait ses preuves dans la libérations du noir, c'est à dire, dans l'expression de la culture noir dans le milieu ku klux kan, dans la baie de l’Arizona ou de Boston et même de New York. c'était le seul lieu où les noirs pouvaient battre les blancs sans pouvoir être inquiété, c'est ce qui a vu naître les Mohamed Ali, Mike Thaison, et même le Ghanéen Mike Huggler. 
Ce sport, un grand et non moindre de la Côte d'Ivoire, l'adorait; c'est Notre père à tous; le père de la nation ivoirienne, Feu Felix Houphouet Boigny.
J'ai été ravis de cette réussite de l'organisation de ce prometteur tournoi. Chapeau aux organisateurs.
Nous demandons à la fédération de nous gratifier très souvent de ces belles prestations, afin que ce sport ne meurt pas mais survive davantage. 

vendredi 27 septembre 2013

Baccalauréat: le premier diplôme universitaire!

Le système éducatif, c'est la chose rechercher pour tous pays qui veux connaitre le bonheur du développement. Mais quelle éducation pour une meilleure nation?
Un regard sur le système ivoirien laisse à désirer. un système dont les plainte sont légion pourtant ce système à tenue ses promesses. Le monde est en constante évolution et tout devait évoluer avec. C'est à dire, une éducation adaptée à l'évolution et qui prend en charge le défit du moment. Mais force est de constaté qu'en Côte d'Ivoire, malgré les efforts consentis, il reste encore bon nombre de chose à faire. La formation elle-même qui devait proposer une parfaite maîtrise des choses aux enfants leur donne un savoir théorique, mais les éloignant de la pratique. Je pense qu'un élève qui a le baccalauréat devait pouvoir être compétant et entrer dans le domaine de l'emploi sans crainte ni peur. Mais ses baccalauréats sont légions dans nos poches sans pouvoir exercer un emploi. Nous sommes obligé de venir passer des concours, sinon n'avons appris aucun métier. C'est l'heures de former par secteur d'activité, les élèves cadres de demain, que de nous mettre  dans la polyvalences théorique, sinon, donnons les moyens de pratiquer à nos école, c'est dire, assez de laboratoire et de stages pratique.
Ce mal est aussi dans nos université qui enseignent mais ne forment pas. Combien sont les étudiants qui ont travaillé sans un préalable de formation? Formons les étudiants et enseignons les aussi. les deux chose peuvent aller ensemble et non l'une sans l'autre.

jeudi 26 septembre 2013

Nos mères avaient leurs modes

En m'informant sur le passé de la Côte d'Ivoire, je suis tombé sur une photo des promotrices culturelles et vestimentaires (mode) de la Côte d'Ivoire venu de Grand Bassam.
En réalité, nos mères ont aussi connu la mode vestimentaire, mais était tellement bien habillé qu'aujourd'hui, les larmes s'écoulent à leurs yeux, voyant les jeunes filles nubiles, exhibant ce beau teint d'ébène à plein jour pour le plaisir des yeux de qui n'a pas honte de regarder ouvertement, sans oublier qui veut regarder en cachette.
Nos mère avait de très belle tenue festive qui ne laissent indifférent la femme de valeur. Seul les jeunes filles qui refusent le travail et qui veulent se faire inviter par qui peut sont aveugle à cette mode là.
Une tenue qui couvre le corps sacré de la femme qui s'oppose à la mode actuelle qui désacralise le sacré et qui dénude donnant des expressions telles-que: "choquer pour plaire" à nos fille d'aujourd'hui.
Je me sent tout de même conforté à ce que je pense que nos arrière grands mère, portait le "keiwa" ou "l'ablakon" pour se tenir dans le village; et les plus chanceuses avait avaient des pagne de fortune fait d'écorce d'arbre appelé le boffouin. cette tenue était une ténue d'apparat que portaient uniquement la femme pubère ou la femme adulte. Mais nous avons classé cette mode dans le cadre de "l'état de nature". Alors qu’aujourd’hui  cet état de nature est pourchasser par le civilisation, soit occidentale, soit orientale... avec des tenues de rêve brodée et paré de perle ou de pépite d'or, d'argent ou de bronze qui traîne le long du corps, montrant ainsi une femme digne de toute beauté d'ange. Sans oublier le pagne qui jusqu’aujourd’hui devait tenir ses promesses, sauf que les modélistes font la course à l'argent cousant des tenues sexistes, extravagant digne de tenue de scène de nuit. Lesquelles tenues sont les objets de valeur pour nos soeurs, tantes et épouse avançant l'argument de l’émancipation qui semble mal comprise d'elle-même.
Et nous nous interrogeons sur le rôle des moeurs trépassé. Regardons la mode d'hier et arrêtons de pousser les jeune filles au nudisme lequel nudisme elle voudront cacher lorsque le temps aurait consommé l'énergie et la fraîcheur dans leur peau; c'est en ce moment qu'elles viendront remplir les lieux de culte à la recherche de l'homme idéal comme-ci celui ci n'avait pas besoin de la fraîcheur charnelle, de la douceur du corsage velouté. Ce mec idéal adore aussi la beauté pure et naturelle et ne recherche pas les peaux fanées et remplis de vergetures parce que laisser pour contre sans le moindre soin ou au nom d'une mode.
Soeurs... Couvrez -vous car il pleut la fane dans la mode!

jeudi 19 septembre 2013

Côte d'Ivoire: vérité et histoire


Je suis pris de nostalgie en ce jour, après avoir visité les photos de la Côte d’Ivoire que nous ont laissée nos aïeux.
Et je me pose une seule question : Pourquoi les ivoiriens ont-ils connu la guerre ? Je veux, s’il  vous plait, que vous m’aidiez, à répondre à cette question.
Je voudrais dire merci à tous ceux qui m’ont permis de réaliser ce que me disait mon père, à travers ses images.
Je me rends compte que le développement d’un pays ne se fait pas seulement par les enfants d’un pays, mais avec l’appui et l’apport de ceux qui viennent des autres pays.
Je garde un souvenir fou de ce passé et je veux porter plainte contre les politiciens ivoiriens.
Ils ne nous ont pas dit la vérité et ma plainte c’est pour le mensonge politique.
Je veux porter plainte contre les journaux parce qu’au lieu de nous dire la vérité sur notre pays afin de promouvoir le développement, ils nous servent les mensonges à longueur de journée et font la promotion de la haine, du dédain et du mépris désossant le vivre ensemble, la solidarité et le bonheur des enfants d’Houphouët.
Je porte plainte contre les religieux qui ont créé la sorcellerie divisant et tuant le nucléus familial, brisant et concassant les habitants de notre terre la Côte d’Ivoire.
Lorsque le blanc enseignait l’église en Côte d’Ivoire, ils n’ont jamais attisé la haine. Ils n’ont fait que soigner, aider  et évangéliser sans pousser personne à la division.
Je porte plainte pour destruction des populations de par la politique qui ne fait que nourrir sa personne laissant le peuple aveuglé, dans la fin, lui servant la haine, et le consolant avec un t-shirt à son effigie, un morceau de pain et une boite de sardine afin d’avoir sa voix aux échéances à venir.
J’ai mal de cette Afrique qui titube dans monde de grand évolution faisant de leurs enfants, des larrons, qui n’ont aucune crainte de nuire l’autre car, affamé.
Ah !  L’Afrique me fait honte quand je vois qu’Air Afrique n’existe plus que de nom.
On enseigne à nos enfants la facilité et la médiocrité sans tâcher aller loin dans le traitement des cours à leur donner, et même sans leur donner les cours nécessaires pour la préparation à entrer dans la vie active mais on leur donne de la théorie pure et simple sans l’accompagner d’un brin de pratique. Quel avenir dans un monde en perpétuelle création où l’on ne vie que de par sa créativité et de par sa manipulation du monde à lui donner une image reluisante.

On pollue, on détruit et transforme la nature un tas de conducteur de maladie respiratoires, maladie dermatologique sans prendre conscience de la disparition imminente de la terre, allez y voir Lahou Kpanda et vous tirerez vos conclusions.
Quel avenir pour nos enfants ?
Africains, ivoiriens, que chaque individu arrête d’accuser les blancs qui ont voulu mieux faire en se remplissant les poches, et mettons nous au travail sans vouloir user de la haine du mépris envers les autres.
Demandez aux américains, l’importance du green card et vous comprendrez que le monde se développe par l’apport des autres.
Travaillons, prenons du courage, avançons dans ce monde de production, mise en vente,
consommation, travail et faisons de notre ère celui de l’émeraude car, nous avons connu l’âge d’or, d’argent, du diamant et allons à grands foulés dans l’âge de l’émeraude.
Oublions nos douleurs, nos haines, car c’est dans le surpassement de soi qu’on vivre notre ère.

samedi 31 août 2013

Farafina X Men: Allah non lé



Farafina x men, un groupe de talent qui évolue seul dans ce monde en mouvement. les thèmes qu'ils abordent sont d'autant plus important que l'argent à pris le dessus sur la vie elle-même. ils nous emmènent comprendre la volonté de Dieu avec "Allah non lé" qui signifie, c'est la volonté de Dieu. Oui, c'est volonté de Dieu tout ce que nous vivons. Nous devons lui rendre grâce puisqu'il y a des gens qui vivent des situations pire que les nôtres. encourageons ces jeunes en les invitant à nos spectacles, dans nos bars, dans nos maquis... car ils du talent.
contact: 00225 07377111

samedi 17 août 2013

Toi, fils et fille d'Azaguié, viens y investir

Le jeu, le plaisir et l'amusement ne sont pas du fait des affamés. C'est quand un homme est rassasié qu'il pense à l'amusement. C'est vrai nous devons nous regrouper les uns et les autres autour (fils d'Azaguié) du jeu, de la convivialité, mais il faut que nous pensions à entreprendre à Azaguié pour les populations qui sont restées. On aura organisé les comités, les maracanas de nuits, les balles poussières, mais si cette population doit ouvrir les yeux pour regarder le ciel sans savoir quoi manger, si elle doit demander à Dieu pour leur mettre le lopin de pain à la bouche, si cette Jeunesse doit devenir larron pour s'offrir le quotidien, alors on aura fait tout cela pour un grand zéro, On aura existé pour rien, on aura été les enfants de Dieu pour le vide et on aura été les fils bon à rien d'Azaguié et ce, malgré notre fortune, notre avoir qui fait de nous, seul maître des lieu. La richesse individuelle n'est pas une richesse, mais créer de la richesse pour les autres est un grand bonheur pour soit. Fils d'Azaguié, viens y investir...

Je parle au nom du père, du fils et du saint esprit / Aouzou billahi minalchaytane radjim, Azaguié a besoin de ses fils et filles, de nous!
La vérité, oui je veux que Dieu me donne de vous parler mais qu'il nous donne d'agir pour notre belle cité.

Appel aux fils et filles d'Azaguié

Fils d'Azaguié, ta ville mère t'appelle

Devons-nous nous faire la course?
Devons-nous nous courir après?
Ne dit-on pas que le bonheur se gagne dans le collectif et se consomme seul? Azaguié est là comme un oiseau aux ailes brisés, nous regarde comme un affamé abandonné dans le désert.
Est-ce le sort que nous devons lui offrir?
Regroupons-nous et recherchons les moyens pour investir dans notre cité qui a fait des cadres d'hier à aujourd'hui et qui en fera davantage pour demain. Du CEG d'Azaguié au Lycée Moderne d'Azaguié, ils sont, que dis-je, nous sommes nombreux qui sommes passés par là. Même si nous ne sommes pas tous devenus ministres ou présidents, nous sommes passés par là. De ceux que j'ai connu à ceux qui me sont inconnus, tout enfant d'Azaguié en été. Ne tenons pas compte des ethnies, mais vivant comme une chair à Azaguié. Notre sang y a coulé, notre sueur y a coulé et nous avons des pas, fouetté la terre rouge de cette belle cité pour nous faire un idéal.

Je parle au nom du père, du fils et du saint esprit / Aouzou billahi minalchaytane radjim, Azaguié a besoin de ses fils et filles, de nous!
La vérité, oui je veux que Dieu me donne de vous parler mais qu'il nous donne d'agir pour notre belle cité.

jeudi 15 août 2013

Lève-toi et construis Azaguié

Azaguié ne manque pas d'idées encore moins de fils et filles pour son développement. Elle manque seulement d'organisation de ses enfants et de ses idées. A une quarantaine de kilomètre d'Abidjan, Azaguié de part la division tronculaire du sain de ses enfants et causée par ses même enfants, a perdu de par sa verve agriculturale qui la plaçait parmi les pôles économique de la Côte d'Ivoire. Aujourd'hui, à Azaguié, on ne mange que de la banane induite d'une bonne dose de serco du nom scientifique  cercosporiose noire et d'un manque constaté d'ananas dont Azaguié se classait parmi les premier alors qu'ailleurs, on se bat à la pérennisation de ses produits économiques pourvoyeurs d'emploi. Y a-t-il lieu de s'alarmer?
Espoir, les fils d'Azaguié, lorsqu'ils se rendront compte qu'une communauté évolue de par son organisation, lorsqu'elle se regroupe auprès du nucléus, elle connait un véritable essor. lorsque nous nous rendrons compte que le développement c'est nous et non personnes d'autres, au dessein politique tordue et à la parole de miel bridant, qui viendront le faire à notre place.
j'ai mal de voir ma belle Azaguié qui endimanché regroupait ses enfants sous un soleil matinal se mourir de par les actions tueuses de ses fils. J'ai le cœur qui brûle lorsque je vois les fils d'Azaguié penser au phénomène "choco" alors que la maison commune est salle. C'est comme si nous étions très bien lavés pour dormir sur un lit sale.
Lève-toi, fils d'Azaguié, viens y déposer ton entreprise, ta pharmacie, ton centre commercial, ta plantation, et tout ce qui pourrait contribuer à cette beauté vitale tant rêvé qui est le développement de notre chère Cote d'Ivoire.
Les politicien viendront et partiront mais notre pays demeure la notre donc abandonnons les politiciens, boudons les s'il le faut pour que notre belle cité et notre charmante patrie connaisse le bonheur avec nous.

Quand Dieu m'a donné la parole, je l'ai accepté pour dire.
- Aouzou billahi minalchaytane radjim
-Au nom du père créateur je vous laisse apprécier fils d'Azaguié. oui on le peut.

jeudi 1 août 2013

Idées pour développer

Bonjour Famille

En ce jour, je voudrai partager une idée sur laquelle nous devons méditer. Ça a un rapport avec l'éducation. Dans les pays Anglophone, l'école n'est pas fait pour avoir un travail mais pour avoir le bien être social. Le bien être social c'est quoi? C'est un état d'esprit qui consiste à vivre une certaine paix intérieur, une joie immense et une santé inégalable. Je ne veux pas dire qu'il faut pas aller à l'école à l'école, c'est tout le contraire. je veux dire: on ne fini pas d'apprendre, c'est pourquoi, pour mieux appréhender la vie, pour se développer, il faut aller à l'école pour à voir: une bonne lisibilité, une bonne gestion et une bonne compréhension des choses. Si vous avez la possibilité de vous inscrire pour vous former davantage, alors allez-y, ne bercez pas les bras. l'éducation est un bonheur. Savez-vous qu'au Ghana, par le volontariat, il aujourd'hui plus d'école que partout en Afrique? Connaissez-vous leur devise éducative? "Une famille qui a un seul individu qui ne sais pas lire est le retard de la cité" ce qui veut dire pour eux que la seule personne analphabète vas retarder sa famille. L'individualisme ne développe pas une nation; c'est plutôt le collectif qui aidera à son développement. "Aucun chef d'état à lui seul ne peut développer un pays: c'est l'apport de chaque individu qui réalisera le rêve d'une Côte d'Ivoire développer. Si chacun des 20.000 000 d'habitant en Côte d'Ivoire pouvait donner 5 franc CFA par période raisonnable, alors, en cinq ans on sera les plus développé au monde. On pourra construire les hôpitaux, les écoles, les routes et le pays vendra des bourses au lieux de contracter des dettes" (Cf La Nouvelle, Edilivre Paris, Mai 2013). c'est pour vous dire chers amis, parents et frères que nous sommes un et qu'étant unité, nous devons tous avoir la lecture comme point de départ pour le développement notre chère nation. Je crois qu'Azaguié peut être le point de départ d'une nouvelle Côte d'Ivoire. oui, on le peut. organisons-nous et regroupons nous autour de l'idéale salvateur. Le savoir lire et le savoir écrire dans le volontariat.
Si vous voulez qu'on en parle, je suis joignable au 07377111.
Vive Azaguié, Vive la Côte d'Ivoire de demain!

Maxime Kouadio N'dri
lesvolontaires.blogspot.com
visitez mon blog pour plus d'idées

jeudi 11 juillet 2013

A la découverte de L'envol Du Coeur


Si vous êtes en Abidjan, faites un tour en librairie 'Librairie de France groupe, Librairie Aleph...) pour vous procurer le livre pour notre plaisir de lire.
il est vendu à 2000 francx

mardi 9 juillet 2013

Hommage à Juliette et Dioum



Quand chaque dimanche sonnait l'heure du rendez-vous
Je prenais mon poste à bout de grève
Aujourd'hui que ce monde est conquis par ta douce et suave voix
Lorsque tu nous lis le message de paix

Aujourd'hui que tu as conquis le cœur des chrétiens et les musulmans
Sans oublier les animistes
Aujourd'hui que tu réunis les ivoiriens sans regard de couleur ni d'ethnie
Le silence sonne à jamais

Tu es unique chère animatrice
Et nul ne pourra prendre ta place dans nos cœurs
Car nous t'avons juré fidélité
Maman Juliette Anzian, tu nous dis Adieu

S'écoule sur mes jougs, de l'eau, des larmes
Pas de mots tel je suis en sanglot
Dois-je te dire Adieu?
Non, tu es là et regarde tes admirateurs

Toukpè, le réconciliateur est abandonné
Hier c'était Mister Dioum
Aujourd'hui c'est toi
Ah le monde de la bonne humeur !

Quel rendez-vous avez-vous pris avec le temps?
Quel rendez-vous avez-vous pris sans nous?
Que dis-je, nous viendrons un jour vous rejoindre
Mais on a besoin de vous.

Adieu Adieu maman Juliette Anzian
Adieu Adieu Papa Dioum
Je rêve que ma télé m'est menti sur votre mort
Je rêve que ma radio me dise que vous vivez encore avec nous

Maxime Kouadio N'DRI: Ecrivain: romancier, poète, Graphiste et blogueur (lesvolontaires.blogspot.com)

jeudi 4 juillet 2013

Femmes, gardez-vous de faire du mal à votre progéniture

Mesdames et mesdemoiselles, je ne viens pas ici pour vos insulter mais vous dire certaines réalités vécues qui  ont mis en danger la vie d'un nouveau né.
En effet, lorsque vous avez décider de porter une grossesse, dites-vous que votre sexe ne sera plus un secret de polichinelle, mais une chose qui pourrait être vue et touchée de fond-en-comble par un médecin, un infirmier, une sage-femme..., lorsque vous vous tenez devant la sage-femme et que vous refusez qu'elle vous examine, en plus de vous mettre vous-même en danger, vous mettez le futur bébé en péril.
Ce mercredi, à Yopougon, une fille a perdu son enfant par ce fait cupide.
Elle refusa d'aller consulter l’hôpital pour se faire analyser durant le processus de la grossesse et voila que celle-ci arriva à terme. Elle ressentit les douleurs et décide d'aller accoucher à la maternité. Une foi sur les lieux, elle refusa que les sages-femmes l'examinent pour voir la position du bébé et se confina dans un coin de la salle. Son sexe, selon elle est intouchable par qui que se soit. Malgré toutes les tentatives des sages-femmes, des filles de salle et même des médecins, elle demeura sur sa décision. Après plusieurs heures de douleur, la sage-femme arriva à faire coucher la femme qui elle-même était très affaiblie. On l'aida à faire sortir l'enfant qui ne vivait plus à sa sortie.
Il peut y avoir d'autres personnes comme ça.
Eviter de vous confiner autour d'une certaine honte pour mettre fin à la vie d'un enfant innocent. c'est votre plaisir qui vous y a conduit sinon, préservez-vous avant tout rapport.

lundi 1 juillet 2013

Pleurs d'Awa ou la vengeance des aïeules

Disons tous non à l'excision. un poème qui fait appel à l’esprit de vivre ensemble et qui dit non à l'excision.









Le moment arrive
L'âge tant attendu fait surface
Elles arrivent
Ces dames elles cachent leur face

Je pleurai aux creux de mes mains
Je saignerai de l'entre-jambes
Bâillonnée ma voix étouffée de peur d’effrayer les gamins
Molesté je ne sens plus mes jambes

Combien oh combien triste de coutume
Lame non stérilise marchons à la queue leu-leu
Rite ou rituel le tréfonds de mon cœur est vide de coutume
Mais mon sang coulera à devenir bleu

J'ai peur de grandir
J'ai peur d'avoir l'âge
Que dois-je faire pour m'enfuir
Dommage

Je suis lié à cette famille vengeante
Et le plaisir, comme elle je ne connaîtrai pas
Et ses femmes caste dirigeante
Les coupe-coupe à la mains triste de mon cas.

Gémir, gémir oui gémir
Finir, finir oui finir
Les larmes s'écoulent le long de mes jougs
Le sexe extirpé avec fougue

Ces femmes sans cœur
Attendaient mon âge avec gageure
Oui, c'est une promesse
Ma grand-mère leur a fait cette promesse.

Maxime Kouadio N'DRI: Ecrivain: romancier, poète, Graphiste et blogueur (lesvolontaires.blogspot.com)

mercredi 19 juin 2013

Le volontariat et la gestion d’une nation, un aboutissant de bien-être social.

Quand on parle de volontariat, certaines personnes pensent au bénévolat. Ici, nous en sommes au sens étymologique du mot volontariat découlant de la volonté. La volonté faisant à appel à l’amour propre, nous voulons dégager l’importance qu’un homme politique, un gouvernement à accorder au volontariat dans son entièreté pour l'épanouissement de ses concitoyens.
L’Afrique est bondée de sociétés mal-épanouies du fait de nos dirigeants égoïstes et rancuniers qui pensent à assouvir leur dessin criminel de vengeance pourtant le peuple le sien meurt de faim.
C’est pourquoi, nous voulons appeler les dirigeants africains à regarder le côté volontariste qui consiste à avoir la volonté, l’envie certain et l’amour pour guider la population sur le droit chemin du développement.
Quand un homme politique est volontaire, il respecte les lois c'est-à-dire la constitution sans vouloir en modifier un seul guillemet si cela ne prend pas en compte l’évolution de la société.
Un chef d’état volontariste crée des infrastructures pour l’épanouissement de la population toute entière sans oublier le moindre de ses concitoyens.
Mais triste est-il de constater qu’en Afrique, les hommes politiques qui sont nombreux à lire le Prince de Machiavel et le mettent en pratique en vu de se maintenir au pouvoir. Ils organisent des fastes, pour abêtir le peuple pourtant l’essentiel est à côté.
La population à besoin d’un model volontaire au sommet de l’état, pour les conduire vers le paradis social.
Souvent, lorsque le chef de l’état est volontaire, il arrive que le gouvernement ne le soit pas c’est ainsi qu’ils tiennent des propos du genre : le chef m’a confié une mission, je vais lui faire plaisir. Ou le président m’a appelé, je viens répondre à son appel. Non, il vaut mieux dire que je suis venu faire le bonheur de mon peuple avec la véritable volonté. Nos aïeux ont été volontaires et ont dirigé avec un volontariat charismatique. Nous, la dernière génération ne devons pas suivre notre instinct grégaire et égoïste, mais plutôt un volontariat salvateur.
C’est notre égoïsme qui a mis l’Afrique en retard et c’est cette volonté de réussir seul qui anime les enfants de l’Afrique aujourd'hui.
Pourquoi être riche et autour de nous, tout le monde est pauvre. C’est comme un homme propre qui dort sur un lit sale.
Si nous devons nous rendre propre, faisons le pour toute la maisonnette. L’Afrique est notre maison, gérons à lui rendre sa plus belle tenue à travers notre volontariat.

Hommes, femmes, enfants, dirigeants, gouvernements, organisations diverses… en avant, prenons notre bâton de pèlerin et changeons l’image de l’Afrique à travers l’œuvre de notre cœur. 

mardi 18 juin 2013

Le volontariat dans le travail, source de bien être!

Il nous arrive de voir, des personnes qui travaillent très bien et d’autres qui travaillent à tout bouder.
Qu’est ce qui fait que certaines personnes adorent leur travail ? Pourquoi d’autres le détestent-ils?
Pour répondre à ces interrogations nous allons parler de principe de volontariat.  Le volontariat pour nous, c’est le fait d’avoir la volonté de faire telle ou telle chose sans arrière pensée. Avoir la volonté implique avoir l’amour pour ce que nous faisons. Aimer ce qu’on fait, c’est amener le travail vers des résultats parfaits.
Un homme avait le rêve d’être un ingénieur en ponts et chaussées. Ses parents étaient pauvres. Mais ils ont fait l’effort de le scolariser.
Il obtint son baccalauréat à un moment où les parents avaient besoins d’argent pour cause d’état de santé précaire. On lui demanda de mettre un terme à son rêve fou et de se trouver un travail de proximité pour aider les parents. Il passa un concours et devint un instituteur. Il garda une colère dans le cœur. Il détestait les élèves et leurs bruits.
Il n’aimait pas le travail mais il se sentait obligé de le faire, faute d’emploi.
Un autre connu le même sort mais il aimait le travail. Son principe était : "doit mourir celui qui refuse de travailler".
Ce dernier devint un instituteur dans la même école que l’autre.
Le dernier était aimé des élèves et même des parents d’élèves tandis que le premier leur était antipathique.
L’amour du travail va valoir de fier chandelles au dernier puisqu’il continu ses études et obtint des diplômes jusqu’au doctorat. Il est aujourd’hui professeur alors que le premier est toujours resté instituteur.
Quand on prend son travail au sérieux et on y met du patriotisme, quand aime ceux qu’on sert, c’est nous même qu’on aime.
L’école n’est pas le lieu par excellence pour apprendre à travailler, mais c’est le lieu d’aboutissement au bien être social.
Savoir lire c’est être sauvé et aider au bonheur de sa nation. C’est pourquoi, chaque individu doit se battre pour permettre que les autres soient heureux.
Le travail devient aliénateur, lorsqu’on le fait sans amour, sans patriotisme. Sinon, il n’est en rien aliénateur. Le travail est une fin pour celui qui l’aime.
Travailler c’est servir son pays avant de se servir soi-même. Quelque soit le secteur d’activité dans lequel on exerce, on ne le fait pas pour soi-même.
On peut créer des emplois pour les autres si nous nous sommes patriote et que nous aimons le travail qu’on fait.
On a pas besoin d’avoir des millions pour entreprendre, on a besoin que de la volonté et du sens de la communauté.
Des personnes sont riches mais ne font rien pour leur communauté, si ce n’est de leur donner des miettes pour un usage immédiat.

La meilleure manière d’aider une personne qui n’a pas d’emploi, c’est de lui en donner.

Maxime N'DRI 07377111

lundi 17 juin 2013

Entretien avec Sophie Roger-Dalbert : "L'Afrique, un continent en devenir qui ne demande qu’à mûrir !"

Mère pleine de douceur
Dans notre recherche de solution volontariste de développement du continent Africain, nous sommes entrées en contact avec Sophie Roger-Dalbert, une volontaire qui a visité le continent. Suivons ensemble ses propos.

Le volontaire : Bonjour Sophie  

Sophie : Bonjour Maxime

Le volontaire : Qui est Sophie Roger-Dalbert ?

Sophie : Ce que je suis est plus simple que ce que l’on en dit. Tout simplement une femme, une mère, une amie. Une personne comme les autres qui veille à rester debout et qui a toujours refusé les frontières qu’on lui imposait. 

Le volontaire : Quand je dis Afrique qu’est ce que cela vous inspire ?

Sophie : Des hommes, des femmes, des enfants , un creuset à travailler, un espoir , un continent en devenir qui ne demande qu’à mûrir !

Le volontaire : Notre blog s’attelle à une éducation altruiste et volontaire et nous voulons vous demander de définir le volontariat en vos propres termes.

Sophie : Il y a dans ce mot la notion très importante de volonté. Une volonté personnelle guidée par un amour de l’autre, par une empathie, par une conscience claire et objective des réalités qui en sont le cadre, par des connaissances mises au service des actions à mener. Il n’y a pas de place pour l’utopie et l’amateurisme. Le volontariat est une démarche intime qui prend sa source dans notre aptitude à saisir l’autre là où il est, non là où l’on voudrait qu’il soit. Et qui demande une sacré dose d’humilité pour dépasser les échecs inhérents à toutes les expériences vécues sur le terrain. 

Le volontaire : Sans trop vous demander de faire de l’histoire, nous voulons quand même vous y emmener. Pouvez-vous nous dire comment votre pays la France a-t-elle pu atteindre le développement ?

Sophie :…De chutes en relevailles, de guerres fratricides en réconciliations prometteuses, la France n’a cessé d’osciller entre grandeur et petitesse. Mais chaque épreuve jusqu’à ce jour a été l’occasion pour des hommes et des femmes de prouver que l’humanité existe, même au prix de leur vie. Travail, don de soi, ambition ont été les pôles de cette évolution qui a permis des avancées fantastiques Avec cependant une déperdition du respect de l’humain au fur et à mesure que la science avance. La France s’est retrouvée exsangue, à terre mais elle s’est relevée, non sans l’aide d’autres états, soyons honnête. Un Etat tout seul aujourd’hui n’a plus de sens, pris que nous sommes dans une interdépendance certaine !

Le volontaire : comment comprenez-vous le développement de l’Afrique ?

Sophie :…Par les africains eux-mêmes pour commencer…. Unis, ils seront plus forts pour s’imposer face aux pouvoirs qui n’ont aucun intérêt à les voir se réveiller ! …Ce que nos associations occidentales réalisent, c’est actuellement vital dans beaucoup de domaines. Mais si nous sommes lucides, c’est souvent une bonne occasion pour des gouvernements de se laver les mains de leurs obligations envers leur peuple. Et d’un point de vue pratique permettre à des jeunes de se former utilement, sérieusement tout en leur ouvrant l’avenir afin que leurs savoirs soient mis au service de l’Afrique .C’est là notre responsabilité première, encourager ceux qui vivent au pays à être des acteurs en mettant nos compétences et nos moyens …à leur service ! pour qu’ils s’approprient leur développement !

Le volontaire : il semble que la lecture est une arme pour vous : comment vous en êtes arrivées ?

Sophie : …J’aurais envie de dire que je suis tombée dedans dès mon plus jeune âge, comme Obélix dans la potion magique ! Une curiosité insatiable, un amour des mots, de la musique des phrases. Je suis persuadée que l’accès à la culture est un facteur de liberté, de libération. Parce qu’elle forme à penser, à méditer, à admirer, à critiquer.. Et puis la lecture, c’est un moyen merveilleux de s’évader aussi pour la rêveuse que je suis !

Le volontaire : pensez-vous que la lecture pourra contribuer au développement de l’Afrique ?

Sophie : …Oui, mille fois oui, mais avant de penser lecture, il faut penser comment mieux proposer le livre à des populations qui ont pour priorité de trouver chaque jour de quoi manger et se soigner. Faire passer le livre d’un statut de privilège à celui de nourriture, essentielle pour la croissance de l’homme.

Le volontaire : votre mot de fin pour amener les africains à comprendre l’Afrique côté volontariat.

Sophie : C’est parce que j’ai confiance dans les hommes et les femmes de ce continent, que la force et l’énergie demeurent . Quand il est dur de survivre, le premier instinct est égoïste  C’est alors qu’il faut comprendre que la force naît de la communion et de l’union, tout simplement.

Le volontaire : nous vous remercions pour votre disponibilité et de votre franchise.

Interview réalisé par Maxime N'DRI 07377111

samedi 15 juin 2013

Le réveil de l'Afrique, un rêve fou?

Famille Africaine, comment voyez-vous l'avenir de l'Afrique? comment l'appréhendez-vous? est-ce sur l'angle où tout le monde voit les politiciens développer leur pays respectif?
C'est faut, c'est une erreur de dire qu'un président va développer son pays. Nous devons prendre conscience de cela.  sinon, un président allait être éternellement au pouvoir dans son pays et sa famille et lui ne deviendraient jamais plus pauvre du fait de la reconnaissance de leur concitoyen.
Un président est un représentant du peuple au devant des instances internationales. Il ne visite pas nos hameaux, il ne rentre pas dans notre bas quartier. Il reste quelque part et crie déguerpissez les quartiers à travers des plans comme le plan orsec en Côte d'Ivoire.
La population elle-même devais prendre conscience que cela arrivera tôt ou tard et se solidariser en vu de travailler ensemble pour l’amélioration des quartiers populaires mais précaires. On peut créer des conduites d'eau pour éviter les inondation au lieu d'attendre qu'un chef d'état vienne le faire.
Prendre conscience qu'ailleurs, la population a construit elle-même ses écoles, ses hôpitaux, ses routes et l'apport de l'état n'a été qu'au salaire des personnes qui travaillent dans ses ouvrages développés pars le peuple.
Je sais qu'un jour viendra où la population verra le mensonge qu'il s'est dit lui même en se voilant d'une paille aveuglante, suivant un homme sur juste les paroles, les promesses même si l'on dit que le commencement était la parole. Cette parole utilisée par l'homme pour abêtir tout un peuple, sans que ceux-ci ne se rende compte de son erreur à attendre un miracle d'un homme, alors que ce miracle c'est lui même sinon pourquoi Dieu fera-t-il l'homme à son image?
j'ai un rêve. Ce rêve, nous voulons tous le réaliser. Le rêve de voir nos enfants penser autrement l'Afrique. Le rêve de voir nos enfants construire eux-même les fondations d'une Afrique développée. Nul ne le fera à notre place, c'est le volontariat qu'auront nos enfants qui le fera.
Éduquons nos enfant dans le sens de l'altruisme, au lieu de leur montrer notre égoïsme criant, qui alors, est assoiffé de la réalisation des autres.
Pourquoi faire exode en France, en Amérique, alors que leurs citoyens ont fait face à leur situation et se sont faits volontaires pour une France décideuse, pour les Etats Unis puissants, pour la Chine économique, pour le Japon financier, pour la Corée numérique, pour la Suisse banquière ...
Rejetons-nous nous même, faisons notre méa-culpa et commençons à construire notre cher continent l'Afrique.

Interview réalisé par Maxime N'DRI 07377111