Aujourd’hui, je suis tenté de
demander : à quoi servent nos études ?
Avant que je ne face le CP1, on a fait
briller devant moi, le fait que je deviendrai une personnalité et qu’après mes
études, le travail fleurissant, je serai un boss comme on le dit.
Je me bats pour atteindre ce niveau et
je ne trouve toujours pas du travail. L’université tant voulu, ne me donne pas
un seul emploi.
Je sors de la côte d’ivoire, je constate
que là-bas, l’école n’est pas le moyen par exemple pour aboutir à l’emploi mais
pour acquérir le savoir et le bien-être social.
J’observe la jeunesse, elle est plus
entreprenante : femme maçon, homme restaurateur… et ne fait guère, le tri au métier.
Je décide de comparer nos deux jeunesses,
le constat est clair, bien que la jeunesse Ivoirienne veux entreprendre, elle a
peur d’oser. C'est-à-dire, elle a peur de prendre les initiatives
entrepreneuriales en sorte qu’elle a tendance à rester en arrière.
Je n’en reviens pas. Même moi j’en fais
parti.
Et il est amer de voir les jeunes
s’investir sur d’autres plan, qui ne leur sont peut être pas utile pour
l’heure.
Quand un jeune homme veux avoir les
relations avec une fille, qu’il aime ou pas, il ose ; il ose emprunter des
habits séduisants, il ose voler, il ose faire tout son effort pour la conduire
dans un rêve plus ou moins éphémère.
Je me rappelle qu’Agboville, un homme de
lettre très doué en la matière, refusait de se présenter à éditeur pour lui
présenter ses œuvres poétique qui pourraient faire de lui, le poète de la
lumière.
Il vint me demander un pantalon jeans
pour aller séduire une fille de qu’il s’entichait.
Si nous pouvions prendre des décisions
d’aller séduire une jeune demoiselle qu’on a observée, alors nous pouvons
observer un domaine dans lequel nous voulons entreprendre et oser chercher les
moyens pour réaliser ce projet.
Daigner vivre à l’aise dans le monde de
demain, c’est oser entreprendre.
En réalité, la peur qui anime cette
jeunesse est justifiée par le manque de communication autour de l’auto prise en
charge, du volontariat, et de la formation personnelle.
On a peur de perdre ; alors qu’on
ne peut pas maîtriser l’échec si on a jamais échoué. L’échec n’est pas une
fatalité, c’est la manière de surmonter l’échec qui : soit est fatale, ou
est propulseurs.
Savoir se relever après une chute relève
de la compétence, de la capacité à grandir son esprit pour un lendemain
meilleur.
Si la population était formé sur un fait
d’être plus volontariste, si les enfants étaient éduquer à évoluer pour le bien
être sociale et non pour sa fortune personnelle, alors nous aurons une côte
d’ivoire éducative et développée.
Je pense que nous devons revoir le
système éducatif tout entier et non seulement ça, le système social lui-même.
Ailleurs au Japon, en Chine et en Corée,
la politique est le fait d’un groupuscule d’individu. Toute la population se
bat pour améliorer le blason territorial.
Mais ici en Afrique, la population y est
conduite de gré ou de force. Et cela se justifie par le fait qu’on attend
l’approche des élections pour confectionner les cartes nationales d’identité
pour une poignée d’électeurs.
Aidez la population à se battre pour
leur propre éducation, au lieu de les mener vers les querelles à n’en point
finir.
Un petit plan pour soutenir cette
assertion éducative.
Nous sommes plus de 20.000.000
d’habitants. Si chacun donne 5 francs CFA par semaine ou par jours, on aura,
alors, 100.000.000 de francs avec cette somme, on pourra construire des écoles
par tout sur cinq ans. Tous les habitants de la Côte d’Ivoires pourront étudier
gratuitement, car les enseignants pourraient être les étudiants bénévoles, qui
par souci de service civique viendraient dispenser les notions de lecture, de
savoir à leur parents.
Aidons nos parents à l’évolution
éducative au lieu de les laisser dans l’analphabétisme moqueur.
Jeunes, vieux ou vieilles, enfants,
osons entreprendre pour un lendemain meilleur.