vendredi 28 septembre 2012

L’idéal d'un homme ou le savoir de la vie


Nous cherchons par voies et moyens à être bien vue c'est à dire se marié avoir les enfant, vivre et être heureux. ne ne nous soucions pas de l'essentiel. Il arrive qu'on dise à un mariage, oh oui c'est un couple idéal, sans chercher à comprendre les motivations qui ont poussé se couple à se marier. Des jours passeront et un jour, on verra que le couple cherche à divorcer et nous nous posons la questions de savoir le sens de l'idéalisme. Ainsi le mariage est-il l'idéal de l'homme? ou quel doit être cet idéal même qui fera l'homme?

Le savoir et la connaissance sont les clés de ce monde. avoir le savoir, c'est avoir la vie en mains. Nous voulons savoir donc nous nous poserons des questions et nous chercherons les réponses dans la vie. Les réponses peuvent être d'un simple constat, lequel constat est répété chez plusieurs personnes. Nous avons constater que si les magistrats devaient étaler le secret des demandes de divorces, alors aucune personne ne voudra épouser une dame et vice versa sans au préalable tacher chercher le savoir, gage de sagesse.
On ne sais pas; on ne connais pas et on ne cherche pas à savoir. On ne cherche pas non plus à connaitre. Connaitre quoi? soi-même. on ne se connait pas assez et non plus on ne cherche à se connaitre, c'est à dire le savoir du contour de notre épanouissement dans ce monde de grande évolution. j'aime oui, mais qu'est ce que j'aime? pourquoi j'aime? est-ce vraiment elle que j'aime? j'en fais fi. L'idéal pour moi, c'est de me marier avec une femme ou avec un homme.
Un idéal, c'est une imagination, une image qu'on se peint, dans le tréfonds de notre être, on crée une image une femme ou un homme au corsage de rêve, et dès qu'on voit ce rêve sembler se réaliser, on saute la dessus. Quelque temps plus tard, on se rend compte qu'on a fait le mauvais choix. Oui, c'est parce qu'on a besoin de la perfection. le parfait n'étant en cette personne, bonjour les divorces.
Ce cas est beaucoup fréquent chez les religieux, qui n'ont rien appris de la vie active, si ce n'est que la pensée de certains de leurs dirigeants qui ont fait de la sexualité, un sujet tabou.
Outre ce fait, certaines personnes se posent la question de savoir, comment être populaire. Ils font la course aux biens mal acquis, sans vraiment tacher marquer leur histoire par leurs oeuvres. Ils voient leurs amis se marier, alors ils vont aussi à la recherche de cet idéal pour eux qu'est le mariage; et, ne rencontrent que problèmes et pleurs car le mariage n'est qu'un leur pour qui n'est pas prêt.
Aujourd'hui, l'idéal sera de marquer son histoire de par ses oeuvres. Notre société vie dans le matériel. Même nos familles sont matérialistes. Si dans une famille de deux enfants et plus, le cadet travaille et que l’aîné ne fait rien, alors il est la risée de tous. pendant des réunions de famille, l’aîné est mis à l'écart ou pas informé de la tenue de ces rencontres. Si tout le monde est réuni et que le pauvre n'est pas là, alors la réunion peut commencer mais dans le cas contraires, on attendra celui qui est riche afin qu'il soit là avant l'entame des séances.
pourquoi cherchons nous donc l'homme ou  la femme non matérialiste pour épouser? L'évolution de l’humanité se fait à travers le matériel. On deviens amis par intérêt. 
Si nous n’avons pas d’intérêts communs, que cherchons nous ensemble? réfléchir ainsi, c'est pousser les hommes dans le mensonge. La vérité étant la lumière plus éclatante que le mot l'indique, on fini par la découvrir; et, appel au divorce.
Je pense pour ma part, que nous ne devons pas chercher le mariage avant tout. Nous devons plus tôt chercher à réaliser les oeuvres qui resteront graver dans l'histoire. ainsi nos oeuvre nous garantirons des mariages idéaux. l'idéal n'est pas de se monde, il est le fruit de notre imagination. si nous disons vouloir une chose, on l'a car on crée cette chose là. Dieu nous a donner l'intelligence pas pour devenir des suiveurs, mais pour réaliser pour le bien être de la terre.
"Multipliez vous et remplissez la terre" cette phrase n'a-t-elle pas été mal interprété?
Et si Dieu ne nous demandait pas le mariage en premier lieu de notre existence? et si Dieu nous demandait autre chose en lieu et place?
Sinon, nous allons faire les mariages dès les naissances pour éviter que dans ce monde de sexualité grandissime, nos enfants ne forniquent avant leur mariage.
Quand on a marquer son histoire et lorsque l'histoire sait ce que garder de nous, le mariage viendra à nous de lui-même. Ne courons pas d'après le mariage, car il nous fuira plutôt.
Ne nous demandons qu'a fait notre histoire pour nous ou qu'as fait notre pays pour nous. demandons plutôt, que faisons nous pour ceux qu'on prétend aimer? pour notre pays? pour notre histoire? comment avons nous écris notre histoire? Ainsi donc nous vivrons heureux.

Maxime N'dri 

jeudi 27 septembre 2012

Es-tu Élève ou élève: savoir pour éduquer


C'est la rentrée scolaire, tous les enfants ou presque sont contents de retrouver les salles de classe et les amis qu'on a perdu de vu pendant les vacances. Mais, se pose certaines questions qui bien comprises peuvent aider les enfants, les adolescents en un mot les élèves à un bien être social.

Es-tu Élève ou élève?
Je suis à l'école pourquoi ou pour quoi?
Notre analyse, nous permettra de montrer en quoi une nuance peut être utile pour le bien être des autres, le bien social.
Notre société est fait de tout, mains gauche, mains droite, haut et bas, bien et mal et tout s’accole, se résume, se réuni pour donner naissance à la vie.
Alors, à l’école, on a beaucoup de chance de trouver les deux types d'élèves, qui sont: Élève, celui qui est assidu à l'école, qui fait ses exercices, qui est attentif, qui suis avec respect les cours, qui n'empêche pas les autres de suivre et de comprendre les cours, celui qui se dit qu'il a une mission, suivre mieux les cours pour son bien être, pour le bien être social ou élève, un enfant turbulent, qui ne veux pas fréquenter l'école, mais qui a été obliger. le deuxième cas est beaucoup susceptible de faire l'école buissonnière sans vergogne. Il manque de respect à tout et se rebelle contre tout. Il ment et a des arguments pour éviter d'être punis. les parents peuvent reconnaître un tel enfant et l'emmener à comprendre le bien fondé de l’Éducation.
Le second point de notre analyse se portera sur la deuxième questions. vouloir réussir, c'est vouloir étudier et bien étudier pour atteindre la connaissance aidante à la réussite. Demandez à un enfant pourquoi il va à l’école, il vous dira que c'est parce qu'il veux réussir dans la vie. Mais à vous je demanderai, Pourquoi partez vous à l'école, et vous me direz que l'école est le lieu par excellence ou on va pour acquérir une connaissance, un savoir c'est à dire, savoir lire, savoir s'exprimer, savoir argumenter à travers les livre lu, les histoire conter et savoir être en groupe, travailler en groupe et gérer un groupe. Certaine personnes sont devenu les leader car à l'école elles ont le devant des choses et elles ont été des chef de classe, de conseil scolaire et même de syndicat scolaire.
Et, si je demandais Pour quoi allez vous à l’école? 
et vous me dirai je vais à l'école pour devenir quelqu'un, alors que certains enfant vont à l'école pour jouer avec leurs amis, d'autres pour frapper leur camarade, d'autre encore pour voler les livres de leur camarade, et les plus gentils de ceux qui n'ont pas compris l'importance du savoir ne mettent même pas le pieds à l'école alors qu'ils sont bien habillé dans leur kaki neuf.
vouloir savoir, c'est vouloir braver tout obstacle à l’épanouissement. c'est pourquoi certains élèves ont décidé de faire fi des jeux, et de mettre au travail pour atteindre le bien être. 
En effet, il n'y a pas plus dangereux qu'une personne qui ne sais ni lire ni écrire, encore moins parler une langue qui est la langue nationale.
aidons nos enfants, contribuons à leur éducations, et faisons leur comprendre l'importance des études. Et, le faisant, nous sauverons les générations. enseigner et éduquer dans la paix, sans tâcher user de la violence, ni de les contraindre, car l'obligation tue l'envie d'apprendre.
Maxime N'dri +225 07377111

mercredi 26 septembre 2012

Ma fille quitte le! dit un homme de dieu


"Ma fille Dieu dis de quitter l'homme avec qui tu es actuellement. il n'est pas fait pour toi."  tels sont les propos tenus par un pasteur à l'église des assemblées de Dieu à Yopougon.





Sara, est une jeune demoiselle, très belle qui ne montre que joie et bien être. elle avait un copain qui l'aimait et ce, de tout son cœur.
Sara l'appelait Amour, tellement elle le portait dans son cœur aussi.
Puisqu'on dit de chercher la voie de Dieu pour mieux vivre, elle a décidé de suivre ses frères et sœurs des assemblées de Dieu.
Un jour, le pasteur lui fait appel après le culte et lui dit: ma fille Dieu t'aime, il veux faire de toi une grande dame. C'est parce que tu as des rapports hors mariage que tu connais l'échec. Arrête avec celui qui est ton homme et reste célibataire. vie ta chasteté et tu connaîtras le succès.
Mars, Avril, Mai,... Amour n'avait plus de nouvelles de Sara.
Il l'appela et la réponse fut sans équivoque: tu sais que je suis en classe de Terminale. je dois bosser pour mon examen.
Notons que lorsque Amour et Sara, se rencontraient, elle n'avait aucun diplôme. Il l'a aidé. il lui a apprit les mathématiques de troisième, les sciences physiques et les sciences de la vie et de la terre non sans oublier les langues Anglaises et Françaises ainsi qu’Allemandes où lui-même s’en-sortait bien. Il l'aida à faire le BEPC, et elle l'eut, alors que les élèves de 3eme avaient déraisonnablement échoués.
les examens arrivèrent, et malgré tout, elle échoua. est-ce à dire qu'elle n'a pas suivi la chasteté alors que le pasteur lui promettait succès après cela?
Amour, décida d'encourager sa chérie, sa Sara sacré. et elle lui fit une confidence:
-Chérie, je t'ai trompé. je suis sortie avec quelqu'un d'autre et elle s'en alla à vacance.
A son retour des vacances, Amour lui fis appel urgent. Et, elle répondu présente.
après questionnement, elle avoua ne l'avoir jamais trompé, mais ne sachant comment rompre avec lui après la demande du pasteur, elle inventa une telle grossièreté.
Cependant, une question m’anime: L'Eglise, divise-t-elle, ou encourage deux amoureux à rester jusqu'à ce qu'ils se marient? les encourage-t'elle au mariage ou leur demande tout simplement de rompre?
Si les hommes de l'église étaient aussi parfait, pourquoi le divorce des croyants semble plus que ceux des non-croyants?
je pense pour ma part que l'église est fait pour unir les hommes. pour permettre aux hommes de vivre dans la solidarité et le respect mutuel; dans l'amour vrai et non la trahison; dans l'union et non la division. ce sont ces genres de pasteurs qui ont mis le feu dans nos pays et ont mis la haine dans nos cœurs.
chers hommes de Dieu, faites bien votre travail et ne sombrez pas dans la division du peuple de Dieu
merci
Maxime N'dri 07377111

mardi 25 septembre 2012

invitation aux etudiants


Très important.
Tous les étudiants LLC, sont priés se rendre demain 26 septembre 2012 dans leur département respectif de 8 heure à 10h30 pour Deug1 Deug2 et Licence. 10h 30 à 12h30 pour Maîtrise et DEA.
Important et même très important.

N'oubliez pas de passer par le CHU pour le retrait de badge d'accès.



Dear friends, the whole student of LLC are expected tomorow 26th September 2012 at their different department for a meating with the expert of LMD. the programme is: 8h 10h30 Deug 1, Deug2, BA. and from 10h30 to 1h30 pm, Master1 and 2.
Don't forget to pass by CHU, student dgeneral hospital for collected your pass before intering.thanks 

Maxime N'dri 07 377 111

lundi 24 septembre 2012

Rentrée universitaire, le volontaire était là.

Lundi, 24 Septembre 2012, est la rentrée officielle à l'Université Felix Houphouet Boigny de Côte d'Ivoire.
Nous avons été invités à une formation et information sur le système éducatif en vigueur dès cette rentrée, c'est à dire le système LMD. Prenant la parole, le Pr. Bakayoko- Ly Ramata, 
nous a entretenu sur le bien 
fondé de ce système et ses atouts dans
le système économique nationale.
Il a été aussi question d'une mutuelle obligatoire, prise en compte dans les inscriptions à l'université
FHB de Cocody. Une mutuelle santé et ses corollaires. qui prendra en compte le traitement des 
étudiants malades (entre 70 et 90% selon les structures sanitaires).
En fin, force est il de dire qu'un programme de formation et d'information sur le programme LMD
a eu lieu se poursuivra pour les étudiants LLC mercrédi 26 septembre à partir de 9 heures.

Nous reviendrons demain sur de plus ample informations car nous somme en train de traiter les
les données à notre disposition.

Maxime N'dri 07377111

samedi 22 septembre 2012

La critique : Sa liberté et vocation morale!


La critique ne devrait pas être vue comme une provocation et source de conflit, mais plutôt comme une interpellation de la conscience en vue d’améliorer une oeuvre ou un comportement.
Fondée sur le doute, elle s’avère nécessaire afin de corriger les faiblesses et prévenir les déformations dans la narration d'Evénements et de faits historiques touchant la vie des sociétés, autant à travers les oeuvres d’art, la scène théâtrale, les discours que dans la littérature… Les prises de positions tranchées des uns et des autres ne reflètent que des états d’âme passionnés de la dialectique qui découle du doute, du remous autour de la raison à la recherche de la quiétude que procure la VERITÉ ! La recherche de la vérité est la seule fondation de la critique qui permet le progrès des sociétés. La dialectique est incontournable là où la raison est en quête de la vérité! Le dualisme s’impose à la pensée et la rend rationnelle au besoin ! Lorsque la critique draine les injures, la subjectivité de l’injure doit aussi interpeller la conscience!
L’injure est le reflet intellectuel du moment de l'injurieux sous le coup d’une frustration intellectuelle! Si l’injure proférée n'est pas une défense noble de la thèse réfutée ou de la frustration vécue, alors l'injurieux nage dans le ridicule de la calomnie et la bassesse de l’ego chagriné! Remarquons que ce qui fait grand défaut à nos démocraties sous les tropiques, c'est de voir toujours des conflits à la place de l’éducation des adultes dans les échanges intellectuels que draine la critique! Si l'on écrit ou parle publiquement, la raison dialectique oblige de se soumettre aux critiques ou on demeure infécond dans le repli de la mauvaise foi, de la négativité, de l'autarcie et de l’égo! Si le débat critique doit dégénérer en vindicte et conflit, alors il y a incompréhension et régression! Le débat et la critique doivent élever l’âme par l'apport argumentaire solide et impersonnel des participants et non être prémédités ou forcément consensuels, voire tempérés et plaisants à tiers! Apprenons à voir dans les critiques et injures par rapport à nos déballages d’états d’âme sur la place publique des moyens de nous améliorer ! Nul ne détient toute la vérité ! Le Seigneur est plus savant! Écrivons et assumons nos écrits en nous ouvrant aux critiques !
Que cela soit en parole (discours) ou en en écrit, les consciences se croisent dans la critique qui rehausse les talents et valorise les sujets...! La "spéculation" dans les réponses ou dans les arguments, sans enchères mesquines ou insidieuses, n'est pas un mal en soi si elle permet la dynamique des échanges! Les écrits et les paroles reflètent la mentalité, voire l’état d’âme du sujet en toute lucidité et responsabilité( !) de ses actes.
Les messages et critiques acerbes, émis à l’endroit d’autrui ou de la société, n’ont d’impact quant aux changements probables positifs sur leur conscience et comportement que selon leur propre degré de tolérance et de réceptivité à la justesse de leurs teneurs, sans aucune contrainte corruptive ni force de dissuasion coercitive!
Le "sérieux" dans les débats et dans la critique est synonyme ou rime avec responsabilité, égard bienveillant et dignité.
La critique doit respecter avant tout, la dignité de l’être humain ! Elle n’a pas pour vocation de vilipender, de ridiculiser ni d’avilir l’autre, mais plutôt de revaloriser ses tares et manquements dans une dimension permettant de mieux faire résonner ses talents et sa voix en vue de parfaire l’harmonie à laquelle nous aspirons et qui doit être une oeuvre collective!
Il y a diverses sources d'inspiration dans le domaine de l'art et des lettres qui permettent de réaliser une pléthore d’oeuvres dignes et pour la gloire de la civilisation humaine. Lorsque le sujet décrit, peint ou visé est un être humain, il faut respecter non seulement sa dignité mais aussi sa liberté. Autant l’écrit peut être nuisible, l'art ou le théâtre peut être destructeur d’une vie! La morale dans l’écrit et dans l'art relève de celle de l’écrivain et de l'artiste lui-même. L'observé et l’observant communient dans une série d'interrogations en apostrophant l'intention de l'auteur! La moralité de l’artiste ou de l’écrivain transparaît dans l'oeuvre livrée au scrutin du public.

Harun Dramé, Etats d’âme-Les Notes (01), Eds, dhart, Quebec, 2012, P.238.

Nouveau Courrier N°611 > Du Vendredi 21 septembre 2012

INTERVIEW/ Maxime Kouadio N’Dri, auteur de L’envol du Cœur : «L’amour vrai s’oppose à la haine, à la médisance et à la déchéance » - LE SANCTUAIRE D'ETTY MACAIRE

INTERVIEW/ Maxime Kouadio N’Dri, auteur de L’envol du Cœur : «L’amour vrai s’oppose à la haine, à la médisance et à la déchéance » - LE SANCTUAIRE D'ETTY MACAIRE

vendredi 21 septembre 2012

Interview/ Maxime Kouadio N’Dri, auteur de L’envol du Coeur : «L’amour vrai s’oppose à la haine, à la médisance et à la déchéance»


Les éditions Balafons, très productives, ces temps-ci, viennent de publier L’envol du Coeur, un roman signé par un jeune écrivain répondant au nom de Maxime Kouadio N’Dri. Ce dernier a bien voulu évoquer avec nous son bouquin.











« L’envol du Coeur » est un roman de 70 pages, c’est vraiment peu. Un manque d’inspiration ?


Je ne dirai pas que c’est un manque d’inspiration, c’est plutôt un souci d’encouragement à l’endroit des lecteurs. C’est une manière de les emmener à lire l’envol du coeur. J’ai approché certaines personnes avec des livres volumineux et, à première vue, elles se sont écriées : quand est-ce que tu finiras de lire ces livres ? J’ai compris que lorsque le livre est petit, il attire à la lecture même les plus paresseux.


Pouvez-vous nous parler de la genèse de ce bouquin ?


Il fut un temps, lorsque j’avais atteint la puberté, j’étais attiré par une fille, mais j’essuyais des échecs que je lui faisais des avances. Un jour, par pur hasard, j’ai envoyé une carte de voeux qui avait l’image

de la sainte famille, c'est-à-dire la vierge Marie et l’enfant Jésus dans la mangeoire. Et cette carte, je l’avais expédiée à Bintou, une inconnue qui fréquentait une école inconnue de moi (l’adresse a été piquée dans l’annuaire téléphonique). Et comme le destin nous réserve des surprises, j’ai eu gain de cause. Disons pour un temps puisque la tristesse, la désolation causée par la bêtise humaine va emmener mon inconnue bien- aimée dans une destination également méconnue de moi. Et le jour où j’ai déposé mon stylo, elle est rentrée en famille après environ un an de disparition. L’image de la première de couverture et le titre du livre accrochent indubitablement.

Quels commentaires pouvez-vous faire et de l’image et du titre?


L’image, pour moi, représente la déchéance humaine, l’homme par sa bêtise fait partir la colombe, symbole de paix (donc la paix), dans une destination inconnue de nous ; les larmes s’écoulent sur le visage d’une mère qui a prié nuit et jour pour le bonheur de ses enfants, laquelle mère voit son espoir se dissiper.

Je profite de cette aubaine pour dire merci à mon ami Inoussa, qui a su transformer ma pensée en cette magnifique image. Concernant le titre, j’étais un jour, en 2002, en train de réciter les paroles qui pouvaient être inscrites dans ce bouquin, et je me demandais quel pourrait être le titre. Et je disais : le dilemme de Balétégué, et une voix s’est faite entendre en moi, et elle a dit : l’envol du coeur. Il est venu de lui-même.

Votre bouquin parle donc de l’amour…De quoi s’agit-il ?


L’amour, dans toute sa plénitude. Il arrive qu’une femme nous donne son amour et nous lui servons l’amertume. Je parle ici de l’amour pur qui fait appel au bonheur, au vivre ensemble, et à l’espoir inébranlable.

L’amour vrai qui s’oppose à la haine, à la médisance, à la déchéance. Aimer c’est ouvrir la porte au bien-être familial, au bien-être social. Bintou rêvée, disparue, retrouvée n’est jamais apparue dans le champ de vision de Max, son amoureux.

Qu’avez-vous voulu démontrer par cette intrigue assez étrange mais originale ?


La force de l’espoir. C’est l’espoir qui a ramené Bintou à la vie. Je veux montrer ici que chacun de nous a sa Bintou. Une personne qui nous aime sincèrement, mais dont on ignore absolument tout. J’ai entendu des personnes dire que telle ou telle personne s’est suicidée parce qu’elle se sentirait seule et qu’elle ne serait pas aimée. Bien sûr, la chair de sa chair et l’os de son os promis depuis le jardin d’Eden est là et n’attend que chacun de nous.


L’amour serait-il une illusion, un rêve inaccessible ?


Non, pas vraiment. Mais c’est plutôt l’amour idéal qui semble illusoire.

L’idéalisme parfait n’est pas une chose qui nous tombe dessus. Il n’est pas de ce monde donc il faudrait qu’on accepte ce qu’on a comme tel et qu’on augmente notre taux de volontariat pour vivre un amour parfait et non idéal. C’est nous-mêmes qui créons la perfection.

Le personnage de Balétégué est attachant. Que représente-il du point de vue sémantique ?


Il représente la paix, il est le prototype d’un homme de foi, de bonheur et surtout de vivre ensemble. Il décide de pardonner et de s’en remettre à Dieu, seul habilité à venger les hommes ; sinon, pourquoi nous le prions de nous venir en aide? Pourquoi nous remplissons les temples, les églises chaque dimanche si nous devons nous venger nous-mêmes ?


Votre narrateur est intradiégétique. Cependant, nous lisons souvent « je » et souvent « Max ». Comment expliquez-vous ce mélange de focalisations?


Ce mélange s’explique par le fait que Max se met dans la peau d’autrui. En outre, Bintou aimait bien ce prénom, c’est pourquoi dans sa lettre adressée à Max, elle utilise ce prénom. Le « je » rend compte de la nature de la narration.


Peut-on dire que votre bouquin est autobiographique ?


Oui, c’est une autobiographie, mais qui va un peu loin avec l’histoire de Balétégué, qui est un récit vécu plutôt par un ami que je salue au passage.


Il y a des phrases de ce livre qui sont vraiment mal construites : Exemple : « Une personne, en un mot, que je ne pouvais pas décrire physiquement, mais dont je raffolais »(P.28), « Mais la bizarrerie dans laquelle se trouvait sa soeur aînée, l’emmena à interpeller
une personne un peu plus grande et plus âgée qu’elle qui vint constater la mort de sa soeur aînée » (p.17). Lourdeur, ambigüité, répétition, ponctuation approximative, conjugaison maladroite…euh…Et ce n’est pas tout. Alors… ?


Je n’ai certainement pas mis du temps à relire et corriger, et je pense qu’ici la rigueur n’était pas de mise. Je prêterai attention à ces intermittences afin qu’elles n’existent plus dans les rééditions futures.


Pourtant dans ce livre, il y a, au niveau du style, des choses intéressantes. Je note des rimes internes dans de nombreuses expressions qui assurent une certaine musicalité aux phrases : «
Incommensurable et incomparable » (P.14), « de bonheur et de douceur» (P.15), « par action ou par omission » (P.15), « ignorant et feignant », « l’effort fait des forts »(P.27) etc.


Merci pour cette belle remarque, en effet, l’envol du coeur à l’origine semblait un long poème, car j’ai voulu user d’une certaine musicalité pour rendre compte de la profondeur des choses, de la beauté de l’amour. La musique adoucit les moeurs.

En sus, je voulais attendrir les lecteurs, c’est pourquoi, le livre commence par « il arrive parfois des choses…»

Un mot à l’endroit de tous ceux qui n’ont pas encore lu L’Envol du Coeur…


Je voudrais leur dire ceci : il arrive parfois des choses qui dépassent notre entendement. Il faut les découvrir et pour les découvrir, il faut une lecture apaisée. Dans ce livre, je voudrais que vous reteniez des choses, mais la priorité des choses à retenir, c’est la paix qui fait vivre les familles, la paix qui fait vivre les pauvres, la paix qui fait vivre les riches. Car en période de guerre, nul ne peux vivre. En période de guerre les riches dorment sous les tentes et côtoient moustique et famine ; les pauvres, eux, meurent simplement. Merci pour votre bonne compréhension et bonne lecture à tous et à toutes.


In le Nouveau Courrier N°611 Du Vendredi 21 septembre 2012
Réalisé par Macaire Etty

jeudi 20 septembre 2012

CONSEILS AUX ÉCRIVAINS EN HERBE - LE SANCTUAIRE D'ETTY MACAIRE

CONSEILS AUX ÉCRIVAINS EN HERBE - LE SANCTUAIRE D'ETTY MACAIRE

Chronique d'une mort à venir?

Liberté de mannifester

On a connu des formes de gouvernance. certaines se prenaient pour Dieu et d'autres pour les maître du monde dans un Univers grandissant, où certaine personnes avaient de très grande idéologies. ces formes de gouvernances sont légions.  on a connu la candidature dans sa plénitude, la monarchie, la tyrannie, et les gouvernant utilisaient les fastes pour engloutir le peuple. Au détriment de la tyrannie, Clisthène usa de sa force pour donner le pouvoir au peuple, d'où demos cratos qui donnera naissance à la démocratie. Etant donné que la démocratie passe par l'approbation du peuple, et qu'elle n’existe que par le peuple pour le peuple le lui-même, étant donnée que le peuple décide de "tout" (dans certains pays que je ne connais pas.), elle a aussi donnée naissance à la liberté. le peuple s'en est accaparé, et on parle de liberté d’expression, liberté de pratiques religieuses...

Tellement la liberté a plu à l'homme, on rêve de la fin des règles et de la mort de la morale.
Au nom de la Liberté on se promène nue,
Au nom de la Liberté on tue,
Au nom de la Liberté on insulte,
Au nom de la Liberté les hommes se marient entre eux et les femmes font pareille.
Au nom de la Liberté on viole,
Alors au nom de la Liberté les polygames défendront leurs droits légaux, et les polyandre en feront autant.
Si nos règle, et nos lois se clachent à la liberté, alors on verra naître le pouvoir du plus fort, le pouvoir de la liberté d'où du plus offrants.
on ne parlera de la démocratie que par le passé. et les puissance se verront par les petit qui ont pu découvrir leurs faiblesses au nom de la Liberté ou les puissance écraseront, les faibles par leur armes chimique.
la liberté n'est elle pas la maladie de démocratie?
Au nom de la Liberté, il réalise un film qui insulte les musulmans,
Au nom de la liberté il réalise une caricature qui disant insulte les musulmans,
Au nom de la liberté au marche, on grève, et au tu des représentants des pays dans d'autres pays, car nous sommes libre de manifester. Manifester est un moyen d'expression, celle de la colère.
Au nom de la Liberté on réprimande...
Nous savons que trop de libertés tuent la démocratie, et que démocratie sans loi est un danger.
Notre seul maître, la morale est bafoué, et, on ne vie que dans l’incertitude.
Alors Que devons nous faire pour une démocratie juste?
Soyons sage et diminuons l'excès car tout excès nuis.

mercredi 19 septembre 2012

Travail des enfant: la fin est elle possible?


 Non, je peux pas arrêter de travailler; je le dis haut et fort, je ne peux pas arrêter de travailler! je suis Kouadjo, j'ai onze ans, et je veux partir à l’école.

Papa ne travaille pas au gouvernement et aucun de mes frères aînés ne travaille. je veux fréquenter l’école mais le cacao de papa est mal acheter. Il ne se suffit pas ou, du moins, n'arrive pas à nous nourrir. je veux aller à l’école donc je doit travailler.
Et arrivait un tonton:
-Tonton, je veux aller à l’école j'ai onze ans, j'ai travailler et j'ai eu cent mille francs. on me dis que mon âge est avancer que dois-je faire?
-Fils je vais t'aider, je connais quelqu'un qui travail dans une mairie et je te trouverai un tuteur chez qui tu resteras car tu sera un grand homme. un très grands dirigeant au sens de la vie communautaire. j'ai une vision sur toi fils. et tu feras changer la mentalité des hommes des paresseux;
-Merci tonton pour cette aide grande.
Cuvette de gombo sur la tête, je traversais sept kilomètres de distance tous les mercredi et samedi, pour la vendre à Affoué à un carrefour qui porte son nom.
très rapidement, comme Dieu le voulait, j'ai eu beaucoup d'argent. Je me suis inscrit, et je n'avais besoin de dépenser par jour que d'une somme de cent francs, car je mangeais attiéké (aliment à base de manioc broyé) dix francs et poissons quinze francs le matin, la même chose à midi et le soir le riz préparé à cinquante francs.
J'ai continuer cela et le monde me prenait comme un modèle et chacun me donnait des travaux que je faisais avec amour. et je le faisais bien. j'aimais le travail et aujourd'hui, je l'adore le travail. Pour moi le travail n'est pas un moyen mais une fin. c'est le salaire qui est un moyen de subsistance.
Et, la plus belle des choses, j’étais le premier de classe des cours préparatoire aux cours moyens. j'étais la félicité de tous.
Je n'aurais pas pu aller à l'école si je n'avais pas travailler. Je n'aurais pu être grand si les propriétaires des travaux avaient dis: je donne pas de travail à un enfant.
Mes frères sont mal payer, ceux qui ont la chance de travailler dans des entreprises.
Le cacao de mon père a toujours été mal payé et les promesses pas vraiment tenues.
J'ai eu des bourses au cours de mon parcourt scolaires, mais la bourse n'a jamais suffit, que dois je faire? que dis-je? Que feront ceux qui n'ont pas de parents qui travaillent alors qu'ils veulent aller à l'école? ils sont nombreux dans nos villages. Et on dit la fin du travail des enfants, quel accompagnement? en existe ils ces moyens?

discours d'un enfant maître de son destin.

Maxime N'DRI 07 377 111

mardi 18 septembre 2012

Volontariat: Notion


Le terme de volontariat a de multiples significations. Il regroupe en France un ensemble de statuts juridiques sous lequel des personnes engagent un travail en France ou à l'étranger. Ces statuts se situent à la frontière entre le bénévolat et le salariat.
Les points communs aux différents statuts de volontaires sont les suivants :
  • Le volontariat est un engagement formel (un contrat) pour une durée limitée à temps plein.
  • Le volontaire n'est pas salarié mais perçoit une indemnité.
  • Les différents statuts de volontaire sont dérogatoires au code du travail.
  • Le contrat de volontariat n’implique pas de lien direct de subordination.
Le volontariat se distingue donc du bénévolat par le caractère formel de l'engagement pris et par la perception d'une indemnité. Il se distingue également du salariat par son statut dérogatoire au code du travail. Le statut de volontaire permet également de bénéficier d'une protection sociale.
Par extension le terme de volontariat est également parfois appliqué à des activités ne bénéficiant pas d'un tel cadre juridique mais se différenciant du bénévolat par leur durée prolongée (plusieurs mois) et leur caractère organisé (une association reconnue ou agréée est souvent impliquée).
Source: wikipédia

Solidarité: salut du peuple



Au feu, au feu
C'étais la case de la vieile bintou en feu
Là bas à Man, dans le mont tompki
Et le village se réveilla
Sans attendre assez de cri
Et les hommes bravèrent,
Flammes et vents.
Ils etaient de toutes nationalités
Et de toutes races.
Mère Apo conduisait les hommes et les femmes au marigot
Digbeu formait des rangs d'hommes
Et koigny versait l'eau sur la case en flemme
Où est passé mon hébétude?
Le lustre qui a vu grandir les fils de cette nation
Où est passé la grandeur des enfant d'Houphouet?
Le lendemain matin,
Pendant que les beninois maçons montaient les murs
Les senoufo jouaient au balafon
Les baoulé creusaient la terre
Les maliens la malaxaient
Le bété encourageais
Gueré chassait pour nourrir
Pour nourrir les braves travailleur
Et jour, est né
Un destructeur de vie,
Un destructeur de bien être.
Enseignez nous la politique avant de nous l'envoyer.
Cultivez sur la politique avant de nous y conduire.
Nous ne savons rien d'elle
Et nous faisons de l'ethnocratie
Où allons nous fiers ivoiriens?
Loin de nos savoirs
Savoir accueillir
Savoir vivre
Savoir pardonner
Alors que nous étions primitifs
Nous vivions heureux
Adieu le modernisme, si tu dois nous conduire à la mort
Adieu l'occident, si tu dois nous armer.
vie sans vie
vie sans ame
vivre esseulé, tel est la mort.

Maxime N'dri 07 377 111

LES FONCTIONS DU POETE - LE SANCTUAIRE D'ETTY MACAIRE

LES FONCTIONS DU POETE - LE SANCTUAIRE D'ETTY MACAIRE

LES FONCTIONS DU POETE - LE SANCTUAIRE D'ETTY MACAIRE

LES FONCTIONS DU POETE - LE SANCTUAIRE D'ETTY MACAIRE

lundi 17 septembre 2012

Les canaris sont vides, le rêve d'un grand Maître

Amadou Koné, un grand maître de la littérature Ivoirienne, nous a conduis dans un imaginaire aussi réaliste que vaste, qui montrait une Afrique traditionnelle face modernisme et au despotisme des nouveau riches, des nouveau nantis. en trois grands tableaux, nous essayer d'apporter notre contribution, pour un monde littéraire compris.  En effet, ils sont nombreux qui ne comprennent rien au théâtre, une oeuvre expression littéraire, d'où un genre par excellence.

Épiphénomène.
la description d'un monde affamé, squelettique dont le grand sahel en avait fait face dans les année 70. En cette période de disette, tout espoir est basé sur l'apport d'un groupe d'individu, pour le soulagement triste, le soulagement d'un temps soit peu d'un peuple affamé. les dons qui se font rare, très rare et excessivement priés. une famine qui pousse les moindres chanceux à tenter l'aventure de la mort. l’aventure désespéré vers un monde dont nous ne connaissons les contours exacts cas des Félahs dans cette oeuvre.
Mais Houphouet Boigny, Paix à son âme, ne disait il pas qu'un homme qui a faim n'est pas un homme libre?
en effet, à la page 5, OUEDRAOGO disait: "Le ravitaillement... Ils ne sont pas seul ne plus y croire, tu sais! le ravitaillement, c'est comme un mirage. on l'attend, on espère, on rêve. Et on meurt."
une attente longe et morbide, qui emporte avec les jours qui passèrent, le petit taux d'espoir qui est en ce peuple meurtri.
lequel peuple meurtri recherche dans les légendes, un bouc et mystère. lequel bouc et mystère est ici, montré dans:
Ombres et lumière
Une obscurité macabre qui se suivrait à une maladie de l'enfant d'un couple étranger qui logeait dans la famille Tankouman, depuis 5 ans. ce couple est lié à une légende ancienne, un couple tel envoyé de Dieu, puisqu'il est immortel et venait directement des cieux après le meurtre d'un dieu serpent, qui ne vie son bonheur que par les pleures des pauvres.
ici, l'image, d'une société divisé en classes, celles des pauvres et celles des nantis sans oubliée, celle du milieu, qui veulent devenir des maîtres à ne jamais avoir faim, mais qui accompagne la démagogie et la barbarie se faisant passer pour des hommes de Dieu. Ces prêtres de la souffrance des pauvres car, ils travaillent avec ses dieux, au lieu de travailler pour Dieu le créateur. 
ce délire de l'enfant qui dit assez sur l'origine de ses parents, qui ont combattus le serpent, dans la forme, et dans le fond, au nom de l'amour.
au nom de l'amour pour la femme, l'homme a tué le serpent, dans la forme mais au nom de l'amour pour les pauvre, l'homme l'a tué afin que la tyrannie se taise.
dans la suite une alimentation farfelue prendra le coeur des homme se basant sur les préjugés et les présupposés pour tuer les couple qu'il trouverais suspect. c'est ainsi qu'on verra le phénomène.

Phénomène
Un débat d'idée, une discutions qui conduira à la pais pour tous.
En réalité, suite au décès de la prêtresse, et de son rêve, les population ont entamé, l'assassinat des couple s'aimants, mais qui ont une allure bizarre; alors qu'il veulent sacrifié un seul couple. c'est la grandeur d'un citadin, un sachant lire qui viendra enlever de la tête de plusieurs personnes ces préjugés même s'il aura d'autres personnes qui soient attaché à leur culture traditionnelle, de pourvu de savoir, de culture littéraire.
je comprend ici que le Maître Amdou Koné, dans sa quete d’éducation, veux que le peuple s’intéresse à l'école. car on peux apprendre à lire et écrire à tout moment de sa vie. les conflit et les querelles foisonnent, là ou le niveau d’éducation n'atteint pas les 80%

La grandeurs de cette oeuvre s'étalent sur un plateau morphinique. tel le corps humain, les canaris sont vide on trois parties, la tête qui est l’épiphénomène, le tronc qui est ombre et lumière et les membre qui est phénomène. cette morphologie de l'oeuvre lui confère un pouvoir celui de la valeur. cette oeuvre a de la valeur à étudier et à promouvoir. de la valeur humaine, de la valeur sociale. une valeur qui montre un vivre ensemble encourageant, et un vécu ensemble à bénir, tel les préjugés et les présupposés.

Maxime N'DRI 01247668

L'IVOIRIEN ET LE GASPILLAGE DU TEMPS


L'IVOIRIEN ET LE GASPILLAGE DU TEMPS

by Macaire Etty on Sunday, 16 September 2012 at 19:53 ·

Comme l’argent, le temps est un capital qui, bien investi, bien exploité produit des richesses aussi bien matérielles qu’intellectuelles. Malheureusement, les Africains semblent ne pas prendre conscience de la valeur du temps. Aussi, le gaspille-t-ils à longueur de journée comme s’ils n’en avaient en abondance. Belle et incroyable habitude pour des hommes qui sont considérés comme les plus pauvres de la planète ! Dans notre pays, le gaspillage du temps trouve sa manifestation dans certaines manies coriaces.

D’abord, aucune activité ne commence à l’heure et personne ne se soucie d’être ponctuel. L’ambulance vient en retard, le train vient en retard, le corbillard vient en retard, la chorale vient en retard, la sécurité vient en retard, les pompiers viennent en retard, l’examinateur vient en retard, la mariée arrive en retard. Et tout le monde s’en accommode bien, car chez nous ne pas respecter l’heure est une seconde nature. Dans les services, le patron sans scrupule, prend un plaisir mâle à faire attendre une file de personnes venues solliciter sa signature, son assistance administrative, son conseil. Et pendant ce temps des montagnes de dossiers frustrés attendent dans le silence d’un bureau la précieuse signature, l’inestimable cachet ou un cerveau pour les examiner. Nous allons aux réunions avec une heure de retard sous le fragile prétexte qu’ « en Afrique, une réunion ne peut commencer à l’heure ». Et malgré notre retard, nous arrivons avant le début de la réunion. Tout simplement parce que celui qui l’a convoquée, lui-même est venu deux heures après. Et tout le monde est content du retard avec lequel la réunion a commencé. Les retards des hauts responsables sont si coutumiers que l’on a fini par adopter complaisamment cette charmante boutade : « le patron n’est jamais en retard, il a eu un empêchement ». Et tout le monde comprend et pardonne le retard du chef en attendant un jour de devenir chef pour jouir abondamment, lui aussi, de son droit de venir en retard. Comment peut-on aller en retard à un entretien d’embauche alors que nous courons derrière notre premier emploi depuis une demi-décennie ? Chez nous, ces retardataires de cet acabit courent les rues. Même lorsque les autorités d’une quelconque administration fixe un délai pour une activité, elles prennent toujours le soin de fixer un autre délai pour les éternels retardataires. Ces derniers trouvent normal que l’on tienne toujours compte de leur tare congénitale.

Mais peut-on aller à l’heure quand l’environnement dans lequel nous vivons n’accorde aucune importance au temps ? Même le sommet de l’Etat n’est pas exempt de reproches. Tous nos chefs d’Etat nous ont habitués à venir au-delà de l’heure pour laquelle la population a été mobilisée pour les attendre. Cette habitude, semble-t-il, est liée à des questions de sécurité. Qu’en est-il alors des ministres, des députés, des maires, des PDG, des DG ? L’importance d’un haut responsable est proportionnelle à ses heures de retard. Personne ne se croit obligée, par respect de l’autre, d’être ponctuelle. Mais qui va sanctionner le préfet en retard dans une ville où il est la plus haute autorité ? Qui va tirer les oreilles au président du tribunal dans un service où il est le grand manitou ? Le maire, le premier magistrat de la commune a-t-il une fois été sommé par ses administrés de les respecter en venant aux rencontres à l’heure ? Dans les hôpitaux, le médecin vient toujours en retard. La ponctualité est simplement dévolue aux infirmiers, le médecin, le patron lui se donne le droit de venir à l’heure qui lui convient. Pendant ce temps des malades agonisants, à force de ronger leur frein, préfèrent se laisser emporter par la mort.

Ensuite, à côté de cette plaie puante qu’est le retard, il y a aussi le refus d’utiliser le temps à travailler. Le temps est gaspillé dans l’inactivité et l’oisiveté. A Abidjan, et à Abidjan surtout, le travail au public est l’affaire d’une poignée de fonctionnaires consciencieux. Et ceux qui acceptent de travailler se donnent le droit de s’en abstenir les vendredis. Officieusement, c’est le jour des levées de corps et des convois funèbres. Tout le monde le sait et en parle mais personne ne prend des mesures. Car tout le monde en profite. Or cette ruée vers les obsèques le plus souvent n’est qu’une occasion pour se donner à de multiples cochonneries et lubricités (nous y reviendrons). Les ministres qui doivent sévir ou donner l’exemple sont eux-mêmes emportés par la fièvre des obsèques du vendredi. Pour un pays où le samedi est férié, le travail hebdomadaire se réduit à cinq jours. Mais ces cinq jours sont-ils réellement mis à profit ? Bien sûr que non ! Comment dans ces conditions, pouvons-nous rêver de développement et de progrès ?

Pour faire apposer une simple signature sur un dossier, il n’est pas rare d’attendre des jours voire des mois. Combien de fois des citoyens n’ont-ils pas attendu sur des bancs dans des services pendant des heures pour se faire recevoir ou se faire dire qu’ils ne peuvent pas être reçus ? Un dossier qui n’a pas été traité dans le temps, c’est un grain de sable jeté dans la machine du développement. Et quand il arrive par hasard de nous occuper un temps soit peu, nous nous adonnons à des activités oiseuses. Combien de temps passe-t-on devant l’écran de la télévision pour consommer des films incestueux et violents ? Combien d’heures passons-nous assis au maquis, au cabaret, pour nous empoisonner l’organisme d’alcool ? Combien de temps perdons-nous à discuter de sujets stériles et creux au détriment des débats de fonds qui engagent notre destin commun ? Combien de temps passons-nous au téléphone à faire des conversations paresseuses ? Combien de temps brûlons-nous à dénigrer, à calomnier, à médire, à mentir, à errer, à dormir ? Pendant ce temps, le travail attend, les dossiers attendent, les malades attendent, les élèves attendent, les inculpés attendent, les convoqués attendent, les administrés attendent, les clients attendent.

Et dire que dans les pays riches, dans les pays qui sont déjà développés, tout se fait à pas de course. L’écrivain ne dit pas autre chose quand il s’interroge : « Pourquoi les Africains affectionnaient de trainer ainsi les pieds ? Pourquoi les Européens et, par-delà, les Blancs, faisaient-ils tout sur le mode de la vitesse, de l’empressement, et les Africains, celui de la lenteur, de l’indolence paresseuse ? Qui donc, du Noir ou du Blanc, avait besoin d’aller vite ? » (in Mémoire d’une tombe, de Tiburce Koffi).

Le temps est aussi une matière première, une richesse inestimable qu’il faut pouvoir mettre à profit. Le temps doit être investi. C’est de cette façon qu’il peut produire des richesses. En sus, il faut savoir le gérer, l’organiser. L’Afrique commencera sa révolution le jour où elle comprendra que le temps ne doit pas être gaspillé. Pour la Côte d'Ivoire de demain, apprenons à gagner du temps. C’est de cette façon que nous gagnerons le défi du progrès.

ETTY MACAIRE

vendredi 14 septembre 2012

Flotte Moov, solution à la pauvreté où pure arnaque?


Le slogan marquant et far de cette entreprise est: vous êtes entre de bonnes mains. 



ce slogan j'en doute car si nous décidons de faire un micro trottoir sur ce réseau, je suis sur que les mécontent seront les plus nombreux, pour cause, ce réseau a eu pour habitude de se doter le droit de tout modifier sans préavis. allant des tarifs de communication qui baissent et augmente sans sans le moindre avertissement. nous n'oublions pas aussi: no limit pour montrer qu'il n'ont vraiment pas de limite
Pour corroborer ce fait, les puces dites flottes.
En effet, les puces flotte en leur début, communiquaient en intra-réseau gratuitement, un beau matin, Moov décida de faire le premier appel 50 franc cfa, et cela n'as pas poser problème car le consommateur est libre de gérer son appel ( de toutes les façon, à la fin du mois, il doit consommer soit 1000 frcs, soit  3000frcs et 5000frcs, selon sa puce et son entreprise). il est aussi à noter que Moov a fait des puce flottes destinées au couples, au foyers. ces puces flottes de la famille étaient à 1000 frcs avec une consommation mensuel de 1000 frcs. jusque là, pas de souci. 
Le 18 Septembre dernier,  je me rendis chez un revendeur pour charger mon compte de 200 frcs; pensant gérer ma consommation selon ma bourse, pensant appeler à 50 frcs vers mon correspond en intra-flotte pour le premier appel du jour, sans information aucune, quelque minutes ont suffit pour que Moov m'adressa ceci: "Cher abonné, vous venez d’être prélevé de 100 f. Vous bénéficiez de l'intra-flotte gratuite ce jour et 1 mn vers moov utilisable jusqu'à 23h59. info 1010"
c'est justement parce que j'ai de la chance que j'ai reçu le message me mettant devant les faits. sinon mes trois autres correspondant n'ont rien reçu comme message.
ce que nous déplorons, c'est la manière et le caractère obligatoire. ces actions qui visent à augmenter les tarifs doivent être annoncés afin que le consommateur s'y attende.
aussi, le caractère automatique n'est pas du goût des consommateur dont moi.
je pense qu'il n'existe pas de syndicat de consommateur des produits téléphonique pour saisir l'ATCI, des travers de ces maisons de téléphonies mobiles.

Max 01247668 

samedi 1 septembre 2012

Océan, ou la déchéance humaine.

Pingouin à la démarche illustrant la déchéance humaine

Nous vivons ici bas, sur terre, sans chercher les rôles que nous avons à jouer. Sommes nous des grands prédateurs de l'environnement, de la nature? je m'assoie devant mon ordinateurs, et je ne faisais rien de particulier. je me posai la questions de savoir ce que je devais faire de ma journée. et comme par magie, j'ai entendu une voix qui me disait: OCÉAN; et je m'esclaffais; oui bien sur! Ce film je l'ai eu et je doutais de la date de sa visualisation. Ou, je peux dire que c'est le temps, notre principal ennemi, qui ne me permettait pas de le regarder. Enfin, je retrouve le dossier après quelques minutes de recherche, ''car je suis infographe donc trop de dossiers dans mon ordinateur''.
Le film commence par les enfants qui se dirigeaient vers l’océan et, l'un d'eux, posa la question à un adulte; une grande question, une question beaucoup polémique, qui poserais beaucoup de problèmes pour toute tentative de réponse:
Qu'est ce que l’océan?
à cette question, je recherchais la vérité, la réponse que je pourrais donner à mon fils, si d’aventure, il arrivait qu'il me pose la même question.
je découvris les animaux marins;  oh quel merveille est la nature? les poissons de toute formes et de toutes sortes. les poissons ressemblant fortement aux oiseau, d'autres aux hommes...
Et l'action humaine s'est présentée, les assassins de l’écosystème, de l'équilibre naturelle. Certains espèces ont disparu, prisé par leurs nageoires, d'autres leurs ivoires et c'est fou ce qu'on appelle l'homme avec sa soif de frugalité, soif d'argent.
j'ai vu vers la fin du film, un pingouin qui marchais après qu'il est constater la fonte massive de glace, sa démarche ressemblait assez à celle d'un vieillard déchut, qui n'as aucune force de bétail. Ou un veuf en pays akan, peuple de Côte d'Ivoire, qui les bras croisés sur le dos marche tel il à mal au pied.
que peut il bien se passer dans la tête de ce pingouin?
la déchéance n'est ce pas là?
nous avons monter le réchauffement climatique de toutes pièces, nos voyages à la découverte de l'espace, nos tests nucléaires, et bien d'autres on percé la couche d'ozone, laquelle couche contribue à la protection de la terre du soleil.
la déchéance humaine, c'est lorsque l'argent nous a poussé à détruire nos compagnons vitaux, ceux là même qui nous aident au bien être social. 
mais la fin du film est prometteuse, oui c'est ensemble qu'on sauvera la terre. car la nature est une partie de nous même.

N'DRI Maxime

Analyse d'ETTY Macaire


Le Jour Où La Vie M’a Fait Pleurer de François D’Assise N’Dah : Un regard étonnant sur la Vie





Sur la première page de couverture, l’image d’un enfant larmoyant. De cette image associée au titre du livre, j’ai tiré ma première hypothèse de lecture : les lamentations d’une conscience blessée. L’émotion n’est elle pas nègre ? Moi, je n’avais pas envie de goûter à ces histoires pathétiques, à ces complaintes stériles, à ces élégies infécondes, à ces jérémiades improductives qui vous brisent le cœur et vous gâchent la journée. J’étais réticent ; mais était là sur mon bureau le livret jaune, qui me regardait, qui m’implorait. Alors, je le lus pour que cesse ce regard accusateur sur ma nuque. D’abord d’un trait. Puis, je repris la lecture. Je consommai le livre. Lentement. A petite dose. Ligne par ligne. Page par page. La digestion, je la voulais lente.


Au terme de ce parcours dans le monde de la pensée, je m’assis pour m’interroger. Mes sentiments : L’étonnement, la surprise. Agréablement. Ecoutons cette voix : « Si votre enfant vous demande aujourd’hui : « dieu existe-t-il » répondez lui oui. Mais s’il vous pose la même question, répondez-lui nom. Et si après demain, il revient à la charge, dites lui que vous n’en savez rien. L’expérience de l’existence ou non de Dieu n’est pas un héritage qu’on lègue : c’est un bien personnel qu’en conquiert à la sueur de son front. » (P 43, 44 »). Dans ce livre grave, à l’accent à la fois douloureux et optimiste, j’entendis une voix, celle d’un penseur. Qui se donne pour tâche/corvée d’interroger la Vie, si fluctuante et si fuyante, pour en extraire la substance qui nourrit l’esprit. Au cœur des textes qui s’égrènent, je me familiarise avec une plume soucieuse de cogiter, de solliciter la raison, de traquer des ombres.  De féconder des interrogations légitimes et surtout nobles. Aucune réponse définitive mais des questionnements.  Elle ne prétend pas donner des réponses mais d’interroger. Mais au bout de chaque interrogation, la pensée se fixe, l’esprit s’illumine. Une quête douloureuse de lumière.  Une invite à la méditation. Un appel à la sagesse, à une nouvelle sagesse. La position du penseur N’Dah est souvent déroutante, iconoclaste.«« Dieu est mon Idéal…Satan, lui, est mon Maître » (p 40) « La Mort n’est pas le contraire de la Vie…Le contraire de la Mort, c’est la Naissance » (P41). L’inquiétude est souvent au rendez-vous.


Le projet philosophique de N’Dah se trouve à l’intersection des saillies de Kalil Gibran et des réflexions de L’ecclésiaste.  L’intertextualité y est forte. Et les influences bien que discrètes, n’échappent pas à l’attention du lecteur avisé.  Le message de N’Dah, on pourrait le dire, est frappé du sceau des grandes vérités révélées par les plus grands maîtres spirituels qui ont marqué le monde : Jésus, Mahomet, Socrate, Bouddha… qui à quelques nuances près prônent les mêmes idées d’amour, de partage, de sagesse. Les pensées les plus originales sont, en vérité et toujours, des pensées déjà pensées. L’ecclésiaste disait à juste titre : « Ce qui a été, c’est ce qui sera, et ce qui s’est fait, c’est ce qui se fera, il n’y a rien de nouveau sous le soleil. S’il est une chose dont on dise : voici ceci, c’est nouveau ! Cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés » (Eccl. chapitre 1 : 9, 10, 11). Le mérite de notre penseur c’est de nous réconcilier avec des vérités enfouies dans les sinuosités d’une existence prise aux pièges du matérialisme aliénant. En termes autres, François D’Assises N’Dah nous exhorte à tirer nos forces de l’esprit qui est reconnu par les plus grands maîtres comme le siège mal connu du bonheur humain.


A quel genre appartient ce  livre ? Poésie, nouvelles, fables… Tout à la fois. Les textes ondoient entre le vers et la prose. Fantaisie, malaise  ou impuissance ? Dans cet écartèlement et cette perplexité, éclatent la complexité et l’énigme de la Vie. En effet, « la vie n’est pas un cours d’eau tranquille sur lequel on navigue à bord d’un bateau de plaisance. C’est  un univers composé certes d’autoroutes éclairées, d’avenues majestueuses, d’échangeurs hallucinants, mais aussi et surtout de voies sans issues, de virages dangereux, de voies à sens unique, de pistes cyclables, de routes à caractère prioritaire, de carrefours sans signalisations, et de tout un réseau complexe de codes qu’il faut apprendre à déchiffrer » (p 47).  Nécessité donc de plusieurs postures, de différentes perspectives et de divers angles. Pour mieux construire le sens et livrer la quintessence de son message.  Cependant, rigoureusement, l’écriture de N’Dah n’est pas soucieuse de formules ornementales. Les poèmes de ce livre bien que « dodus »  du point de vue du sens, choit par leur manque d’audace stylistique. Au niveau structurel, ils sont dépourvus d’élan subversif. Ce manque la rapproche à une simple marche, une prose. Or, la poésie doit être et rester une danse. Ici, il ne s’agit pas de « Dire bien » mais de « Dire juste et fort ». Plus qu’un artiste, nous découvrons un penseur. Et sur ce point le penseur a atteint son but. Les deux dernières sections du livre frappent par leur ton sentencieux et leur profondeur spirituelle. La force de ce livre repose sur les textes en prose qui ont la teneur  et la profondeur des fables et des paraboles dignes des plus grands maîtres de la pensée. La prise de conscience de l’hybridité et/ou la dualité de la vie trouve son écho dans l’avalanche des oxymorons et des antithèses. Les titres des sous-parties (Les complaintes du Prince déchu, De Silence et De Lumière et Une oasis dans le désert) et certaines maximes qui rythment l’œuvre corroborent le dualisme qui soutient le principe créateur.